Lundi 2 juillet 1 02 /07 /Juil 14:51

Tu te rends pour la première fois chez ton maître.

Cela fait des mois que tu attends ce jour, et cela fait des mois qu'il t'y prépare sans que tu le saches.

Toi tu as essayé de ton mieux de réaliser ses désirs, ses ordres qu'il t'envoyait par mail, tu lui as décrit tes secrets les plus intimes, tu lui as confié ce que tu n'avais jamais dit à personne, et tu as commencé à lui faire confiance.

Si ses ordres brefs, précis, te faisaient frissonner,  sa compréhension et sa patience te faisaient encore plus craquer.

 

Et c'est ainsi qu'aujourd'hui vendredi 13, tu te retrouves à marcher vers une maison isolée dans un village que tu ne connais pas.  Comme d'habitude à présent tu suis à la lettre ses consignes.  Et pourquoi pas d'ailleurs, tu n'as jamais eu que du plaisir à le faire.  Tu as garé ta voiture sur la place devant l'église, puis tu as pris la route de la gare, tu as traversé le passage à niveau, tu as tourné à droite en suivant la rivière.

Tu t'arrêtes devant la grille de la maison. Tu regardes la grille en fer forgé, ne fermant pas bien, la clôture, l'allée de graviers, les haies qui entourent le tout.  Une dernière fois tu vérifies ta tenue, te répétant mentalement ses instructions.

la robe courte, qui se déboutonne sur le devant, ouverte d'ailleurs jusqu'au nombril.  Tu vérifies que l'on voit bien dans l'échancrure de la robe, se dresser tes seins.  Ils pendent, lourds et gonflés, mamelles durcies, appétissants.  Tu souris.

Tu passes une main sur tes fesses, tu souris en les sentant libres, une goutte perle de ton sexe et coule le long de ta cuisse.  "Parfait" penses-tu.

Tu pousses la barrière, et, portant ton sac avec ta lingerie et tes jouets érotiques, tu avances sur le sentier.

Arrivée sur le seuil, tu fermes les yeux et sonne à la porte.

Tu patientes, et encore, quelques minutes qui semblent des heures.

Puis tu entends la porte s'ouvrir.  Tu dois te mordre les lèvres pour ne pas ouvrir les yeux, brûlante de curiosité d'enfin voir ton maître.  Un tissu se pose sur tes yeux.  L'homme te bande les yeux.  Aucun risque de céder à la tentation à présent.

Il n'a pas dit un mot.  Toi non plus.  Silencieuse, tu attends.

Après encore quelques minutes, les mains commencent à déboutonner ta robe.

Surprise, tu sursaute.  La robe glisse sur le sol.  Te voilà nue sur le seuil, face à la porte.

"attends".  C'est le seul mot qu'il te dit, et il referme la porte.

Immobile tu obéis.

Encore des minutes.  les oiseaux chantent dans les buissons, saluant ta beauté.  Tu poses ton poids sur un pied et puis l'autre. Tu ne sais pas quoi faire de tes mains, alors tu finis par les poser sur tes seins et frotter un peu.  La douceur de la caresse te réconforte.

Ta main descend vers ton sexe lisse.  Le doigt s'y glisse.  Tu soupires, tu aimes cette sensation humide, tu penses être prête pour lui, pour ton maître, impatiente qu'il te prenne.

A ce moment la porte s'ouvre à nouveau.

L'inconnu te prend la main mouillée, t'attire vers l'intérieur.

Là il tourne autour de toi et te frôle du bout des doigts.

Tu vibres comme une corde de violon, tendue à craquer, sous l'archet.

Tu attends, tu espères un mot, un compliment, un baiser, n'importe quoi qui te dises que tu es bienvenue.

Mais rien! le silence, le regard que tu sens peser, l'effleurement.

 

Il te prend à nouveau la main et te fais avancer.  Vous arrivez dans une pièce.  Tu sens une lumière te frapper en plein visage.  Tu dois être sous un spot puissant.  Tu secoues la tête.

Lui t'attrapes les bras et les tiens dans ton dos. 

Sans ménagement il tire tes épaules en arrière, faisant pointer ta poitrine.

"Voici ma soumise".  Dit-il d'une voix rauque.

Tu te demandes à qui il parle, tu veux ouvrir la bouche pour poser une question, mais le maître te tire la tête en arrière et te plaque ses lèvres sur les tiennes.

Tu lui rends son baiser avec passion.  Tu savoures sa grande main qui tient fermement tes poignets et l'autre qui tire tes cheveux.  Puis tu te cabres quand d'autres mains se posent sur ta poitrine.

Tu veux te reculer, mais ton maître te bloque.  Tu n'as pas d'autre choix que de laisser le ou les invités te toucher.

