Lundi 4 janvier 1 04 /01 /Jan 18:00

Cela fait un an qu'Annabelle est secrétaire dans cette boîte d'électronique.  Environ 40 ingénieurs travaillent à développer des intelligences artificielles, mais Annabelle ne s'en soucie pas.  Elle s'occupe du courrier, des factures, de la centrale téléphonique, et laisse les spécialistes se creuser les méninges sur des problèmes qui dépassent son entendement.

Et elle est parfaitement heureuse ainsi.

Apparemment, le directeur est heureux lui aussi  pleinement satisfait du travail fourni par sa secrétaire.  La petite brunette, toujours fraîche et pimpante, souriante sous son maquillage discret, habillée de courtes jupes et chemisiers sages est parfaite.

Ce matin, date anniversaire de son arrivée dans la société, une enveloppe bleue qui dépasse du courrier intrigue la belle secrétaire.  En plus elle lui est adressée !

Sa curiosité piquée au vif, elle déchire l'enveloppe.  Un carton d'invitation à une fête pour sa première année de bons services!

On lui demande d'être discrète et de venir après le travail au labo numéro 5…

Annabelle, toute heureuse, passe la journée à expédier ses tâches quotidiennes, encore plus souriante que d'habitude.

A 18h, elle se rend au labo.  La pièce, d'habitude remplie d'un fouillis innommable est bien rangée.  Au centre, la table de travail, blanche, vide des appareils qui la recouvraient, brille comme un miroir.  Curieusement, il n'y avait personne.  La porte se referme doucement derrière elle, un cliquetis se fait entendre.  Elle est enfermée.

Annabelle commence par soupçonner une blague douteuse de la part de ses collègues, finalement, avec ces ingénieurs, on peut s'attendre à tout.

Elle tourne dans la pièce, à la recherche d'un indice.  A part un tas de câbles et tuyaux sous la table – quelqu'un les avait sûrement cachés là en rangeant – la pièce est vide.  Même pas un téléphone!

A tout hasard, elle s'accroupit sous de la table pour fouiller les câbles.

Soudain, elle sursaute, se cognant la tête à la table. Quelque chose lui avait chatouillé les cuisses!

Elle s'assied par terre, jambes écartées, pour voir ce qui s'était passé.  Puis sourit de sa peur idiote.  C'est un bout de tuyau blanc qui était tombé du tas en la frôlant.

Un peu énervée, elle tire violemment sur le tuyau , mais il est solidement fixé au sol.  C'est alors qu'elle s'aperçoit qu'un fin fil métallique s'est enroulé autour de chaque cheville.

Elle s'attaque à celui de gauche, pour le détacher, pestant sur les ingénieurs et leurs inventions loufoques!

Puis d'un coup, ce n'est plus cela le principal problème… le tuyau blanc s'est mis en mouvement tout seul:

Sous ses yeux ébahis, ce tuyau danse comme un serpent dans un panier et s'approche d'elle peu à peu.  Fascinée, elle le regarde, et c'est alors qu'elle réalise qu'il s'agit d'un tuyau contenant des fibres optiques ou quelque chose du genre, elle se souvient avoir entendu le responsable du labo 5, celui qu'on surnommait Killing Pete, se vanter d'une nouvelle caméra miniature pour usage médical.

Et bien, cette caméra dansait à présent devant son ventre.   Toute seule !

Sa fascination pour l'appareil lui coûte la dernière liberté de mouvement qui lui reste! Clac d'autres filins métalliques s'enroulent autour de ses poignets.  Elle tente encore une fois de se dégager, donnant des coups de pieds dans le tas de câbles et tirant sur ses bras de toutes ses forces, mais les filins se tendent et elle se retrouve écartelée à terre.

"Ca suffit la plaisanterie ! Sortez-moi de là! Allez les gars soyez sympas!"

Pendant quelques minutes, elle crie, appelle à l'aide, puis se tait, à bout de souffle.

Pas de réponse.

Une réaction pourtant.

Du plafond, elle voit deux bras mécaniques terminées par des pinces se déplier vers elle.

Cela suffit à lui redonner de l'énergie.

"Au secours, sortez-moi, arrêtez ça"

Les bras descendent toujours.  Elle voit avec horreur qu'ils visent sa jupe, les pinces la soulèvent délicatement sur son ventre.  Puis l'une descend vers son sexe et écarte avec précision le léger tissu en dentelle de son string.

Annabelle était loin d'admirer la précision diabolique de l'engin.  Elle cherche à voir ce qui se passe vers son entre-jambes, et continue ses appels à l'aide désespérés.

Le tuyau-caméra se remet en mouvement et s'oriente pour explorer sa chatte exposée.

La secrétaire est passée des appels à l'aide aux insultes et traitent ceux qui manipulent les appareils de tous les noms.  Personne n'aurait imaginé que cette fille si distinguée connaissait autant de gros mots !

