J'ouvre ce journal intime dans le train qui m'enmmène enfin vers l'école supérieure pour jeunes filles! J'ai tant rêvé d'être admise à suivre cet enseignement particulier. Les cours sont orientés sciences naturelles: biologie, botanique, zoologie. Moi ce qui m'intéresse surtout ce sont les animaux. J'en reviens pas encore que mes parents aient acceptés.

 Mon père, cet odieux tyran, a fini par céder. Je vais enfin échapper à ses regards vicieux et ses attouchements. Je n'ai pas envie d'en parler, mais juste dire que je suis soulagée, et que je ne compte pas retourner à la maison de toute l'année scolaire. De toute façon, il paraît que les cours sont très poussés et qu'il faut beaucoup bosser. Tant mieux, cela m'aidera à oublier.


 Je suis dans le dortoir commun. Curieux ce qui s'est passé à mon arrivée. Dans le grand hall froid, il n'y avait personne. J'ai cherché un bureau, un surveillant, quelqu'un qui puisse me renseigner et finalement je n'ai trouvé qu'une porte marquée "direction". Après avoir hésité quelques minutes, je me suis décidée à frapper. "entrez!" La femme assise derrière son bureau me regardait sévèrement. C'était Madame Vanlaer, la directrice.

Habillée tout en noir, l'air hautain, elle m'a dévisagée sans un mot. Puis me dit que les nouvelles devaient rejoindre le dortoir au troisième étage et attendre que leur maîtresse vienne les appeler. J'ai voulu en savoir plus, mais elle m'a renvoyée d'un geste. Je suis alors montée au dortoir, et j'attends.

Il faut que je raconte la rencontre avec ma maîtresse. Une fille est entrée dans la salle, alors que je refermais mon journal. Elle appela "Ishumi", je me suis levée. Elle est venue vers moi. Elle avait une démarche de félin. Grande, souple, brune. Je l'ai trouvé très belle. Féline. Elle m'a souri. "bonjour, je suis Inna, ta nouvelle maîtresse". Je lui ai demandé ce qu'était une maîtresse. Apparemment, c'est une fille plus âgée qui prend en charge une nouvelle, pour l'aider à s'adapter, à étudier etc... J'ai souri en retour, je suis si heureuse qu'elle soit ma maîtresse, elle est si attirante.

Ensuite, elle m'a proposé de prendre une collation dans sa chambre, avant d'aller dormir. Les maîtresses ont leur chambre au deuxième étage, alors que les salles de cours sont au premier. La chambre d'Inna, est petite mais confortable. Elle a un lit double dans un coin, une table et deux chaises au milieu, et un cabinet de toilette de l'autre côté. Nous nous sommes assises à table pour manger des fruits et du pain. Inna me proposa même un verre de vin.

Je n'avais pas le droit de boire à la maison, mon père m'aurait fouettée. Mais le sourire d'Inna me donnait envie de tenter de nouvelles expériences et je bus son vin. J'ai la tête qui tourne. Inna m'a raccompagnée gentillement au dortoir, elle a passé sa main autour de ma taille pour me soutenir et m'a embrassée tendrement sur la joue pour me dire bonne nuit. Je me sens toute bizarre, ce doit être le vin. Je vais essayer de dormir...


 La première journée de cours s'est bien passée. Nous sommes dix nouvelles, et nous avons fait connaissance avec nos professeurs et les salles de cours. La botanique se passe dans des grandes serres et des laboratoires à l'extérieur. Pour la zoologie, c'est pareil, mais de l'autre côté du bâtiment. Il y a des chiens, des chevaux, des vaches... toute une ferme gérée en partie par les élèves. Les autres cours sont au premier.

Inna m'a dit qu'il y avait un super labo médical très poussé. C'est sa spécialisation. Elle a promis de me faire visiter et même participer à ses expériences. Je suis sur un petit nuage, mais les autres filles sont mla à l'aise et leur famille leur manque. Si elles savaient ! J'attends qu'Inna vienne me chercher pour passer la soirée avec elle.


