Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 10:38
Quand elle se réveille, son homme était déjà parti travailler. Elle se glisse à sa place, retrouvant son odeur, sa chaleur sous la couette, et reste allongée, encore toute détendue après la nuit de folie de la veille. Son homme lui avait fait une si belle surprise! Ouvrant les yeux, la première chose qu'elle voitt c'est l'objet dressé sur la table de nuit... le gros gode hérissé qu'il lui avait acheté. Elle eut envie de l'essayer, à son aise, à son idée, en prenant tout son temps pour découvrir les sensations merveilleuses qu'il allait lui apporter. Décidée, elle l'emporte sous la douche. D'abord elle laisse l'eau couler sur son corps pour le réveiller, ensuite elle se savonne consciencieusement, lavant les seins, le ventre, les fesses. Puis elle glisse les doigts sur son minou épilé, c'est si bon de se chatouiller les petites lèvres, si mignonnes, semblables à des pétales de roses. Elle insiste un peu sur le clito, cherchant à sentir le petit bouton gonfler sous la pression des doigts et de l'eau. Quand l'excitation monte en elle, elle prend l'engin et le frotte sur sa chatte. L'envie de se l'enfoncer bien profond est très forte, mais elle résiste pour faire durer son plaisir. Les bosses frottent les lèvres, s'imprègnent de l'odeur insistantent, se recouvrent du liquide qu'elle produit. Elle voit dans la glace son ventre tressaillir, des vagues de plaisir qu'elle ne peut contrôler secouent son nombril. La caresse du gode sur le clito la fait jouir, alors elle frotte, frotte de plus en plus fort et se laisse aller à crier de plaisir. Son orgasme un peu calmé, elle décide de se le mettre, l'entrée du vagin est dilatée d'excitation, et dégoulinante de jus. Le gode est inséré lentement dans l'antre de plaisir. Elle l'enfonce un peu, le retire, le remet,... et ce plusieurs fois, sans aller trop loin. Elle trouve ce petit jeu très amusant et se regarde dans la glace avec l'objet pendu dans sa chatte. Enfin elle décide de l'enfoncer à fond et de le faire vibrer en elle... elle commence à pousser quand... driiing... on sonne à la porte. D'abord elle ne veut pas bouger, mais la sonnerie insiste. Finalement elle passe un peignoir de bain et va ouvrir. Un ouvrier se tient sur le palier, un seau à la main. Il travaille dans l'appartement en face et a besoin d'eau. Troublée par les muscles qui se dessinnent sous le t-shirt, elle le précède dans la salle de bain. Il entre en la frôlant, elle ressent fortement son odeur, sa chaleur. IL se dirige vers la baignoire pour remplir le seau. Immédiatement, il repère le vibreur laissé en plan. Elle le voit le fixer pendant que le seau se rempli. Puis se relevant, l'ouvrier la regarde et lui fait - Je vous dérange peut-être? - Non, ce n'est pas grave. - Je ne dirai rien à votre mari! ajoute-t-il en souriant et en montrant le gode. - Oh, mais c'est lui qui me l'a offert... - Mmm et il n'est pas jaloux ? - Il aime quand je m'amuse, et réciproquement. Pendant ce temps l'homme s'était approché d'elle. Il était à portée de mains, et elle n'avait pas bougé. Le peignoir laissait deviner la fente entre les seins et plus encore. Il tend la main, pour écarter le col et glisser ses doigts vers le sein gauche qui n'attendait que cela. Sa main est rugueuse, forte et elle écrase le sein encore humide après la douche. Elle gémit et se cambre un peu pour offrir sa poitrine à une caresse plus puissante. Bientôt le peignoir tombe sur le sol, l'homme pose ses mains sur les seins de la belle et les malaxe. Elle ferme les yeux en gémissant, l'excitation la rend toute mouillée, elle sait que son minou est trempé, et espère qu'il viendra vite en profiter, aussi elle écarte les jambes, se calant dos au mur et attrappe les fesses de l'inconnu pour l'attirer à elle. - Tu es une belle salope tu sais. - ouiiii Les mains deviennent fébriles, il les passe sur tout son corps, se frotte à elle, et elle sent son désir dur et pointu se presser contre son pubis. Une main remonte vers le mamelon qu'il pince rageusement, tandis que l'autre poigne dans la chatte lisse et fragile, arrachant un gémissement plus fort à la salope qui faibli sur ses jambes. Voyant qu'elle tremble et manque de tomber, il la fait asseoir sur le bord du lavabo, jambes écartées et descend son pantalon. Son sexe jaillit devant