J'ai le plaisir de vous présenter le texte écrit par "Le Pornographe", qui apporte ainsi son excellent contribution à l'histoire de l'école très spéciale et de la jeune Ishumi. J'espère que vous
aurez autant de plaisir que moi à le découvrir. J'adore l'imagination délirante de l'auteur, et vous pourrez retrouver ses textes sur son blog : http://mots-crus.over-blog.com/# Bonne lecture.
*** Lundi ***
Oh si tu savais mon cher journal comme la journée porte ouverte a été dure pour moi. J’ai les seins meurtris d’avoir été sucés, tétés, aspirés, suçotés, mâchouillés, triturés toute la journée par
ces messieurs en costumes gris, aux regards lubriques et aux mains baladeuses ; en me tétant ils aimaient fouiller mon sexe avec leurs doigts et, même si je ne voulais pas, la vigueur experte de
leurs gestes sur mon bouton d’amour et dans la profondeur de mon vagin me faisait mouiller. J’ai joui pendant que j’étais traite comme une vache et les soubresauts de mon corps saisi par les
orgasmes faisait jaillir mon lait sur le visage lubrique des hommes accrochés à mon énorme poitrine.
Malgré l’humiliation d’être ainsi exposée je mouillais et mon corps entravé jouissait violement, m’arrachant des larmes et des gémissements et quand les hommes affairés autour de moi avaient la
main poisseuse de mes jus ils l’essuyaient sur mes seins douloureux. J’étais honteuse d’avoir ce plaisir, surtout en voyant la souffrance sur le visage de ma douce Mina accrochée sur la croix
pendant que des hommes lui fouettaient les seins et se branlaient pour éjaculer leur sale foutre brulant sur la poitrine rougie par les coups de fouets de mon amie Mina.
Ce matin Mme Vanlaer m’a convoquée dans son bureau, j’avais peur qu’elle me punisse ou qu’elle m’annonce que j’allais participer à de nouvelles expériences. En arrivant dans son bureau il y avait
Inna qui m’a prise dans ses bras et m’a embrassé. J’étais sur la défensive et cet accueil m'a surprise, je me suis raidie, mes muscles se sont contractés mais quand la langue d’Inna s’est glissée
entre mes lèvre je me suis abandonnée. Mme Vanlaer nous a interrompues avec son rire grinçant. En décollant ses lèvres de ma bouche Inna ma dit tout bas, « félicitation » en me faisant un clin
d’œil.
« Ma petite Ishumi je vois que tu t’adaptes très bien à notre école. Nos visiteurs ont tous étaient élogieux à ton égard, il paraît que ton lait est encore plus succulent quand tu jouis et qu’il
est mélangé à la mouille de tes orgasmes. En tout cas tous se sont régalés et grâce à toi l’école obtiendra de belles subventions. Je te félicite, tu mérites bien une petite récompense. » Mme
Vanlaer a aussi félicité Inna de m’avoir aidée à m’adapter aussi vite, j’avoue que j’étais gênée parce que je ne cautionne pas ce que l’école fait endurer aux jeunes filles mais en même temps j’ai
éprouvé une certaine fierté, alors dans la confusion je n’ai su que bredouiller un petit « merci ».
