Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 15:55

Elle se réveille quelques heures plus tard.  Elle n'a plus de notion du temps.  Les volets sontbaissés, il faitsombre dans la chambre.  Ses bras sontenkylosés et ses poignets douloureux.  Elle se rend compte qu'en fait tout son corps est douloureux et se remémore les ébats de la veille.  Le dos, brûlant sour les coups de cravache, la chatte et l'anus déchirés, irrités des frottements.  Elle essaie de bouger mais ne peut y parvenir et se met à sangloter.

Le maître l'entend et entre dans la pièce, il s'assied sur le lit.

- Dis-moi esclave, pourquoi ces pleurs.

- J'ai mal, je veux arrêter ce jeu, je veux rentrer chez moi.

- Je comprends, mais non.  Tu vas rester ici encore aujourd'hui, puis je te ramènerai chez toi.  Je m'engage à prendre soin de toi car tu as été docile hier avec moi et mes amis.

Il détache ses mains et commence à la masser.  D'abord les bras, un puis l'autre. Puis les jambes.  Puis le ventre et les seins.

Ses caresses lentes, douces, les mains huilées, parfumées et chaudes la calment un peu.  elle s'endort des fractions de secondes et se réveille à nouveau, elle se croit dans un rêve.

- C'est bien ma belle, laisse-toi faire.  Ton maître décide pour toi.  Laisse-toi aller.

 Elle obéit à la voix et se détend peu à peu.

Le maître s'allonge sur elle. Il est nu.  Il frotte son corps contre elle.  Elle se laisse aller, ne résiste pas lorsque les jambes de l'homme écartent ses jambes.

Il se frotte encore à elle.  La bouche du maître descend le long de son cou, s'attarde sur la poitrine.  Un mamelon est sucé, puis l'autre.  Elle gémit.  Elle décide de laisser venir le plaisir.  Tant qu'à devoir subir le désir de l'homme, autant y prendre plaisir.  La caresse sur le téton commence à la faire jouir.  Son corps ondule sous le maître, elle laisse jaillir les cris de plaisir.  Il recommence avec l'autre sein, avec moins de succès.  Mais elle s'agite sous lui de même.  La bouche descend vers le ventre, le sexe.  Une main y passe. Le maître constate que sa soumise est déjà toute mouillée.

- Tu est prête pour moi, c'est bien.

Il joue de la langue entre les lèvres sensuelles.  Une nouvelle vague de plaisir enveloppe la soumise et le maître.  Elle à l'impression que son coeur va éclater. "prenez-moi, je n'en peux plus" crie-t-elle au dominant.

Lui sourit entre deux coups de langue. Il s'écarte d'elle et la gifle.

- Tu me donnes des ordres à présent ?

- Pardon, pardon, pleure-t-elle, mais je n'en peux plus, c'est trop bon, trop fort.

- Je te prendrai quand je le décide.

Au son de sa voix, elle comprend qu'il est en colère.  Elle gémit et se tord sur le lit, inondée de désir.

- Tu vas me suivre en rampant, comme un larve que tu es.

Elle se laisse glisser à terre et rampe tant bien que mal derrière lui, jusqu'au salon.

Là il dispose une table basse au milieu de la pièce, la fait s'allonger dessus et l'attache.  Puis lui bande les yeux et allume à nouveau tous les spots, comme la veille.

Une douleur intense irradie d'un mamelon, puis l'autre. Elle hurle. Il a placé des pinces à linge sur les petites pointes roses.

Et la punition n'est pas terminée car il place une dernière pince au niveau du clitoris.

- Si tu as mal, c'est le but.  Je vais te prendre à présent, et je veux que tu ailles mal.  Ce n'est pas ton plaisir qui compte, c'est le mien.  Tu as compris.

Elle ne peut que faire oui de la tête, trop de douleur, elle en devient folle.

Quand le sexe la transperce, les douleurs éclatent dans son corps et sa tête.  Il ramone et ramone et fini par exploser et crier avec elle.

Ensuite il la libère, défait les pinces et lui dit de retourner se coucher.  Elle peut à peine marcher et se traîne jusqu'au lit.

Il la rejoint dans la chambre.

- Je pense que tu as compris et que tu deviens une parfaite soumise.  Bientôt tu seras prête.

Pensivement, il la caresse.

- Il est difficile de briser une volonté, je sais que tu as de la volonté, tu es une femme indépendante et fière, mais tu as choisi de te soumettre à moi.  Tu dois oublier qui tu es dans ton autre vie.  Tu dois n'exister que pour moi.  Chaque chose que tu fais, que tu penses, que tu dis c'est moi qui en décide.  Pas toi.  Tu es moins qu'un animal, moins qu'un objet.  Tu n'existes pas sans moi. Tu dois accepter cela.  Tout ce qui t'es arrivé depuis que tu es entrée ici, c'est l'apprentissage nécessaire de ta non-existence.

- Es-tu mon esclave à présent ?

- Oui maître je suis votre esclave.

- As-tu compris ce que j'ai dit ?

- OUi maître.

- Et tu acceptes ?

- Oui maître.

le maître se penche vers elle et l'embrasse tendrement.  Elle se sent fondre sous son baiser.  Ce baiser valait toutes les souffrances.  Lentement elle s'installe sur le dos, ouvre les jambes, s'offre à lui.  Mais elle maîtrise son désir.  Ses pensées sont pleines du maître, elle ne pense qu'à être à lui.

La main du maître s'enfonce dans le sexe offert et le masturbe.

- Tu n'as plus de désirs, tu n'es plus rien.  Dit-il alors qu'il s'apprête à la baiser.

Elle ferme les yeux et essaie de ne rien penser, de devenir un objet, un bout de matelas, une poupée gonflable.

Il la prend longement et jouit intensément car enfin elle est vraiment, entièrement à lui.

 

 

Par irisaia - Publié dans : histoires de soumission
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