Dimanche 19 juillet
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17:06
Une nuée de petites capsules plongaient vers la lune brune orbitant autour de la planète géante Gallesh 4. Dans chacune d'elle, une fille en sommeil prolongé était attachée. Ces
filles étaient des criminelles, condamnées à vivre le reste de leur existence sur la lune, sans espoir d'en échapper.
Cependant non loin, un petit vaisseau en forme de cône, semblait guetter sa proie. Fixant un rayon tracteur sur une capsule, le vaisseau l'amena dans sa soute. Deux humanoïdes à quatre bras
sortirent la fille de la capsule et la portèrent, encore endormie, dans une petite cabine.
Asa, la condamnée, se réveilla sur une couche confortable, une agréable odeur de viande grillée lui chatouillant les narines. Bénissant le vaisseau qu'il l'avait sauvé de la prison à vie, elle
enroula une couverture autour de son corps nu et se mit à manger.
Après quelques minutes, un grand mâle paru à la porte. Il faisait au moins deux mètres, semblait très musclé, et Asa se sentait très attirée par les quatre bras puissants qu'il tenait
croisés sur sa poitrine.
- Je suis le capitaine Sand, tu es sur mon vaisseau, en route pour ma planète.
- Pourquoi m'avez-vous amenée ici ?
- Les femelles de ta race m'intriguent, j'avais envie d'en avoir une bien à moi pour le plaisir. Tu étais condamnée, non ?
- Oui c'est vrai.
- Alors ceci doit te sembler bien plus agréable.
- Je l'espère, en tout cas merci de m'avoir sauvée.
- Viens voir...
Il se dirigea vers le hublot, Asa vint se placer devant lui pour regarder l'espace,
- Notre voyage va durer trois de vos jours. Tout mon équipage est à présent en léthargie, car il n'y a rien à faire, c'est un pilotage automatique. Nous aurons trois jours pour faire
connaissance.
Il glissa ses quatre mains sous la couverture, les plaçants sur les gros seins et les mamelons de sa captive et se mit à les masser doucement, en surface.
- Nous allons bien nous amuser, tu verras, ta peau est si douce petite femelle...
Asa trouvait aussi ces caresses très agréables, et elle se laissa aller en arrière contre lui. Le contact de ses muscles durs sous sa tunique était rassurant, et elle se mit à désirer une
étreinte passionnée.
- mmmm, c'est bon. Gémit-elle.
- Doucement, nous avons beaucoup de temps pour cela, au fait, je n'ai nul besoin de repos pendant ces trois jours, je veux les consacrer à te découvrir...
- Moi j'aurais peut-être besoin de dormir.
- Je ne crois pas, non.
Sur ce commentaire énigmatique, il l'embrassa, étouffant sous ses lèvres la question suivante.
Les caresses devinrent plus appuyées, les mains du mâle attrapaient les tétons et les tiraient dans tous les sens, tandis qu'une très longue langue fouillait la bouche de la femme, lui arrachant
des gémissements de plaisir.
- je vois que tu aimes ça, viens sur le lit à présent.
Il l'allongea sous lui, et repris de plus belle les caresses sur ses seins.
Asa ferma les yeux pour savourer le plaisir qui se répandait dans tout son corps, et essayait de se cambrer pour attirer le mâle vers son sexe.
- Attends, ne bouche pas, j'ai encore un ordre à donner...
Se levant, il sortit rapidemment de la pièce, la laissant toute souriante sur le lit.
Quelques instants après il revint et voyant les jambes de la belle soumise écartées en invitation, il s'inclina et laissa sa longue langue découvrir les replis de sa chatte et s'enrouler autour
du mignon clitoris tout excité.
Asa s'abandonna immédiatement à l'orgasme, criant et se tordant de plaisir sur le lit, sous le regard amusé de Sand.
- Elles sont toutes aussi chaudes, les femelles de ta planète? fit-il en riant.
- Non, mais moi,... oooh.... ouiiiii.
- Bien alors tu vas aimer ce que je t'ai préparé.
Asa entendit un moteur ronronner dans la pièce, elle se releva légèrement pour voir qu'un fauteuil du genre de ceux utilisés par les gynécos, était arrivé et semblait lui tendre les bras.
Son amant la saisit dans ses bras puissants et la déposa sur le siège. Puis il éleva ses bras et lui enfila les mains dans deux tubes de part et d'autre de son visage. Les tubes se
resserrèrent sur ses poignets, l'emprisonnant.
- Pourquoi m'attacher ?
- Pour le plaisir bien sûr, attends tu vas voir. Il actionna un bouton et deux pinces se placèrent de part et d'autre de sa taille pour la tenir, puis il s'accroupit et attacha les chevilles de
la belle dans les étriers du siège. Un autre bouton et le siège s'inclina à l'horizontale.
- Voilà tu es bien attachée, je vais pouvoir m'occuper de toi.