« Ishumi je sais que tu es passionnée d’équitation, je vais donc t’offrir donc le privilège d’une sortie chez Monsieur Raymond un de nos plus fidèles visiteurs. Il possède un très bel étalon et il
te donnera une leçon particulière d’équitation. Avant de partir passe par l’infirmerie. Ensuite va attendre devant le grand hall, une voiture viendra te chercher. »
En quittant le bureau j’essayais d’imager qui pouvait être ce monsieur Raymond, je l’avais forcément vu eu en train de me téter les seins mais mes souvenirs était flous. Et puis Inna m’a prise par
la taille et m’a conduite à l’infirmerie. Le contact de sa main fine sur ma large hanche a fait s’évaporer mes pensées. Malheureusement elle m’a laissée seule avec l’infirmière qui m’a donné le
tire lait. Je n’avais pas été traite depuis la veille au soir et mes seins trop lourds me faisaient mal. La succion violente du tire lait me soulageait mais me faisait mal en même temps. J’étais
assise dans un coin de la pièce et pendant que mon opulente poitrine se vidait de mon abondant lait tiède j’ai assisté aux visites de Mina venue soigner ses seins encore en sang, et de l’élève qui
avait subi les assauts vicieux du verrat libidineux. Après j’ai mis de la crème sur les deux grosses tétines roses que sont devenus mes seins et je suis sortie attendre la voiture.
L’idée qu’aujourd’hui j’allais échapper aux mains de l’affreux Arturo me donnait le sourire. Mais quand j’ai vu dans la cour de l’école une grosse voiture noire s’avancer, les images des visiteurs
pervers jouant avec le corps des jeunes filles offertes à eux me sont revenues en tête et je me suis mise à trembler. Mais Mme Vanlaer m’avait ordonné d’être une bonne élève j’ai donc essayé
d’enfouir ma peur en moi. La voiture s’est arrêtée devant moi et c’est une femme qui en est descendue.
« Tu dois être Ishumi ? »
« Oui madame »
« Je suis la femme de monsieur Raymond, viens avec moi je t’amène dans notre propriété. » La voix de la femme comme les traits de son visage exprimaient la douceur, ma peur s’est estompée et je
suis montée dans la voiture. La femme était assise à l’arrière à coté de moi, elle semblait jeune et très calme. La voiture a démarré et nous sommes partis. Pendant que nous roulions la femme s’est
présentée, elle s’appelle Sonia, elle a 33 ans et elle m’a expliqué qu’il y a quelques années elle aussi avait fait la même école que moi et que c’est là qu’elle a rencontré son mari Monsieur
Raymond. Elle m’a dit que si j’étais une bonne élève comme lui avait dit Mme Vanlaer alors moi aussi je trouverai vite une belle situation. Sa voix douce me rassurait.
J’ai senti la voiture s’arrêter, elle m’a regardée et m’a dit que l’on devait faire la vidange. Le chauffeur est descendu, Sonia a baissé la fenêtre de mon coté et le chauffeur est arrivé devant
moi. « Tu vois Ishumi on s’arrête pour faire la vidange du chauffeur. Monsieur Raymond n’accepterai pas que je le fasse mais toi tu peux le faire pour moi n’est ce pas ? » Pendant qu’elle me disait
cela le chauffeur avait ouvert sa braguette et sorti sa grosse verge poilue et déjà dure qu’il tenait sous mon nez. « Allez Ishumi nous n’avons pas beaucoup de temps, vidange le ! » La voix de
Sonia était devenue dure et directive. Mettant sa main sur ma nuque Sonia me força à approcher la bouche de la grosse bite que le chauffeur branlait d’une main pour la décalotter et faire saillir
son énorme gland pourpre. De sa main libre le chauffeur m’attrapa les cheveux avec bien moins de douceur que Sonia et força ma tête à se rapprocher de son membre. Il colla son sexe en érection
contre mes lèvres et voulu pénétrer ma bouche que je gardais fermée. Alors il se mit à tirer mes cheveux ce qui me fit lâcher un petit cri, profitant de mes lèvres entre-ouvertes il enfourna sa
grosse queue dans ma bouche d’un coup. La bite énorme m’étouffait et cognait le fond de ma gorge. J’avais le nez dans son pubis qui sentait fort la sueur et l’urine.
