Mardi 21 décembre 2 21 /12 /Déc 13:25

Les œufs et les démons

 

Quelques jours passèrent, lentement, calmement, Slyve s’habituait au rythme de sa nouvelle vie tandis que les œufs grossissaient dans son ventre rond.  Pareils à des boules de billard, ils lui faisaient un ventre tout boursouflé, les bosses dures roulaient parfois sous sa peau.  Belzebuth venait lui rendre visite et caressait les boules d’un air rêveur.

 

 

Un jour il lui proposa de le suivre dans la salle du trône.  Il voulait fêter avec Victor leur victoire sur la rébellion d’un clan vampire qui s’opposait à l’Ancien.  Un grand banquet était dressé pour les démons et vampires alliés.  A la place d’honneur, un amoncellement de coussins moelleux attendant Belzebuth son épouse et Victor bien sûr.  Quand ils eurent bu et mangé, Belzebuth attrapa son épouse et la déshabilla devant tous.

 

 

-          Regardez la belle portée qu’elle nous fait, fit-il d’une voix forte !  Mes amis, mes alliés tout nous sourit en ce moment !

 

 

En disant cela, il s’allongea et plaça la jeune femme sur ses reins, tournée face à la salle, les fesses rebondies sur le ventre chaud du démon. Il lui fit enfourcher sa bite dressée, immense et, la tenant fermement par la taille, la fit monter et descendre sur sa queue.  Slyve se mordait les lèvres de plaisir, en tenant son ventre qui ballottait au rythme des vas-et-viens.

 

Belzebuth fit un signe de tête à Victor.  Celui-ci se plaça devant la reine pour lui caresser et embrasser les seins.  Les deux mâles se mirent à bouger au même rythme, et Slyve se perdait dans les sensations qui montaient de son sexe et de ses seins frottés et excités à souhait.

 

Quand Victor eut à son tour une érection, le démon ordonna à Slyve de se tourner.

 

Couchée à présent sur son royal époux qui la ramonait de toute sa puissance, elle offrait à tous le spectacle de ses fesses qui bondissaient sur la grosse bite.

 

Le vampire s’approcha à son tour et enfonça sa queue dure et froide dans l’anus dilaté.

 

Slyve laissa échapper un cri de surprise en sentant s’enfoncer le membre froid dans la chaleur de son étroite ouverture.  Les deux mâles se déchaînèrent dans un délire de sperme et de foutre, encouragés par les halètements et les cris de l’assistance dont l’excitation ne connaissait pas de limite.

 

Après de longues minutes, Slyve ne sentait plus ses orifices ramonés.  Le démon stoppa les mouvements, fit descendre la femelle épuisée.  Ils prirent le temps tous trois de boire et manger, pendant que les autres invités sortaient un à un de la salle.

 

Quand ils furent partis, Slyve s’allongea sur les coussins et ferma les yeux.  Son ventre était plus gonflé et douloureux que jamais, et les boules roulaient furieusement sous sa peau déformée.

 

Elle ne vit pas le regard complice qu’échangèrent les deux mâles, mais sentit le vieux vampire s’allonger devant elle et chercher à enfoncer son sexe dans la chatte en feu.  Elle voulu se retirer, reculer, mais se heurta au démon qui était couché derrière elle.

 

 

-          Non gémit-elle faiblement, je n’en peux plus.

 

 

-          Ecarte-toi, commanda le démon.

 

 

Il attrapa sa jambe droite et la souleva, dégageant le passage pour son complice qui enfoui rapidement sa bite dans la chatte offerte !

 

Les mouvements de reins du vampire qui la forçait faisaient bouger les fesses de la femme sur le sexe du démon qui se remit à bander violemment.  Il présenta l’extrémité de son sexe à l’anus déformé par le ramonage d’avant. 

 

 

-          Nooon, fit Slyve à nouveau, paniquée à l’idée de se faire défoncer par l’énorme membre.

 

 

-          Oh que si ma belle, tu vas y goûter et vite ! ricana Belzebuth.