Deux autres tuyaux rejoignent le premier en une danse lancinante devant un minou bien net, bien rasé.  Quelque part, des hommes s'amusent beaucoup du spectacle, de ça elle est certaine.

Le bras articulé qui tient la jupe se déplace vers la gauche.  Il prend quelque chose sur une étagère et revient vers la fille attachée tenant une plume d'oie blanche.

Un passage sur la cuisse gauche.

Un passage sur la cuisse droite.

Entre les insultes, Annabelle glousse parce que la plume la chatouille.  Alors le bras s'enhardit, la plume fait un passage sur les lèvres délicatement rosées.  La belle sursaute.  Sous la plume, les lèvres vaginales frémissent, le frémissement devient palpitation, onde, vague qui s'étire sur le pubis lisse, remonte vers le ventre, se perd autour du nombril.

A peine l'onde de plaisir disparue qu'elle est suivie d'une autre, puis une autre encore.

La colère la quitte pour faire place à l'envie de s'abandonner à ces vagues qui l'emportent.  Elle cesse de crier et se concentre sur ses sensations.  La plume devient sa maîtresse, ses dernières résistances s'envolent, ses barrages s'effondrent, elle ferme les yeux pour s'abandonner au plaisir incongru. 

Et sans cesse la plume frotte, frotte les petites lèvres à présent humides de plaisir, et les caméras miniatures s'orientent pour la mater, suivant les ondulations du corps à présent entièrement soumis aux vagues de plaisir qui le parcourent.

Audacieuse, une caméra s'approche du vagin.  Par l'ouverture qui se devine, les hommes cachés dans la pièce voisine peuvent entrevoir des muscles très roses qui se contractent.  La fille est en plein orgasme! L'intérieur se ferme et se relâche en pulsions érotiques, comme une fleur dangereusement belle.  Le tuyau s'approche, l'extrémité lumineuse frôle l'entrée du vagin, cherche son chemin.

C'est pour la jeune secrétaire une caresse de plus, qu'elle associée d'abord à la plume, et son plaisir s'accroît.  Puis la caresse devient pression, pincement, insertion, viol.

Annabelle se cambre, son corps étonné se sent transpercé et se crispe.  Le tuyau avance en elle, plus profond, plus encore.  Elle sent le glissement dans l'entrée de son intimité mouillée, se révolte contre cet viol, se débat dans les filaments qui la retiennent, recommence à insulter ses geôliers.

La plume tombe sur son pubis, les deux bras agitent leurs pinces et s'activent, dangereusement proches de sa chatte.  Les lèvres charnues sont happées, pincées, serrées fortement entre les doigts métalliques froids.  Puis les bras s'écartent.  Les autres tuyaux-caméras n'ont rien perdu du mouvement ! Tout est proprement filmé, enregistré, commenté.  Ils plongent enfin à la suite de leur confrère dans le vagin contracté.  L'ouverture forcée appelle plus, même si Annabelle demande grâce en pleurant.

Quelque chose remue sous le tas de câbles… Une tige bien grosse, ronde, se pointe.  Elle fonce vers le vagin à la poursuite des tuyaux.  Elle est terminée par un objet qui ressemble fort à un vibromasseur en caoutchouc.  La tige emboutit Annabelle sans ménagement et rate l'entrée.

Annabelle hurle. La tige recommence, tape violemment contre l'os du pubis.  Recommence encore, cette fois elle heurte la cuisse.  Comme la fille se tord sur le sol, chaque coup manque l'entrée et frappe ailleurs.  Les fesses, les cuisses, se couvrent de bleus.

Par chance, la tige s'insère enfin dans le vagin.  Annabelle cesse de se tordre, clouée par la pénétration brutale.  L'objet dur et rigide s'enfonce au plus loin.  Puis se met à vibrer.

Le corps de la jeune femme tressaille, sursaute, se creuse.  La tige va et vient, ajoutant les mouvements de pénétration aux vibrations.

Deux des caméras se sont retirées pour filmer la pénétration.  Derrière, les hommes se disputent pour la suite, finalement ils décident de laisser l'une à l'extérieur et d'enfoncer l'autre dans l'anus.  Sous leur regards lubriques, la fille se fait mettre par les deux entrées.  Elle cesse de se débattre car les mouvements de la bite mécanique commencent à faire de l'effet.  Par la caméra extérieure, les collègues surexcités  peuvent apprécier la montée d'un nouvel orgasme.  La jolie brunette crie à présent de plaisir.  Des larmes et de la salive coulent le long de son visage, emmenant des traces de maquillage.  Le corps ondule et se cambre, agité d'une vie insoupçonnée, incontrôlée.  Annabelle, portée par l'orgasme a envie de crier sa jouissance au monde entier.

Par irisaia - Publié dans : Fantasmes
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