En tenant toujours fermement ma tête il se mit à faire des vas et viens dans ma bouche qui dégoulinait de bave. « Voilà c’est bien Ishumi c’est comme ça qu’il aime sa vidange » la voix de Sonia
était redevenue douce. Le membre mâle me faisait mal à la mâchoire, quand je toussais je bavais et plus je bavais plus le membre de chair dure glissait facilement dans ma bouche. En plus je crois
que les cris et les gémissements que j’essayais de pousser faisaient faire à ma langue des mouvements qui excitaient le chauffeur. J’ai senti le membre viril se gonfler encore contre ma langue et
faire des sursauts et quelques secondes plus tard j’ai senti de grands jets chauds et gluants jaillir dans ma bouche. Le chauffeur éjaculait en grognant, Sonia me félicitait et le sperme chaud
remplissait ma gorge. J’ai failli tout recracher mais j’ai eu peur de me faire punir alors je me suis forcée à tout avaler de cette semence poisseuse et amère. Le chauffeur à lâché mes cheveux et
j’ai pu me reculer. Je me suis appliquée à bien avaler sans grimacer et la voiture est repartie. Dans la bouche j’avais le goût du sperme et quelques poils pubiens coincés entre les dents. Sonia
m’a sourit en me recoiffant et en me disant que j’étais vraiment une bonne élève, elle-même m’a avoué que pour sa première année elle ne savait pas avaler le sperme comme moi.
Le voyage a continué. Sans rien dire, je regardais par la fenêtre ces paysages qui me rappelaient mon enfance. Nous sommes arrivés devant une grande grille qui s’est ouverte automatiquement et la
voiture a pénétré dans la propriété. La voiture roulait au pas, Sonia me montra au loin les écuries, le verger, tout était très beau, très bien entretenu, l’herbe bien verte et les arbres bien
taillés. Monsieur Raymond nous attendait en souriant sur le perron de la maison. Sa tête ne me revenait pas, je ne me souvenais pas du moment où il avait dû me téter les seins. Il était bien plus
vieux que sa femme, je dirai au moins soixante ans avec un regard vicieux aux yeux verts entourés de rides. « Bienvenue Ishumi. Oh que tes seins sont énormes ! Ma pauvre petite tu dois souffrir
avec tout ce lait, regarde tu es entrain de mouiller ton chemisier. Quel gâchis ! Entre vite je vais te soulager. » Le vieux pervers avait raison, mes seins me faisait très mal et le lait suintait
de mes tétons douloureux. Il me conduisit dans un immense salon très beau avec de beaux rideaux au tissu lourd, de grands canapés en cuir, des lustres magnifiques sur lesquels la lumière du soleil
se reflétait et me fit assoir dans un grand canapé. Monsieur Raymond s’est assis à coté de moi en m’ordonnant de sortir mes seins.
« Quand j’aurai bien tété ton délicieux lait on ira faire du cheval alors ne traîne pas ! » Timidement j’ai défait les boutons de mon chemisier et j’ai dégrafé mon soutien-gorge sous les yeux de
Monsieur Raymond.
« Mon Dieu que tes deux énormes mamelles sont appétissantes. Tu dois être bien gorgée de lait ma petite vache … » et monsieur Raymond se jeta sur mes seins avec avidité. J’ai basculé en arrière
contre le dos du canapé offrant mes seins à la bouche un peu flasque qui aspirait avec avidité tout le lait de mon mamelon droit. Monsieur Raymond se mit à me palper violement le sein avec ses
mains pour me traire. J’avais mal, je me suis mise à sangloter mais il continua de plus belle à pétrir mes seins douloureux pour faire jaillir le lait dans sa bouche. Plus il buvait le lait de mes
seins et plus son regard de vieux pervers brillait. Je l’entendais marmonner « slupppp ohhh que c’est bon slipshh petite salope ton lait est divin, shhhaaaalp tiède, slurp chaud, hurmmph tes
mamelles sont hummm délicieuses ».
