Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 10:47
*** Dimanche ***

 Tout le monde doit aller en promenade jusqu'au lac. Heureusement les nausées ont disparu et je me sens mieux. Chaque élève marche avec sa maîtresse. Arrivées au lac, nous devons nous déshabiller et c'est nues que nous prenons une leçon de natation.

 Comme je sais nager, je pars avec Inna et d'autres filles vers une petite île au milieu du lac. Les autres nouvelles ont moins de chance. Un moniteur, Arturo, est chargé de leur apprendre les rudiments de natation. En partant, je les vois se serrer les unes contre les autres pour ne pas qu'il les touche. Deux surveillants entrent aussi dans l'eau et les attrappent une après l'autre. Le moniteur les tient dans l'eau et les fait flotter... ensuite je ne peux voir car je suis trop loin.

Sur l'île il y a une petite plage d'herbe verte. Nous nous allongeons toutes. Je vois avec étonnement que les filles se caressent les unes les autres. Inna s'est allongée près d'une superbe blonde aux seins pointus. Elles s'embrassent passionnément. Je me sens un peu jalouse, et comme je pensais retourner à l'eau, voilà qu'une des deux filles du labo d'approche. Elle est rousse, cheveux courts, l'air d'un garçon. Elle se plaçe sur moi, à cheval sur mon ventre et me palpe les seins. Je me sens prisonnière de toutes ces filles qui se caressent et gémissent autour de moi. La rousse se tourne, et vient mettre son sexe sur ma bouche. "Tu sais comment ça marche non?" me fait-elle. je commence à la lécher comme Inna l'avait fait pour moi au labo. "C'est bien, continue ma belle" dit-elle alors en me faisant la même chose. Bientôt je sens du liquide couler dans ma bouche. La fille est une vraie fontaine! Je goûte ce jus et le trouve spécial, assez bon. J'y prends goût. Je pense que ces caresses et qu'elle boit mon liquide aussi, m'y aident un peu. Alors je la tête. Elle adore ça et m'encourage. Bientôt nous frissonnons de plaisir toutes les deux en nous buvant avec avidité. J'entends le rire d'Inna à côté de moi... "et bien, tu m'étonnes de jour en jour" fait-elle. "Attends ce soir, je veux la même chose rien que pour moi" ajoute-t-elle.

Quand il est l'heure de rentrer, nous rejoignons les autres sur la rive. La plupart ont les yeux rouges d'avoir pleuré. Je finis par apprendre que les hommes les ont bien tripotées dans l'eau, les surveillants les poussaient par les fesses, leur palpaient les seins. Le moniteur leur foutait un doigt dans le vagin pour les tenir sur l'eau. Si elles se débattaient, ils leur maintenaient la tête dans l'eau comme pour les noyer. Finalement les filles se sont laissé faire, mais elles en sont encore terrorisées.

Quand elles me demandent ce que j'ai fait, je leur conseille de coopérer pour ne pas se faire punir, nous n'avons pas le choix finalement.

*** Mercredi ***

 Entre les cours et les analyses qu'elles me font subir au labo je n'ai pas le temps d'écrire dans mon journal. Mais ce soir, il y a du nouveau. Mes seins me font très mal. Je suppose que c'est la montée de lait, comme elles disent, qui commence. J'aimerais que ça s'arrête.

 *** Jeudi ***

 Cet après-midi, je l'ai passée à nouveau au labo. Toute la classe de terminale était présente. Inna et ses 5 copines, la prof, la directrice et même le moniteur de natation. J'ai dû enlever mon chemisier, puis défaire mon soutien. Je tenais mes seins dans mes mains, tellement ils étaient lourds et douloureux. A peine posés sur mes mains, des petites gouttes de lait ont perlé des têtons. J'avais envie de pleurer de honte.

 La prof, Mme Asanov, une petite femme corpulente, a de longues dents pointues et un regard qui me fait peur. Ses longs cheveux blonds sont toujours attachés en chignon. Elle a des petites mains toujours agitées. Elle s'approche de moi. Ses mains palpent mes seins. Je ferme les yeux, cela me dégoûte.

Mais après elle approche sa bouche de mon sein gauche et le tête. Je veux me dégager. Le prof de natation, Arturo me bloque. Mme Asanov recommence. La douleur irradie dans mon sein, cela part du mamelon et suit des chemins dans la chair. C'est terrible. Je serre les dents pour ne pas crier. Elle tête pendant longtemps, je crois que le sein est vide, mais elle n'arrête pas. Elle me mords avec ses grandes dents. Je crie. Mme Vanlaer lui ordonne enfin d'arrêter.

Quand l'horrible femme s'écarte enfin, c'est Inna qui s'avance et vient têter un peu mon sein droit. Au moins sa bouche est douce, et elle le caresse en même temps. Il y a toujours cette douleur qui irradie, mais c'est plus agréable, ou moins terrible. Après quelques gorgées, elle s'écarte. Toutes les élèves viennent me boire à leur tour, jusqu'à ce que je sois vidée.

 Mme Vanlaer explique aux élèves que je devrais être traite d'une manière ou d'une autre, toutes les 4 heures, la denière fois à minuit et la première 6 heures. Les personnes présentes devront se relayer. Je me demande ce que signifie "d'une manière ou d'une autre". Je ne vais pas tarder à savoir, cette épreuve était il y a presque 4 heures, quelqu'un va sans doute bientôt venir me chercher.

*** Samedi ***

Si mon père n'était pas si horrible, je lui écrirai de venir me chercher. Je ne supporte plus les traites. Pendant la journée, ce sont les élèves qui me sucent, ça va encore, elles sont douces, mais à 6h du matin, c'est Arturo, je le déteste!

Je dois être à 6h en chemise de nuit devant sa chambre, il me fait entrer, m'oblige à me déshabiller entièrement, puis il me caresse les fesses en têtant mon lait. Cela lui coule sur le menton qu'il a toujours mal rasé et qui me pique. Mes mamelons sont irridés, le moindre contact me brûle. Je souffre le martyre à cause de lui.

Quand il a vidé mes mamelles, il me fait mettre à quatre pattes en me traitant de vache, de génisse, de laitière... puis il me monte, comme il dit. Son pénis est énorme, il me bourre violemment et sautille contre mes fesses. Hier il a accompagné ça de coups de cravache. Je l'ai supplié d'arrêter mais il a tapé plus fort, et il m'a enculée. Je me suis écroulée sur le sol, cela ne l'a pas arrêté et il m'a enconcé sa bite encore plus profondément dans l'anus

. Mon dos est rayé de coups de cravache, mon anus est déchiré, je me suis évanouie finalement. Je ne sais pas comment je me suis retrouvée à l'infirmerie mais au moins on me laisse tranquille. L'infirmière m'apporte un tire-lait toutes les 4 heures et je me débrouille avec, elle me passe de la pommade sur les mamelons et cela me soulage. Je voudrais rester ici tout le temps.
Par irisaia - Publié dans : Journal d'une jeune fille
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