A nouveau Khaany se réveilla seule dans sa chambre-prison.
Elle resta un long moment enroulée dans la fourrure, en pleurant sur son sort.
Les quelques informations que le Vaa lui avait données avaient soulevé encore plus de questions et elle ne voyait pas comment elle pourrait ni survivre, ni encore moins s'échapper de la prison spaciale des dieux.
Un carillon sonna au loin. Khaany murmura "entrez" plus par réflexe que par choix décidé.
Un sifflement. Le docteur, Alexim, apparu au centre de la pièce.
- Bonjour jeune reine, comment allez-vous ? content de vous voir enfin réveillée, vous avez dormi trois jours.
- Bonjour.
- Allez ne soyez pas triste. Au fond, vous êtes encore en vie.
- Comment ça ?
- D'autres avant vous n'ont pas survécu aux deux étreintes. Vous irez très bien vous verrez. Le plus difficile est passé.
- Et la suite, c'est quoi ?
- Eh bien j'ai là de quoi vous montrer.
Et il installa au chevet du lit un écran et attrapa une fine tige terminée par une boule brillante.
- Permettez.
Il écarta la couverture. De sa main, il installa la jeune femme a plat, sur le dos, allongée. Comme Khaany se laissait faire, intriguée, il lui dit qu'il allait d'abord l'ausculter.
Ses mains étaient chaudes et douces quand elles se posèrent sur le corps séduisant.
Il palpa attentivement un sein, puis l'autre.
Khaany voulu lui demander pour le lait, mais ne savait pas comment tourner la question. Devinant ses pensées, il lui sourit et dit.
- Pendant ces trois jours je vous ai donné un produit pour lancer la lactation. Sentez comme vos seins sont gonflés, je pense que cela ne devrait pas tarder.
Khaany soupira. Le vieil homme se pencha vers elle, regardant attentivement le mamelon gauche pendant qui le frottait doucement entre ses doigts. Khaany ferma les yeux, la caresse était agréable. Alexim approcha les lèvres et posa un baiser délica sur le bouton rose. Ses mains blanches faisaient une coupe au sein gonflé. Comme Khaany se laissait faire, il entrouvrit ses lèvres et vint saisir délicatement la première perle de lait. Khaany gémit doucement, frémit de tout son corps. L'homme donna un petit coup de langue. Une nouvelle goutte jaillit. Il se mit alors à têter doucement, puis plus vigoureusement. Khaany sentit avec surprise des tiraillements dans son sein, le lait se frayait un chemin jusqu'à la bouche gourmande qui le sollicitait. "oooh" fit-elle. La sensation était un peu douloureuse et délicieuse à la fois.
Mais déjà l'homme se retirait, pour attraper l'autre pointe et lui faire subir le même sort.
Il ne têta que quelques gouttes, mais cela soulagea la poitrine de la jeune femme. Puis il se recula et la regarda en souriant, laissant ses mains posées sur les seins. "Merci ma reine, c'est un cadeau merveilleux que vous avez fait à un vieil homme". Khaany sourit, elle se sentait, fière, belle, et comblée.
Le médecin prit alors son instrument et passa la boule lumineuse de long en large sur le ventre.
"Voyez à présent" fit-il en lui montrant l'écran.
Il appuya sur quelques boutons et une image très nette se forma. Khaany vit un triangle épais à l'intérieur duquel des milliers de petits serpents s'agitaient.
Elle eut un haut-le coeur.
"ils sont agrippés aux parois, par leur petite bouche et se nourissent de votre sang. C'est pourquoi il faut beaucoup manger pour prendre des forces. Ils vont encore grandir. Vous allez les couver pendant 1 mois environ. Puis ils se détacheront et nageront vers la sortie.
Du bout du doigt, il dessinait le chemin sur le ventre de la jeune femme, et glissa entre les lèvres, vers l'ouverture.
Khaany, se tordit sur le lit, dégoûtée.
"vous ne sentirez rien, vous irez dans le bassin et ils nageront loin de vous. je vous promets qu'il n'y a pas à avoir peur"
En disant cela, il caressait de façon plus appuyée le petit clitoris qu'il avait trouvé au creux des chairs.
Khaany avait envie de pleurer, mais le plaisir s'éveillait en elle et elle décida d'accepter cela comme une détente bien méritée. Elle écarta légèrement les jambes, pour l'inviter à continuer.
Le vieux médecin posa ses lèvres sur celles de chair et elle pu apprécier la langue habile qui l'amena en un instant à un orgasme tel qu'elle n'avait jamais connu avec ses amies.
Elle criait et se tordait de plaisir sur le lit. Lui s'installa mieux entre les jambes de sa jolie partenaire. La langue tapotait allègrement les endroits les plus sensibles, puis s'enfonçait dans le vagin, ressortait, chatouillait à nouveau le clitoris, et repartait. Khaany se sentait devenir folle de plaisir, elle n'arrivait plus à crier, ses doigts se crispaient dans la fourrure, elle voulait crier grâce.
Mais lui ne semblait pas vouloir s'arrêter. Il lui donna une immense vague de plaisir et quand il se releva enfin, ce fut pour contempler la beauté complètement abandonnée, bras et jambes écartées, sur le lit défait. Elle resta longtemps immobile, offerte à son regard et lui la regardait, passant juste le bout du doigt sur quelques endroits au hasard. Elle gardait les yeux fermés, frémissant au contact, espérant un nouveau contact, ne désirant rien d'autre qu'être regardée et désirée.