A un moment il s’est redressé, m’a regardé dans les yeux « Ishumi tu dois gouter ton lait pour comprendre », il a plongé la tête entre mes seins et s’est remit à me téter goulûment puis s’est
relevé et a approché son visage du mien, sa bouche de la mienne, il s’est collé à moi et a enfoncé sa vieille langue dans ma bouche, avec sa langue c’est mon lait tiède qui a coulé dans ma bouche.
Beurk je ne voulais pas ça, j’ai voulu cracher mais il enfonçait ça langue plus profond en moi.
Soudain j’ai entendu des pas et la voix douce de Sonia dire « chéri pour déguster ce bon lait je vous ai apporté des cookies. » Sonia s’avancée dans le salon en tenant un petit plateau avec des
cookies, elle s’est assise à coté de moi et nous a tendu les petits gâteaux. Monsieur Raymond en a pris un puis il a attrapé un de mes seins et l’a serré vraiment très fort pour arroser son biscuit
de mon lait avant de dévorer son gâteau sans rien dire. Sonia m’a proposé un cookie mais je n’avais vraiment pas faim alors j’ai refusé en faisant non de la tête. Et pendant que Monsieur Raymond
malaxait mon sein vigoureusement pour arroser un nouveau cookie Sonia lui dit « chéri notre invitée ne veut pas goûter à mes cookies, je pense qu’elle les aimerait mieux avec de la crème qu’en
pense tu ? » Monsieur Raymond se leva et se planta devant et Sonia défit le pantalon de son mari puis baissa son slip faisait jaillir son sexe noueux, bandé et tordu qu’elle se mit à branler
doucement. L’érection prenait une taille impressionnante, Sonia utilisait maintenant ses deux mains pour faire bander l’énorme verge bien vigoureuse du vieil homme.
Quand l’érection eut atteint sa taille maximum (enfin j’espérai) Monsieur Raymond l'a prise dans ses mains et se mit à me flageller le buste en riant. Les coups de son énorme verge déformaient mes
seins pleins de lait sous l’impact et je sentais même quelques gouttes sortir à chaque choc , comme si ma poitrine pleurait. En se tenant bien devant moi, monsieur Raymond agrippa énergiquement mes
deux seins et fit glisser son membre entre eux. Il les serrait, les triturait, les tordait dans tous les sens pour que le lait coule et lubrifie sa grosses queue qu’il branlait entre mes gorges
rougies et douloureuses. Il pinçait vigoureusement mes tétons en riant quand je me suis mise à crier de douleur alors que Sonia l’encourageait à continuer. Il a brusquement lâché ma poitrine,
attrapé son sexe et l’a secoué au dessus du plateau jusqu’à ce que de son gros gland jaillisse un torrent gluant de sperme blanchâtre arrose les cookies de Sonia. « Voilà Ishumi de la bonne crème
pour tes cookies, maintenant mange ! » m’ordonna Sonia. Le son de sa voix brisait en moi toutes velléités de refus. J’ai donc attrapé un cookie dégoulinant de sperme encore chaud et je l’ai porté à
la bouche. L’odeur de la semence masculine me dégoûtait mais j’ai quand même croqué dans le biscuit. Dans mon œsophage le sperme ce mélangeait aux miettes de cookie et aux pépites de chocolats en
m’étouffant. J’ai réussi à finir mon biscuit, mais Sonia m’a forcé à en prendre un second, puis un troisième, je ne sentais plus que le goût amer de la semence de monsieur Raymond irradier sur ma
langue engluée.
« C’est bien Ishumi tu dois bien prendre des forces si tu veux monter à cheval. » Ces mots me donnaient du courage car j’ai toujours rêvé de monter à cheval et ce Monsieur Raymond me promettait de
réaliser mon rêve. « Oui mais avant d’aller voir l’étalon je voudrais que notre charmante invitée allaite notre plus jeune fille. Ishumi ma petite vache à lait je veux que tu donne le sein à notre
jeune fille Mlle Aoki, ton jus de nichon lacté va l’aider à devenir une fille grande et robuste comme toi. Sonia va chercher notre petite Aoki. » sur ces mots Sonia sortit me laissant avec le vieux
pervers qui s’était rassit à coté de moi, son sexe flasque et baveux de sperme pendouillant sur le canapé. Je n’osai pas bouger, à peine je me suis permis d’essuyer les miettes sur ma bouche.