Ils sont plusieurs en tout cas.  Deux mains gourmandes triturent tes seins, pincent et picotent les tétons, et une autre main se glisse sans ménagement dans ta chatte.

Tu essayes de serrer les jambes.  D'autres mains les prennent et les écartent de force.

Tu gémis et te débats, secoues la tête en tout sens.

En réponse, ce sont des éclats de rires.

"et bien" dit une autre voix, "tu as bien fait de me faire venir, on aura du travail à dresser cette pouliche pour toi.

"c'est encore mieux" fait la voix qui est celle de mon maître.

Les mains te placent des lanières de cuir.  Une autour de ton cou.  d'autres autour de tes poignets et tes chevilles.

Les homme te font t'agenouiller et poser ton ventre sur un pouf.  Ils attachent tes mains aux pieds du tabouret.

Le dresseur se place derrière toi, et à l'aide d'une tige froide, écarte tes jambes.  Tu es là, offerte à lui, les fesses en l'air.

"bien pouliche écoute-moi" fait-il. "règle numéro 1: jamais de sous-vêtements.  Règle numéro 2 : tu poses tes fesses et ta chatte directement sur le siège, règle numéro 3: tu montres toujours tes seins.  Règle numéro 4 : tu portes toujours la chaîne de ton maître".

Tu fais oui de la tête.  tu dis que tu le faisais déjà.

Il continue "règle numéro 4, tu te tais.  Règle numéro 5: tu ne lèves pas les yeux sur un homme.  Règle numéro 6 tu obéis!".

Tu fais oui de la tête.

"Et pour finir, voici quelle sera la punition si tu manques à une des règles, comme tu as fait par deux fois à présent"

Sur ce la tige qu'il tenait, une cravache, s'abat sur les fesses.  "cinq coups par manquement, pour commencer.  cela fait 10 en tout pour cette fois, car nous sommes bons." dit le maître.  "si tu es rétive, nous doublons le nombre.  La prochaine fois ce sera 10, puis 20 etc..."

Tu cries trop, alors tu ne peux pas répondre.

Quand le dresseur arrête, les caresses et les jeux reprennent.  Tes mamelons qui pendent de chaque côté sont tétés avidement.  tes fesses striées de rouge et douloureuses sont triturées.  Puis tout le monde s'écarte.  Tu te demandes ce qui se passe, quand un membre dur te défonce l'anus.  Tu ne peux que jeter un grand cri de douleur.

Déjà il te ramone.

tu cries et cries jusqu'à ce qu'il se déverse en toi.  Et ensuite tu sanglottes.

"je veux partir, laissez-moi partir" murmures-tu.

"que dis-tu ?" fais la voix de ton maître.  "tais-toi, s'il t'entend tu recevra à nouveau la cravache".  Alors tu pleures en silence.

 

  Le maître te détache et te relève.  Ses bras sont doux autour de tes épaules, il te porte et t'allonge sur une banquette-lit.  Tu pleures dans son cou, tu ne veux surtout pas qu'il s'écarte de toi.  Il te serre fort contre lui, tu sens battre son coeur.  D'autres mains, dans un brouillard humide, t'installent.  Les mains caressent ton corps, des bouches se posent sur ta vulve.  Une langue te pénètre.

Tu te tords, t'accorches à ton maître, n'osant le supplier de faire cesser cela.

Lui, en réponse à ton cri muet, te sussure " laisse faire, ils sont en train de te préparer pour moi, je vais te prendre à présent.  Tu seras tout à moi.  Je t'aime tant."

Séduite, tu t'abandonnes.  Dans ses bras, tu soupires pendant que la jouissance monte de ton bouton rose, à présent proie aux délices de deux langues habiles.

Bien vite tu cries, mais de plaisir cette fois.  Ton vagin se crispe douloureusement sous l'orgasme, tes jambes s'ouvrent d'elles-mêmes, tu t'offres sans la moindre retenue, sans pudeur.   Tu as complètement oublié les autres hommes, tu es une machine à plaisir qui n'attend plus que le bon vouloir de celui pour qui tu as tout donné.

Et alors, il se détache de tes bras, passe entre tes jambes, en frôlant ton ventre.  Sa bite se présente à ta vulve.  Tout ton être est concentré en ce trou béant prêt à l'avaler, l'aspirer, la malaxer.  Tu exploses lorsqu'il te pénètre enfin.

Ton coeur prêt à éclater de plaisir.

Lui prend tout son temps pour entrer en ton ventre chaud.  Centimètre par centimètre il te découvre, te savoure.  Il regarde ton corps se convulser.  Il sourit, il sait qu'il a gagné.

Par irisaia - Publié dans : histoires de soumission
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