Je ne peux pas dormir. Inna m'a fait venir dans sa chambre, nous avons mangé et bu du vin. Sans doute pas le même qu'hier, car je me suis sentie glisser dans un monde tout blanc, comme un brouillard, et je me sentais si bien, si détendue. Inna m'a allongée sur son lit car je ne tenais pas debout. Après je ne me souviens pas bien.

J'ai senti ses mains sur mes joues. Elles étaient fraîches, douces. J'ai pensé à un petit oiseau. Le petit oiseau est venu se nicher sur ma poitrine. Il battait des ailes sur mes seins. J'ai senti la fraîcheur sur mes seins. Puis j'ai senti quelque chose de chaud et humide sur mes lèvres. Un poisson voulait entrer. J'ai ouvert la bouche, le poisson bougeait autour de ma langue, c'était très doux. Mes seins étaient massés tendrement, je me détendais, j'étais reconnaissante du massage, je voulais dire merci mais le poisson m'empêchait de parler. Je ne voulais plus que ça s'arrête.

Je ne sais pas combien de temps ce massage, mais peu à peu le vin a cessé de faire de l'effet. J'ai compris que c'était ma maîtresse qui m'embrassait et me massait les seins. J'ai voulu la repousser. Elle m'a écrasée de son corps souple et m'a dit que je devais lui obéir, et qu'en plus j'avais aimé ça alors... Puis elle s'est relevée, m'a commandé de me rhabiller et d'aller dormir. Je ne peux pas dormir, il y a trop de sensations qui font des vagues en moi. Je ne sais pas ce que cela signifie. J'ai un peu peur de me retrouver avec elle demain.


 Je n'ai pas vu Inna de la journée. Sans doute est-elle trop occupée dans son labo. Mais j'ai appris que les autres filles ont vécu des expériences semblables avec leurs maîtresses. Pour une, une petite aux cheveux frisés, cela s'est assez mal passé, car elle s'est débattue et a été sévèrement punie par sa maîtresse, aidée d'un surveillant. En pleurant elle nous a avoué qu'elle a passé la nuit enfermée dans l'écurie et que le surveillant lui a promis le fouet si elle désobéissait encore à sa maîtresse.

Quand je verrai Inna, je lui demanderai des explications au sujet de la punition que nous trouvons toutes injuste.


Cet après-midi, nous devions faire des travaux pratiques, d'après notre horaire. Nous avons vite compris que cela signifie passer l'après-midi avec notre maîtresse. J'étais plutôt contente de retrouver Inna, surtout pour lui poser des questions. Elle m'avait fixé rendez-vous devant le labo médical.

Quand je suis arrivée, elle discutait avec la directrice et un surveillant. Inna me fit entrer, m'embrassa à pleine bouche devant tout le monde, ce qui me mit horrriblement mal àl'aise. Mais les autres avaient l'air de trouver cela normal et souriaient. La directrice me félicita pour ma faculté d'adaptation à l'école ! et me dit que si je continuais ainsi, je serai la meilleure de la promotion ! Cela me fit oublier ma gêne. Tout heureuse, Inna me serra dans ses bras.

Elle m'a dit ensuite que j'allais participer à son expérience de fin d'études et l'aider dans la réalisation de son dossier. J'acceptai avec joie. Inna me montra une table sur laquelle se trouvaient des tas de flacons et deux seringues. Elle me dit que j'allais recevoir tous les jours deux injections. Une d'hormones de grossesse, "Pour faire croire à ton corps que tu es enceinte, mais t'inquiètes ce n'est pas le cas, ce n'est que pour un étude". Je n'étais plus si contente! J'ai demandé ce qu'était l'autre injection, et cela m'a semblé pire..." c'est pour favoriser la lactation" m'a-t-elle répondu. "Et si je refuse ?" Le surveillant était là pour s'assurer de ma participation. Je n'avais vraiment pas le choix.

Inna m'a descendu mon pantalon et m'a fait les deux piqûres dans les fesses, devant cet homme! Je vois encore son regard lubrique. Comme j'avais mal, elle a massé mes fesses, puis ses mains ont voulu aller sur ma chatte. Je l'ai repoussée. Pas de ça devant un homme. Comme je me débattais, le surveillant m'a attrapée, tournée dos contre lui, et m'a tenu les bras derrière le dos. Sa poigne de fer m'empêchait de bouger pendant qu'Inna s'agenouillait pour dévoiler mon pubis. C'était terrible, j'ose à peine écrire cela, mais il le faut. Mme Vanlaer m'a traitée d'idiote, car elle a dit que je devais profiter de ma récompense.