Mais ce moment hors du temps se termina quand même, le médecin lui prit les mains et lui demanda de passer se détendre dans le bassin. Elle le suivi docilement et se laissa glisser dans l'eau.
Quelques gouttes de lait perlèrent de ses mamelles sous l'effet de la chaleur de l'eau. Lui se plaça derrière elle et lui dit que ces gouttes dans l'eau, plus tard, aideraient le jeunes Vaaxis à sortir. "L'odeur et le goût du lait de femme est ce qui les attire le plus" précisa-t-il. "A présent nos maîtres ne vont plus tarder".
- Quoi ? Fit-elle.
Mais le grand Vaa était déjà dans la pièce.
Chose curieuse, cette fois, il s'inclina respectueusement devant elle. D'un geste, il renvoya le médecin. Khaany était à présent seule avec lui.
Il refit un geste et Khaany, docilement, sorti de l'eau. Elle se tenait devant lui, nue, provoquante, mais ne montrait pas de crainte ni de timidité. Le Vaa inclina la tête. Dans l'esprit de Khaany les mots se formèrent.
"tu es belle et puissante, tu m'impressionne petite femelle humaine. Tu es bien digne des plus grands Vaa. Viens me nourrir à présent".
Khaany s'assit sur le lit, tout en gardant ses yeux fixés dans ceux du dieu-lézard.
Celui-ci s'agenouilla devant elle.
Il sortit la langue, et elle s'aperçu que le bout se terminait par un orifice, semblable à une petite ventouse. La langue, qu'elle avait sentie grosse et dure, s'allongeait en fait, et devenait plus souple et plus fine à mesure qu'elle devenait plus longue. Fascinée, Khaany regardait le curieux serpent se tendre vers son mamelon gauche et la ventouse se placer bien proprement dessus. Le Vaa commença à têter. Khaany poussa un cri car il têtait avidemment, pas comme le vieil homme auparavant. Le Vaa posa deux mains sur le sein qu'il buvait pour le presser. Les autres mains tenaient la jeune femme fermement à la taille.
Quand il eut vidé la mamelle, il passa du côté droit pour recommencer. Khaany avait la tête qui lui tournait. Quand il eut fini, elle se laissa tomber en arrière sur le lit.
"ta récompense" fit le Vaa.
Et sa langue partit se perdre sur le sexe de la jeune femme. Khaany put alors apprécier à sa juste valeur l'agilité de la longue langue, la souplesse de la ventouse, surtout lorsqu'elle se mit à sucer le clito, envoyant la propriétaire de ce bouton au septième ciel, et ensuite, se pâmer de plaisir lorsque la langue se mit à la lécher de l'intérieur. Chose qu'elle avait toujours cru impossible.
Quand le Vaa se releva, elle ne pu s'empêcher de se jeter à genoux devant lui et murmurer "maître faites de moi ce que vous voudrez, je suis à vous.
- C'est bien, fit le Vaa. Toi et moi, nous serons puissants. Moi le plus puissant des dieux, toi la plus puissante de ton peuple. Je n'ai nulle envie de te nuire, ni te faire du mal, comprends-le bien. Parfois ma force et ma nature seront douloureuses, mais c'est un mal nécessaire. Tant que nous collaborerons tout ira bien, tu seras ma reine, et tu seras donc une déesse pour les tiens. En échange, je veillerai sur toi, et tu ne manqueras de rien.
- J'accepte.
Le Vaa la prit dans ses bras, la souleva du sol et la posa sur le lit. "sois ma reine à présent". Khaany s'offrit à son étreinte. Lentement, le sexe du Vaa se pressa contre
elle, la pénétra, et commença à grandir. Les deux amants, immobiles, attendaient.
Khaany ressentait la dure excroissance se former en elle. Le Vaa restait sur elle, concentré, immobile. Les minutes passaient, puis une demi-heure, une heure peut-être. Enfin la
taille était atteinte. Elle compris qu'il s'était retenu, pour faire durer cette étape, sa façon à lui de l'honorer, elle. Comme il ne bougeait toujours pas, semblant attendre, elle
commença lentement à bouger son bassin. Puis elle ondula de plus en plus fort. Lui se souleva un peu sur ses quatre bras, lui donnant plus de liberté pour bouger.
Elle entoura le corps écailleux de ses jambes, s'attachant a lui, et se mit à lui faire l'amour sans réfléchir, instinctivement, violemment, avec toute la rage et l'énergie violente dont elle était capable.
Elle sentait qu'il était étonné, heureux, ne comprenant pas d'oû venait cette force chez un être si fragile, et plus elle sentait son étonnement et son admiration, plus elle se dechaînait sous lui.
Finalement, dans un grand cri, elle s'affaissant, n'en pouvant plus,
Alors avec beaucoup de douceur, il lui dit "maintenant je vais te montrer à mon tour ce que je peux faire". le membre en elle se mit à onduler, bouger comme s'il était animé d'une vie propre. Khaany ouvrit la bouche, demandant en silence la langue, qu'elle reçut. Puis sous la jouissance qu'il lui donnait, elle sentit encore une des longues queues s'enfonçer par derrière et aller-venir dans son anus très profondément.
Quand le Vaa retirait la langue, c'était pour l'entendre gémir de plaisir et aller se prendre quelques gouttes de lait, sa friandise, aux mamelles dressées vers lui.
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