Je ne sais pas ce qu’il y avait dans les cookies mais je commençais à me sentir détendue bizarrement, le temps me semblait suspendu et Sonia est revenue en tenant par la main une jeune fille d’un
mètre cinquante environ, des jolis yeux noisette légèrement en amande, des beaux cheveux noirs coupés court et une belle paire de seins que je devinais sous ses vêtements de petite fille, elle
avait aussi une sucette, un bavoir rose avec des fleurs et une couche culotte. Je m’attendais à voir un bébé et me voilà face à face avec une fille qui devait avoir mon âge dans un accoutrement de
bébé. « Ishumi je te présente notre petite fille Aoki, elle a 18 ans mais elle a besoin de boire le bon lait de tes mamelles pour devenir une fille comme toi robuste et solide. Son frère est devenu
un bel étalon et elle, elle deviendra bientôt une belle pouliche.» Aoki c’est assise à coté de moi, elle a regardé son vieux père qui a prit ma poitrine dans ses mains et à fait gicler du lait en
pressant mes seins vigoureusement. Aoki a eu un petit rire cristallin puis elle s’est jetée dans mon décolleté pour téter bruyamment mes tétons crevassés. Le contact de ses mains douces et fraîches
sur mes seins m’a fait frissonner, sa petite bouche aspirait avec vigueur mon lait et je me sentais peu à peu en communion avec elle, une impression étrange qu’à travers mon jus de mamelle on
entrait en liaison charnelle, comme une mère et sa fille.
Sonia qui nous regardait dit alors « tu sais Raymond Mme Vanlaer m’a dit que le lait d’Ishumi est encore meilleur quand elle jouit, je crois que tu devrais lui fourrer ta langue dans le vagin pour
que notre petite fille déguste un bien meilleur lait ». Aoki entendant cela leva la tête vers moi, plongea ses yeux dans les miens et me demanda « c’est vrai Ishumi que tes orgasmes donne à ton
lait un gout de miel ? » ; Je ne sais pas pourquoi mais j’ai dis oui, sûrement la drogue dans les biscuits alors elle continua de sa voie douce et légère comme le gazouillis d’un rossignol « papa
fais jouir Ishumi s’il te plait». Monsieur Raymond passa sa main sous ma jupe et se mit à tâter mon sexe à travers ma petite culotte. Il appuyait fort et ma petite culotte s’enfonçait dans mon
vagin pendant qu’Aoki suçait toujours mes tétons. Je crois que c’est à partir de ce moment que je me suis mise à mouiller, mes seins étaient douloureux mais sous ma jupe mon petit minou trempé me
procurait d’intenses sensations. Je me suis mise à gémir. Monsieur Raymond a déchiré ma culotte et c’est mis à fourrer deux de ses doigts dans mon vagin poisseux. La pénétration me faisait mouiller
et j’ai bougé le bassin pour qu’il puisse mieux s’enfoncer en moi. Alors monsieur Raymond a mis quatre de ses doigts dans ma petite minette. Je n’ai pas pu m’empêcher de crier. J’avais la sensation
d’être déchirée du dedans. « Oh Ishumi ton lait commence a être plus sucré » me dit Aoki. Sonia s’était levée et avait fait le tour du canapé. Elle c’est penchée sur moi et a enfourné sa langue
dans ma bouche, je ne pouvais plus crier. Raymond a alors introduit toute sa main dans mon vagin. J’ai voulu hurler, me débattre mais avec la langue de Sonia dans la bouche je ne pouvais plus. Et
en me débattant je sautillais sur la main de Monsieur Raymond me remplissant de sensations contradictoires, une douleur soutenue et un intense plaisir. Aoki c’est mise à rire en donnant de petites
claques sur mes seins « ouuiiiiii son lait à un goût de miel ! Bravo papa tu l’as fait jouir » alors toute la petite famille c’est mise à me téter, en même temps.
