Quand elle se réveille dans le bureau, le maître est parti.
Elle se dirige vers la salle de bains pour se laver. Il est tard et les hommes sont au travail. Après une bonne douche, elle va à la cuisine. Le majordome s'y trouve, buvant un café.
- Ah te voilà enfin. Je ne te félicite pas. Le maître est content de tes sucettes mais pas de ta performance au lit. Qu'est-ce qui s'est passé ? parle ?
Au lieu de répondre, elle fond en larmes.
- Bon pas besoin de dessin j'imagine bien ce qui se passe dans ta tête, mais tu dois faire un effort, que feras-tu avec l'invité qui sera dix fois pire? Le maître est quelqu'un de gentil et compréhensif tu sais et là tu l'as vexé. Il ne va pas être tendre avec toi. Que fais-tu de ce que je t'ai appris sur le plaisir et la douleur ? sans doute pas assez rentré dans ta caboche hein ?
Elle pleure de plus belle.
- En tout cas il t'a donné un nom et ce n'est pas glorieux. tu t'appelleras cruchotte. Et je suis chargé en deux jours de t'apprendre à faire la pute. Vraiment j'ai plutôt envie de t'enfermer dans le placard pendant deux jours et advienne que pourra.
- Bon mange ta gamelle, on va en ville.
Il lui trouva une robe, en tissu fleuri, presque transparant, boutonnée sur l'avant, et il lui déboutonne le corsage jusqu'à la naissance des seins. Nue sous cette robe, elle a pour mission d'aller en ville et de se faire baiser par le plus grand nombre d'hommes possible et ne revenir que le lendemain. La voici partie à pied vers la ville, qui se trouve, faut-il le préciser, à 5km du manoir.
Sur la route, elle se fait rattraper par un fermier sur son tracteur. Il lui propose de l'emmener. Elle tente de profiter de l'occasion pour se faire un premier "client".
- comment t appelles-tu la belle ?
- mes amis m'appellent cruchotte.
- Ah ben c'est un drôle de nom. et tu es en vacances?
- oui et je m'ennuie, je suis toute seule, alors qu'il fait chaud et que ça donne des idées, vous ne trouvez pas ?
- ah ben oui ça tu peux le dire, fit-il en reluquant la poitrine.
L'esclave se tortille sur le siège à côté du fermier, elle avait bien veillé à écarter les jambes, elle en profite pour remonter la robe le plus possible sur les genoux.
- ben c'est quoi ces marques sur les genoux?
- oh c'est rien, je suis tombée, j'ai un peu mal, mais un ptit massage, ça ferait passer la gêne.
- Ben si tu veux je te masse quand j'ai déchargé.
- ou avant de décharger? dit-elle en remontant encore un peu la robe, jusqu'en haut des cuisses.
le fermier fait de grands yeux. Il tourne le tracteur dans un chemin de terre et laissant tourner le moteur pose ses mains sur les cuisses de la femme. Elle s'appuie en arrière contre le métal et ferme les yeux.
les mains s'aventurent en haut des cuisses.
- Oh non de dieu! fait-il en découvrant qu'elle ne portait pas de culotte. t es une sacré chaudasse toi, c'est quoi que tu veux te faire violer ?
- non mais me faire mettre par le plus d'hommes possible d'ici demain, si t'as des potes, invites-les
- mais pourquoi que tu fais ça
- pour obéir à mon maître, et pour apprendre à faire la pute.
- ah ben et on te paie alors ?
- non pas toi ni tes potes, c'est mon maître qui me paie, et il paie bien t'inquiète.
- Et ben alors, on baise c'est ça ?
- oui c'est ça.
L'homme la tourne et lui enfonce la bite le temps de dire "ouf".
- Et je t'ammènes les potes.
- oui plein de potes.
- ça roule, ma poule.
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