 

 

La queue s’enfonça d’un coup, brutalement, dans les chairs, lui déchirant l’anus. Humide de sang et de sperme, il fit glisser la tige chaude au plus profond.  Slyve hurla de douleur, mais malgré ses efforts ne pu échapper aux deux monstres qui la violèrent pendant des heures.

 

 

L’échéance des 21 jours approchait et les boules devenues très lourdes pesaient terriblement dans le ventre de la belle.  Il lui semblait porter à présent 22 boules de pétanque dans son corps et elle ne pouvait que faire quelques pas péniblement avant de s’affaisser.  Elle passait tout son temps dans son lit.  Charles le vampire s’occupait de ses moindres désirs et passait des heures à lui masser le dos et les seins.

 

 

Un soir, Belzebuth entra dans la chambre, palpa longuement les œufs qui roulaient sous ses doigts et dit d’un air décidé :

 

-          Il reste 6 jours avant la ponte.  Le moment est venu de la cérémonie d’hommage

 

-          Qu’est-ce que c’est encore.  Je n’ai pas de force pour une cérémonie, je peux à peine tenir debout une minute.

 

-          Tu n’auras qu’à rester couchée.  Tout est prêt.  Emmène-là dehors ajouta-t-il à l’intention de Charles.

 

Celui-ci la souleva dans ses bras et ils sortirent.

 

Au sommet de la colline, près du bois, on avait creusé deux fossés en forme de X, profonds d’environ 50 cm.  Ils couchèrent la jeune femme dans la croix, bras et jambes écartés.  Slyve commençait à détester cette position.  Elle la détesta encore plus lorsque des racines la ligotèrent par les poignets et les chevilles, d’autres se posèrent sur ses yeux et sur sa bouche.  Aveuglée et bâillonnée, elle ne pouvait que craindre la suite.  « Ils ne me feront pas de mal, de peur d’abîmer les œufs » pensa-t-elle pour se donner du courage.

 

Elle pouvait entendre, néanmoins, et elle entendit un hurlement de loup qui la fit frissonner.  C’était Belzebuth qui appelait son peuple.

 

Des cris et des frôlements, des pas, des sauts, des ricanements… une foule s’approchait du lieu.  Des dizaines de mains froides et humides ou chaudes et sèches se posaient sur elle. 

 

Les mains des petits démons faisaient rouler les boules dans son ventre en riant aux éclats en la regardant se tordre de douleur.

 

D’autres mains griffues se posaient sur les seins, les pressaient, les griffaient en faisant jaillir le lait des mamelons comme de deux fontaines vivantes.

 

Ce que les démons appelaient l’Hommage se prolongea une bonne partie de la nuit.  L’esprit de la femme offerte aux mains avides errait dans les limbes d’un cauchemar qui n’avait pas de fin. 

 

 

Des contractions crispaient son ventre.  Elle cru qu’elle allait pondre les œufs là, de suite, dans le fossé humide.  Mais non.  Sa torture touchait à sa fin, des bras vigoureux la soulevèrent et la portèrent dans le lit chaud et douillet.  Une piqûre à la nuque, la douleur qui s’estompe progressivement et le sommeil, sans rêve, dans lequel elle se noie.

 

 

Lorsqu’elle se réveilla enfin, les derniers jours étaient passés et on la préparait pour l’arrivée des larves.  Des gardes la portèrent sur un brancard jusqu’à une autre salle de ponte, dix alvéoles étaient disposés de part et d’autres d’un grand X creusé dans le sol.  Slyve se retrouva attachée et prisonnière d’un fossé du même genre que celui où elle avait tant souffert quelques nuits avant.

 

La différence, était que ses yeux et sa bouche étaient libres.  Quelques démons, en plus du Monarque assistaient à l’événement.  Aucun vampire n’était présent cette fois.

 

Son ventre se contractait à intervalles réguliers.  Slyve ne put se retenir de crier quelques fois, les contractions devenant de plus en plus fortes.  Quelque chose força le passage en elle.

 

« Ils arrivent, ils arrivent » se mit à hurler la foule.  La tension monta d’un cran.

 

Une première larve, longue, noire, rampa hors du corps écartelé.  Toute l’assistance cria et applaudit.