elle, impatient. Il la pénètre furieusement, donnant des coups de reins qui font sauter la belle et secouent le lavabo. Elle noue ses jambes autour de lui, lui laissant toute liberté de mouvement en elle, et il en profite à fond. Les coups de butoir de sa verge au fond du vagin se font plus forts, plus rapides, les deux corps crient et halètent ensemble. La salope laisse pendre la tête en arrière, offrant sa gorge à la bouche de l'homme qui se répand en elle dans un soupir. Se rhabillant, il lui lance: " je suis sur le chantier pour environ un mois... si ça te branche..." Puis il attrape son seau et s'en va, la laissant pantelante sur le sol de la salle de bains. Quand son mari rentre à midi, il la trouve chantonnante, toute excitée par son aventure, qu'elle lui raconte avec force détails. La serrant contre lui, il sent l'odeur d'un mâle, l'odeur de sexe dont elle est encore imprégnée, et lui propose d'organiser une soirée érotique avec cet homme. Il va donc sur le palier, et se trouve nez à nez avec le gars. Elle est restée dans leur appart, ne devant pas savoir ce qui l'attend. L'ouvrier est seul les premiers jours, mais il explique que deux ou trois collègues allaient venir le surlendemain. Dany décide de prendre congé ce jour-là pour s'occuper de sa salope et la faire baiser par les ouvriers. Il s'en va tout heureux en imaginant le plaisir qu'elle aurait ce jour-là. Le lendemain, elle essaie de s'occuper normalement, mais d'entendre l'homme travailler à côté lui donne des idées. Elle décide de lui rendre visite. Enfilant une robe sur son corps entièrement nu, elle s'avance vers l'appartement d'en face. L'ouvrier est agenouillé et lui tourne le dos. Elle admire les fesses musclées, les bras bronzés, le dos puissant et repense aux coups de reins de l'étalon quand il la prenait. Elle toussotte. Il se retourne avec un sourire. - C'est gentil de me rendre visite, fait-il en se levant et en la prenant dans ses bras. Elle ferme les yeux de plaisir en sentant l'odeur de sueur l'envelopper. - Ici on risque d'être surpris, mais si tu vas te mettre au lit et que tu laisses ta porte ouverte, je te rejoins dans 5 min. Elle s'exécute, après avoir déposé un léger baiser sur ses lèvres. Allongée nue sur son lit, elle n'a pas à attendre longtemps, des pas, une porte qui se referme, une ombre sur elle lui apprennent qu'il est venu. Il la regarde, passe le bout des doigts sur le corps offert à ses envies, pose un baiser sur les petites lèvres affriolantes. Cette fois, il se déshabille entièrement. Elle a déjà envie de ce sexe nouveau pour elle et ouvre les jambes. Mais lui l'attrape et la tourne sur le ventre. Couché sur elle, les mains pressant fortement les seins, il passe et repasse sa verge entre les fesses rondes. Elle se mord les lèvres, mourant d'envie de ce qu'elle devine, ondule du bassin pour frotter ses fesses contre le sexe exigeant, creuse les reins pour présenter son anus... L'homme s'excite de plus en plus en sentant la salope sous lui le provoquer de la sorte. Le pénis force l'entrée étroite, s'insinue dans ce petit trou chaud, encore sec, frotte et pousse, la faisant crier de douleur. Les jambes repoussent les jambes de la garçe pour l'ouvrir encore plus, les reins s'animent, les fesses se serrent alors que le sexe avance, avance, prenant la femme de plus en plus profondément. Quand il est au bout, la douleur a fait place au plaisir. Elle sent que son passage se mouille, que la bite glisse plus facilement, et il active le mouvement, la traitant au passage de salope, pute, chienne... Elle l'encourage de ses gémissements, lui demande "encore", l'excite à s'enfoncer plus fort, plus violemment. Il la fait mettre à quatre pattes pour s'enfoncer plus loin, l'attrape par la taille. Elle ne tient pas sous la poussée du mâle et s'effondre le visage sur le matelas et les fesses en l'air. Lui, à genoux derrière elle la baise comme une chienne, griffant ses fesses et ses cuisses, frottant ses mains calleuses sur le ventre, la poitrine. Lorsqu'il jouit enfin, tout le corps de la salope est rouge de ses caresses brutales alors que ses fesses et son anus lui semblent en feu. Il se retire et la laisse allongée, épuisée. - A demain jolie pute... tu verras ce que ton mari t'a préparé... hehe.
Par irisaia - Publié dans : Fantasmes
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