Le siège semblait contenir des tas d'instruments à usage précis. Il commença par deux grosses pinces qui lui entourèrent les seins, les compressant à la base. Sans se préoccuper du
cri de douleur que cela arracha à sa captive, il plaça deux plus petites pinces sur les mamelons encore durs et pointus de l'orgasme précédent. Les pinces se mirent en action, pinçant et
tirant sur les seins et les tétons. Asa criait de douleur et de plaisir en même temps.
- Bien ma chérie, voilà qui est intéressant... Voyons les autres endroits à présent.
Il sortit un long tuyau souple et l'enfonça dans le vagin, poussant un peu pour s'assurer qu'il était bien au bout. Ensuite il attrapa un plus fin cable et l'introduisit dans l'anus,
enfonçant une bonne vingtaine de centimètre.
- Et à présent, attention!
Le premier commutateur lança le mouvement du tuyau, qui se mit à vibrer et à s'agiter de haut en bas.
Asa gémit, la surprise passée, le tuyau commençait à la faire jouir.
Se reculant, Sand regarda sa partenaire atteindre l'orgasme, puis se calmer. Alors il tourna un autre commutateur et envoya des petites décharges électriques tout le long du cable toujours
placé dans l'anus.
Hurlant de douleur cette fois, Asa se tendit, secouée par les décharges, elle essaya de se libérer de la
chaise sans y parvenir. Il règla l'intensité pour la diminuer un peu, et s'assura que les autres accessoires fonctionnaient toujours. Peu à peu sa prisonnière cessa de se
débattre, et resta immobile en pleurant, le suppliant d'arrêter.
- Mais on vient à peine de commencer, et j'ai encore un orifice à combler, il me semble. Sur ce il enfonça le tuyau du vagin dans sa bouche et, se plaçant face au sexe martyrisé, il enleva
sa tunique et la viola.
Les coups de butoir qu'il assénait dans le sexe brûlant la secouaient de la tête aux pieds. Il se mit à gémir de plaisir à son tour, prenant son pied sur le corps vaincu et sans
réactions. Asa tenait bon, mais ne pouvait bouger, trop épuisée de douleur et de plaisir combinés. Il se retira après de longues minutes de pénétration violente et envoya gicler un
sperme verdâtre sur les seins de sa proie. Retirant un instant les pinces, il massa les tétons avec le liquide, puis replaça les pinces sur les pointes mouillées.
Les décharges qui secouèrent les mamelons réveillèrent l'énergie de la femme, qui recommença à se débattre. Avec un grand rire, Sand entrepris de la violer à nouveau pendant un long moment
qui semblait ne jamais devoir s'arrêter.
Combien de temps passa-t-il à la pénétrer ? Elle perdit connaissance après deux heures environ. Sand cependant s'arrêta peu après, ne trouvant pas cela intéressant si la femme était
inconsciente. Il revient dans la pièce avec une seringue remplie d'un produit simulant et l'injecta dans l'épaule de sa captive.
Immédiatement réveillée, Asa fit non de la tête, les yeux écarquillés de peur et de douleur, des tuyaux la pénétraient par tous les orifices, écartelant l'anus sous les vibrations continues, mais
les décharges électrique avaient cessé.
- Tes belles mamelles m'inspirent, fit Sand, je voudrais bien goûter ce qui va en sortir... tâche de rester éveillée que je n'aie pas à te piquer de nouveau, ce pourrait être dangereux pour ton
petit coeur.
Il retira les pinces des mamelons et les rempaça par des ventouses au bout d'un petit tuyau. Les ventouses, dès qu'elle furent en contact avec ses pointes douloureuses, se collèrent à elles
et commençèrent une puissante succion.
Asa voulu rentrer dans le fauteuil pour retirer les seins, ou se secouer de droite à gauche, mais les ventouses étaient bien en place, impossible d'échapper à cette trayeuse qui la tirait
jusqu'aux côtes.
Fasciné, Sand regardait le mouvement des gros seins ronds et surveillait le bocal dans lequel tombaient les tuyaux.... lorsque quelques gouttes lactés s'en écoulèrent, il se releva d'un air
triomphant!
- Et bien je n'ai plus qu'à attendre qu'il soit rempli, travaille bien ma petite... Et il s'installa confortablement sur le lit en face d'elle et se mit à lire des documents et des cartes
stellaires.
- mmm mmm, Asa tentait d'attirer son attention.
- Quoi fit-il, ah oui! Retirant le tuyau de sa bouche, il la laissa parler.
- Je n'ai pas plus de lait, c'est inutile, aiie, ça m'arrache les seins, je t'en prie.
- Hum, fit-il en regardant le bocal et les tuyaux qui ne gouttaient plus. Pas fameux les femelles de ta plantète.
Déçu il débrancha la machine.
- Bon je suppose que tu as mérité une petite pause, viens manger avec moi dans la grande salle... Oh et pas besoin de t'habiller, je pourrais avoir encore envie après le repas, hahaha.