 Au début je n'aimais pas cela du tout, voir ma maîtresse penchée vers moi, sa langue allait entrer entre mes lèvres, j'avais peur d'être souillée, de sentir mauvais, qu'elle soit dégoûtée. Mais elle avait l'air d'aimer cela, et sa langue allait et venait de haut en bas entre mes lèvres. C'était bon, mais j'étais toute crispée, parce que l'homme me regardait, et la directrice aussi. Ma maîtresse insista avec sa langue sur le haut de mes lèvres, et cela m'a fait frissonner. Elle a continué à donner des petits coups de langue, et je n'ai pas pu m'empêcher de gémir. Je ne sais pas ce que c'était mais c'était encore meilleur que le baiser et les caresses qu'elle m'avait donnés la nuit d'avant.

La directrice m'a dit d'écarter plus les jambes, ce n'était pas facile car ma petite culotte était à mi-cuisses. Inna a fait descendre tout jusque par terre et m'a sortir un pied. Comme elle continuait à lécher je n'ai pas bougé, c'était tellement nouveau, tellement fort! J'ai fermé les yeux. La langue est partie plus bas, et est même entrée un peu dans mon vagin. Oh j'ai crié "non", mais elle a poussé plus fort. Je sentais son nez là où elle donnait des coups de langues avant, et sa bouche faisait des baisers en même temps. Mon ventre sursautait tout seul et si l'homme ne m'avait pas tenue fermement, je serais tombée sur les genoux.

Inna faisait quelque chose avec ses mains derrière mes fesses. Je me demandais quoi jusqu'à ce que j'aie senti qu'elle sortait le sexe de l'homme et le passait entre mes jambes. J'ai dû me mettre sur la pointe des pieds. Le sexe énorme me donnait envie de vomir, je me suis mise à pleurer. Inna l'a pris dans sa bouche pour le sucer entre mes jambes. Je voulais partir, m'échapper, mais impossible.

Ma maîtresse a pris la queue dans ses mains et l'a poussée dans mon entrée. J'ai voulu serrer les jambes, le trou, pour l'arrêter, l'homme m'a écarté de force les jambes avec ses gros pieds. J'ai senti le membre dur se presser dans l'entrée de mon ventre, et pousser, pousser. Il m'a pénétrée avec un cri. Inna a recommencé à me lécher, comme la directrice lui a dit: "lèche le clito", qu'elle a dit. Et j'ai recommencé à frémir de tout mon corps malgré le gros membre qui me défonçait et me faisait tellement mal. Après un trop long moment, l'homme a dit "je vais jouir", et aussitôt, Inna a pris sa queue dans sa bouche, ce qui m'a soulagée, et il a joui dans sa bouche.

Quand ce fut fini, l'homme et la directrice sont partis, nous laissant seules. Je m'étais écroulée sur le sol et je pleurais. Inna m'a caressée en essayant de me consoler, puis elle m'a aidée à me rhabiller et m'a amenée au dortoir pourque je puisse prendre une douche et aller dormir. J'ai envie de pleurer. Qu'est-ce que cette expérience va faire de moi ?


 Ce matin, j'ai la nausée. comme c'est samedi, je reste au lit. A midi, je n'ai rien mangé. Inna vient me récupérer dans mon lit pour m'emmener au labo. Là elle et deux autres élèves plus âgées me font une prise de sang. Puis je reçois mes nouvelles piqûres. Inna dit que c'est normal, les nausées et que d'ici quelques jours cela passera. Elle me fait asseoir et me dit d'attendre. Les deux autres filles vont chercher leurs filleules. Celles-ci serviront de cobayes pour d'autres expériences, et reçoivent leurs premières piqûres. Elles sont dociles et tendent leurs fesses. Mais je crois qu'elles n'ont pas compris ce qu'on leur faisait. Je reçois des cachets contre les nausées et nous sommes renvoyées au dortoir. Les deux jeunes élèves commencent à s'inquiéter comme moi de ce qu'elles vont devenir.