 

Belzebuth se pencha vers l’oreille de la femme et lui murmura « elle est magnifique, jamais vu d’aussi grosse larve ».

 

Slyve, toute concentrée sur les contractions et ne souhaitant qu’une chose, expulser au plus vite ce qui rampait en elle hurlait de douleur et entendit à peine le compliment.

 

Lorsque les larves furent installées dans leurs alvéoles, bouche en avant, les démons approchèrent frénétiquement.  Des jeunes victimes allaient être égorgées par-dessus, afin que leur sang remplisse la cuvette et nourrisse les rejetons.  Les démons espéraient happer de ci de là quelques gouttes.

 

Bientôt des jets de sang chaud jaillirent de partout, inondant la femme au centre et les alvéoles sur les côtés, pendant que les démons sautillaient et criaient tout autour d’eux.  Quand le sang eu fini de goutter, Belzebuth lui-même prit son épouse dans ses bras, la fit se mettre à quatre pattes et passer sur les alvéoles.  Il veillait presque amoureusement à ce que les seins pendent chacun sur une bouche avide.  Les larves, excitées par le sang, mordaient furieusement les tétons et suçaient le lait nourricier.  Le Monarque les détachait après quelques gorgées et passait aux suivants. 

 

Slyve, qui n’en pouvait plus de douleur et de honte d’être ainsi transformée en machine à allaiter pleurait de longs sanglots.

 

Quand tous furent rassasiés, les gardes l’emmenèrent enfin vers le labo du docteur fou.  Belzebuth, inquiet, arriva lorsqu’elle fut placée et attachée à la table d’examen.

 

 

-          Alors docteur, comment se présente la suite ?

 

-          Je vais l’examiner, Sire, un peu de patience.

 

-          Elle va survivre ?

 

-          Oui, bien sûr, c’est solide ces petites femelles, quelques plats reconstituants et elle pourra folâtrer dans les bois avec son vampire, comme un petit cabri.

 

-          Ca va, pas besoin de tes commentaires acerbes.

 

-          Hum, je vais l’examiner, si vous voulez bien reculer.

 

 

Le docteur enfonça lentement deux doigts gantés de métal dans le vagin déchiré par la mise à bas.

Slyve, à moitié inconsciente réagit à peine, un frisson au contact du métal froid, et ce fut tout.

Les doigts palpèrent le fond du vagin, à la recherche du passage déchiré par les énormes larves.  Là-bas, plus profondément enfouis en elle, dormaient les deux dernières larves.

 

 

-          Cela se présente bien.  Je vais aller inspecter les larves royales, si vous voulez.

 

-          Mais oui, inspecte bon sang, tu sers à quoi donc ?

 

-          De suite votre altesse.

 

 

Un petit ronronnement, le majeur du docteur se mit à grandir, grandir, s’enfonçant profondément dans la chair de la femme à présent évanouie.  Le docteur avait un sourire sadique qu’il ne chercha même pas à masquer.

 

 

-          les voilà, les petits chéris.  Comme ils sont gros ! Attendez, je vous les montre. 

 

 

Un clic et une minuscule caméra placée au bout du gant de fer s’alluma.  Sur un écran, Belzebuth pu voir parfaitement les deux larves, solidement agrippées à la chair par leur bouche et frétillantes de la queue.

 

 

-          Quelle merveille ! mes princes, mes premiers princes ! Je vais devenir si puissant !

 

-          Oui votre altesse, mes félicitations, vous allez être papa.

 

-          Dans combien de temps ?

 

-          Et bien compte-tenu du temps passé et du temps normal pour une grossesse chez les femelles de cette espèce, mais comme elle est un peu démone et un peu vampire…

 

-          Oui alors combien de temps ?

 

-          Je dirais dans environ 6 lunaisons.

 

-          Quoi ? si longtemps ?

 

-          Mais votre altesse, il faut que la grossesse soit à terme si vous voulez que vos fils soient en pleine forme et puissants.

 

-          Bien, mais fait tout ton possible pour que cela se passe bien et soit rapide.

 

-          Oui, si je peux activer je le ferai maître, je vous le promets.

 

Par irisaia - Publié dans : Belzebuth
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