Gabrielle, jeune fille délurée, ayant obtenu son bac, se sent doublement heureuse se matin là.
En effet, l'autre bonne nouvelle de la journée est qu'elle est engagée pour les deux mois de vacances comme femme de chambre dans un château classé apparenant à une famille noble de la Loire.
Le travail était facile: faire les chambres, aider à la cuisine, bien payé, logée et nourrie, elle aurait encore plusieurs heures de libre par jour pour profiter des vacances.. c'était le pied.
A la descente du train, une limousine, excusez-du peu, l'attendait. Le chaffeur lui ouvrit la portière, et elle monta à l'arrière où l'attendait une vieille dame distinguée.
- Ma chère, vous travaillerez pour nous cet été, j'attends du sérieux et de la discipline.
- Oui madame.
- En arrivant vous vous présenterez à Georges, mon intendant, il vous expliquera votre travail.
- Bien madame.
- Je constate que vous semblez avoir de bonnes manières, c'est bien. Quel âge avez-vous ?
- 18 ans depuis deux mois, madame.
- Je devrai m'absenter plusieurs jours, je compte sur vous pour vous appliquer et obéir aux consignes de mon intendant.
- Qui d'autre est au château ?
- Mon fils Pierre y résidera tout l'été, et il invitera sans doute des amis, vous aurez de nombreuses chambres à gérer, donc soyez efficace.
- Je ferai de mon mieux.
- Je compte sur vous pour vous montrer obéissante. J'en ai assez des jeunes filles actuelles qui croient devoir dire non à tout ordre !
- Comptez sur moi.
- Parfait.
Sur ces entrefaites, elles étaient arrivées au château.
Magnifique, la vieille bâtisse se dressait au milieu d'un parc très bien entretenu.
Georges vient les acceuillir et la dame les laisse faire connaissance.
Après un tour de toutes les chambres et l'explication du travail, Georges l'ammène à une petite chambre sous les toits, joliment aménagée, avec un grand miroir et un lit confortable. Soirée
libre pour s'installer, et découvrir ses tenues de soubrette dans la penderie.
Gabrielle les essaya toutes, les trouvant très sexy! Un courte jupette blanche ou noire, une blouse à lacets laissant au besoin deviner la courbe de ses seins, elle passe un long moment à s'admirer
devant la glace et se caresser la poitrine.
Dans la chambre voisine, Pierre et un invité ne perdent pas une seconde du spectacle, grâce au miroir sans tain.
- Excellent initiative que ce miroir, mon cher Georges, rappelez-moi de vous donner une augmentation.
Le lendemain matin, la dame est partie en voyage pour plusieurs jours, emmenant la limousine, et laissant Gabrielle au château, seule avec Pierre et ses invités.
Elle s'affaire à préparer les chambres, trois pour les invités, et termine par celle du maître des lieux.
Pendant qu'elle se débat avec les draps, Georges arrive silencieusement derrière elle et lui applique un linge imbibé de chlorophorme sur le visage.
Emmenant la jeune fille évanouie, il la porte dans une salle en sous-sol.
Lorsque Gabrielle revient à elle, elle est couchée sur un divan assez large, les bras attachés à une barre au-dessus de la tête, les jambes écartées sur le divan.
Son premier réflexe est d'essayer de détacher ses mains et de ramener ses jambes ensemble.
La pièce est plongée dans le noir, mais elle peut entendre des respirations proches.
Lentement la lumière se fait dans la chambre et elle voit deux hommes autour du divan, l'air très amusés en voyant ses efforts.
Pierre est là bien sûr et il lui dit de ne pas être stupide, que pour un tel salaire, elle devait s'attendre à faire un peu plus que les chambres. Sur ce il s'assoit sur le divan et se met à
lui caresser les seins.
L'invité remonte lentement sa jupe sur ses cuisses, laissant apparaître une petite culotte blanche.
Gabrielle les supplie d'avoir pitié et de la laisser repartir. Lassé sans doute de l'entendre, l' invité la baîllonne à l'aide de son foulard de soie.
Pierre reprend l'initiative et dénoue les lacets de la jolie blouse, les seins gonflés de la jeune fille jaillissent du corsage, provocateurs.
Gabrielle, paniquée, voit toutes ces mains se ruer vers sa poitrine et la presser.
Doucement, fait Pierre il y en aura pour tout le monde !
- Vas-y mon cher, à toi l'honneur.
L'invité ne se fait pas prier et s'installant sur la captive, il caresse les seins d'un mouvement ample, puis s'attarde sur les mamelons, les triturant jusqu'à ce qu'ils pointent, durs et
douloureux. Il approche sa bouche du sein droit et se met à le sucer avidement. Pierre, se charge de faire subir le même traitement au sein gauche.
Gabrielle, essaie de les repousser en se cabrant, en poussant de ses jambes, mais les deux hommes la tiennent fermement et elle ne peux retirer ses seins de leurs lèvres goulues.
- Dis-donc, c'est qu'elle résiste, la garce, fait l'invité.
- Elle mérite une punition, c'est ce que disait ma mère concernant les bonnes désobéissantes en tout cas, fait Pierre.
Il s'écarte et revient avec deux pinces à linge en bois.
- Pour commencer... murmure-t-il en appiquant les pinces sur les tétons roses et sensibles.
Se tordant de douleur, elle voit ses tortionnaires attraper les pinces, pour les utiliser pour tordre les mamelons.
- Alors, tu vas cesser ton petit jeu, et nous laisser prendre notre pied, garçe ?
En larmes, la pauvre fait oui de la tête.
Les deux hommes lâchent les mamelons, sans pour autant enlever les pinces. "Il faut qu'elle se souvienne de la punition" explique l'invité.