Je pleurais, je sanglotais, j’avais les seins explosés et la chatte défoncée. J’ai quand même entendu Aoki geindre « papa j’ai fait caca dans ma couche … », Monsieur Raymond lui a donné une claque
impressionnante et a ordonné à Sonia d’aller changer la petite souillon. « Tu es une bonne élève Ishumi tes professeurs peuvent être fiers de leurs travail. Rhabille-toi nous allons faire du cheval
maintenant » J’ai pu remettre ma poitrine dans son soutien-gorge, remettre mon chemisier, par contre pour ma culotte déchirée c’était perdu, j’ai rajusté ma jupe et je me suis levée, chancelante,
Monsieur Raymond m’a prise par la main et nous sommes sortis direction les écuries.
L’air frais me faisait du bien, on marchait doucement dans l’herbe verte et nous sommes arrivés à l’écurie et Monsieur Raymond nous a conduits vers le manège en me disant que j’allais être heureuse
de pouvoir monter son étalon. « Ishumi je te présente mon fils Daéon, mon étalon, il est encore jeune et fougueux, tu verras c’est une monture docile bien dressée. » Devant moi un jeune homme
immense, au moins deux mètres, avec un masque en cuir, un mors, une longe et une selle sur le dos. Le jeune homme était nu et je pouvais voir son sexe dressé. « Viens là Daéon, je te présente ta
cavalière. Elle s’appelle Ishumi, si tu la laisses te monter docilement elle te fera une petite gâterie. ». Le jeune homme s’est approché de nous et s’est accroupi. « Viens là Ishumi et enfourche
mon bel étalon ! » Je me suis approchée encore sous le choc de cette rencontre et j’ai enfourché la selle. J’ai mis les pieds dans les étriers et j’ai attendu. Rien ne se passait.
Monsieur Raymond a pris le fouet et l’a fait claquer sur les fesses de Daéon qui c’est mis à courir. Je tressautais sur son dos, ma poitrine remuait, mes cheveux volaient, j’étais dans un état
second. J’ai manqué de tomber, alors par reflexe je me suis accrochée aux cheveux longs qui dépassaient du masque. Le cheval Daéon s’est redressé violemment et moi je suis tombée en arrière. J’ai
entendu le rire de Monsieur Raymond quand j’ai voulu me relever. J’étais à quatre pattes par terre, le cul à l’air et j’ai senti s’abattre sur moi le corps lourd de Daéon qui n’a pas attendu une
seconde pour me fourrer la queue dans le vagin J’ai crié et il a crié, je me suis débattue et il s’est mis a faire de violents vas et viens dans mon vagin, ses couilles frappaient mes fesses,
j’avais la tête écrasée par terre, j’avais les seins comprimés par terre eux aussi, suintants encore de lait, ce qui faisait une petite flaque de boue. Daéon criait ses hennissements en me fourrant
sans ménagement. Mes genoux frottaient par terre, j’avais mal partout, le rire de Monsieur Raymond me faisait peur, j’avais la tête qui tournait et dans un ultime coup de rein qui m’a défoncé les
entrailles j’ai senti Daéon éjaculer dans mon vagin rendu hypersensible par le fist de monsieur Raymond. J’ai crié et j’ai perdu connaissance. Quand je suis revenue à moi j’étais dans ma voiture
sur la route de retour vers l’école. A mon arrivée Mme Vanlaer était là à m’attendre, elle m’a félicitée et m’a envoyée dans ma chambre. J’ai juste le temps de prendre une douche, panser mes
blessures et t’écrire mon cher journal. Cette année me fait mal, cette année me fait peur.