La petite culotte est enlevée par des mains expertes, et les deux admirent le beau petit minou, presque lisse, rose et tendre à souhait.
- Je me demande... commence Pierre, es-tu vierge ? lui fait-il.
Ne sachant ce qu'il valait mieux pour elle, elle n'oser bouger.
- Bah c'est simple, on va regarder, renchérit l'invité. Ecarte-lui les jambes mon vieux.
Pierre s'excécute, se posant sur elle, face au joli minou, et attrapant fermement les cuisses douces.
L'invité se couche et écarte des doigts les tendres lèvres, puis pousse doucement son doigt sur l'hymen.
- mmm ça m'a l'air bien étroit tout ça. A mon avis, elle est vierge... et de partout.
- Comment, à ton âge, encore vierge ? s'exclame Pierre toujours assis sur elle. Il est de notre devoir de gentilhomme de réparer cette lacune, qu'en dis-tu Gégé ?
- Tout à fait! Mais qui de nous s'en charge ?
- Tirons cela au sort, tu as une pièce ?
Le sort décida que Pierre aurait la primeur. Pour se consoler, son ami se proposa de faire subir le même sort au petit anus bien serré.
Désespérée Gabrielle, tente de tenir ses jambes serrées, mais les deux amis les attrappent et les lient aux pieds du divan sans hésiter.
- Une petite punition pour ta tentative de résistance, insiste Gégé. Les mamelons sont à nouveau tordus pendant quelques minutes, la faisant sangloter de douleur.
- Pour la suite, on va lui enlever cela, il faut qu'elle profite pleinement de sa première fois, dit Pierre.
Ils enlèvent les pinces et le baillon... "je veux l'entendre jouir".
- Compte dessus. salaut. A l'aide, A l'aide, se met à crier la jeune fille.
- T'aurais pas dû, ricane Gégé. Je lui remets le baillon, tant pis pour les gémissements, tu compte vraiment la faire jouir ?
- T'as raison, elle ne le mérite pas, mais nous si!
Avec un rire sordide, les deux hommes se déshabille, exhibant devant leur victime en larmes des queues en érection.
La bite de Pierre, grosse et longue, vient s'agiter devant ses yeux.
- Tu imagines que je t'enfonce ça jusqu'au bout... hein ?
Il se place à genoux face au sexe écartelé, et commence à frotter son gland sur les lèvres roses. Puis le gland se presse dans l'entrée, essayant de forcer le passage.
Gabrielle se tord devant lui, et il rit, en précisant pour son ami:
- Je vais la prendre à sec, pas besoin de préliminaires pour une garçe de son espèce.
- Ni de lubrifiant, fait l'invité en riant.
D'un coup plus fort, il enfonce sa bite de quelques centimètres dans le vagin. Puis se recule pour la montrer à son ami et à la fille. Un filet de sang la macule, et il s'exclame
"voilà, tu n'es plus vierge ! En fait tu devrais me remercier ma belle !"
Gabrielle ferme les yeux et détourne la tête. Les larmes de douleur ravagent son visage.
Pierre replace sa bite dans le sexe désormais déchiré, l'enfonce profondément, et la prend avec vigueur.
Le viol dure de longues minutes, Pierre la ramone à fond de sa grosse bite dure. Voir la fille se tordre devant lui l'excite de plus en plus. L'invité arrache le baillon et fourre sa
bite dans la bouche de leur captive. Bien bourrée, celle-ci ne sait comment échapper aux queues qui s'acharnent sur elle, et ils finissent dans un cri par jouir sur elle, leur sperme jaillit
sur son visage et sa chatte.
La victime ne bouge plus, vaincue par la douleur.
- Ca t'a plu, avoue, ricane Pierre. Bon à toi maintenant.
- On va la changer de place, viens. Dit l'ami en la détachant.
Les deux hommes installent leur victime à quatre pattes sur le sol, lui coincent les pieds sous une barre métallique, puis attache ses mains en-dessous d'elle à cette même barre. Ainsi
bloquée, Gabrielle se retrouve la tête contre le sol et les fesses à l'air, bien écartées.
- Trop beau tes petits trous ma chérie, mumure Gégé, attends je vais te montrer. Et il prend une photo de sa victime bien offerte, la montrant ensuite à la pauvre fille.
- Ooh gémit-elle, nooon, par pitié.
- La pitié je connais pas ma chatte, mais défoncer les ptits trous, ça oui !
Et le mâle s'agenouille derrière la fille attachée pour caresser l'anus du bout de son gland.
- Ma bite va te défoncer, et tu vas en redemander, parce que tu es une salope, on t'a vu te masturber dans ta chambre, tu n'attends que ça!
- Et puis, c'est ça les vacances, se faire prendre et donner du plaisir, il n'y que ça de vrai.
- Quand on aura fini avec toi, tu seras une spécialiste de la baise, et tu passeras par tous nos potes.
- Et en deux mois, on peut déjà en inviter beaucoup.
Eclatant de rire le violeur s'enfonce dans l'anus et commence à la bourrer...
Les cris de la victime ne font que prolonger les rires des deux mecs, et ils se relaient à présent pour s'enfoncer tour à tour dans le chaque trou.
les poussées lui écrasent la poitrine et la face sur la pierre dure et froide de la cave, elle finit par vomir, et ils s'amusent à la frotter dans son vomi avant d'éjaculer sur ses fesses et son
dos.
- Je crois qu'elle est prête à prendre trois bites en même temps, vivement demain!
- T'as raison Gégé, demain, quand Rob sera arrivée, on s'occupera encore mieux de cette salope.
- Allez nos nanas nous attendent pour la soirée-mousse, laissons ce brave Georges la nettoyer, faut qu'elle soit séduisante pour demain!