Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 11:35

Vacances, occasion rêvée d’essayer de nouvelles sensations !

Pourquoi pas une journée sur un beau petit bateau de pêche ?

Pia s’était inscrite via l’hôtel où elle séjournait, et le lendemain, à 6h, elle était prête.

Le temps s’annonçait superbe, la mer calme, tout semblait promettre un moment magnifique.

Un autre vacancier, un homme musclé et à l’allure dynamique, crâne rasé, yeux bleus percutants, se tenait sur le ponton, prêt à embarquer.

Il avait une tenue beaucoup plus adaptée à la mer… jeans, sweat-shirt moulant ses pectoraux sous une veste de pluie entrouverte.  Il regarda Pia d’un air un tantinet supérieur.  Elle, en jeans et T-shirt, n’ayant pour tout bagage qu’un petit sac en toile contenant un KWAY, parce qu’on ne sait jamais… se dit qu’elle devait avoir l’air d’une parfaite touriste idiote.

Ils embarquèrent sur le bateau, trois hommes d’équipage s’activaient à la manœuvre.

Le beau vacancier s’accouda près d’elle sur le pont et ils regardèrent un moment le quai et la ville qui s’éloignait dans un bruit sourd de moteurs.

Quand le moteur tourna à sa vitesse de croisière, il se présenta.  «

-                     Je m’appelle Stephane, ou Steph, comme tu veux.

-                     Enchantée, moi c’est Patricia, mais tout le monde m’appelle Pia.

-                     Pia, d’accord.  J’espère que tu n’auras pas froid en T-shirt, il y a du vent en haute mer.

-                     Je ne suis pas frileuse.

-                     Haha… super ! et il éclata de rire.

Après une demi-heure de navigation, ils arrivèrent à l’endroit désigné pour la pêche.  Steph s’installa à la ligne et Pia se plaça près de lui pour le regarder faire.

Après quelques instants à peine, il remonta un gros poisson bleuté au museau pointu.  Pia applaudit à l’exploit !

-                     Vas-y essaye à ton tour, fit-il.

IL lui céda sa place, et se plaçant dans son dos, l’aida à s’installer, lancer la ligne, tenir la canne… Pia apprécia de sentir sa chaleur et son torse tout contre son dos.  Elle avait un peu froid, mais n’osait l’avouer.  Ses seins surtout souffraient sous le vent marin, et ses tétons tout durs pointaient douloureusement.  IL mit ses mains sur les épaules de la jeune femme et lui dit :

-                     Tu es sûre que tu n’as pas froid, tu frissonnes.

-                     Non, enfin, un peu, mais ça va.

-                     Tu veux que je te réchauffe un peu ?

-                     Euh, oui, pourquoi pas…

Il se pressa tout contre son dos, la protégeant du vent, et entreprit de frotter doucement les bras nus de la jeune femme.  Ses mains étaient très chaudes, un peu rugueuses, sentaient le poisson, mais elle les trouva terriblement excitantes.

-                     ça va mieux ?

-                     Oui, c’est super, merci !

-                     Tu as encore froid quelque part ?

Pia mourait d’envie de sentir les mains puissantes sur ses seins, mais n’osait le dire.  Elle fit un « oui » de la tête, timidement, espérant qu’il devinerait et leva les yeux vers le visage qui la dominait. Il regardait sa poitrine, pensant certainement à la même chose qu’elle, mais allait-il oser ?

Finalement, Pia serra ses bras contre elle, de sorte que les doigts de l’homme effleurent la poitrine compressée.  Il se décida.  Les mains quittèrent le haut des bras de la femme et se posèrent sur les seins.  Pia soupira de bien-être.  La chaleur qui rayonnait des mains, partant des mamelons durcis et rayonnant vers le globe bien rond et ferme du sein était un délice.  Elle se laissa aller, appuyant son dos contre le beau pêcheur.  Celui-ci, encouragé par le soupir, commença très lentement à faire des cercles avec ses mains, faisant tourner les seins dans une caresse très excitante.

Pia pencha la tête en arrière, offrant sa bouche à l’homme qui se pencha, happa la lèvre inférieure et la suça délicatement.  Elle lâcha un gémissement, délicieusement surprise par le geste gourmand de son partenaire.  Elle sentait grandir l’envie de s’abandonner aux mains et aux lèvres expertes, et ferma les yeux pour savourer pleinement toutes les sensations qu’il faisait naître en elle.

Lentement cependant Steph se releva, et ses mains quittèrent les seins qu’il avait massés avec tant de dextérité.

-                     Et si on descendait déjeuner ? Fit-il en souriant.

-                     D’accord.  Dit Pia qui ne souhaitait qu’une chose, c’est qu’il reprenne ses caresses.

En descendant par le tout petit escalier qui menait à la non moins petite cabine, Steph la prit par la taille et la fit s’asseoir sur la banquette, à l’avant.  Il vint s’asseoir tout à côté d’elle, et sans parler plus parler, recommença à la peloter.

Leurs bouches se touchèrent, s’ouvrirent et la langue de Steph vint fouiller la bouche offerte.  Son baiser était doux, mais autoritaire, et Pia se fit la réflexion que décidément cet homme savait ce qu’il voulait.  Et elle trouvait cela délicieux.

Les mains savaient très bien ce qu’elles voulaient et où elles allaient d’ailleurs.  La gauche lui soutenait la tête pendant que la droite cherchait à se glisser sous le t-shirt et remontait vers la poitrine.

Les doigts se faufilèrent sous la dentelle du soutien, entamant une caresse lancinante du mamelon encore dur et tendu.

Pia noua ses mains autour de son cou, en gémissant de plaisir et de désir, bien décidée à lui faire comprendre qu’il pouvait continuer à profiter de son corps.

Elle cherchait comment écarter ses jambes pour l’inviter à une autre caresse, mais c’était difficile, coincée sous la petite table étroite.  La sentant se tortiller sur la banquette, il cessa de taquiner le petit téton et plaça d’autorité sa main sur la fermeture du jeans.  Les doigts pressèrent la chatte, appréciant la sensation d’humidité, même à travers l’épaisseur du tissu à cet endroit.

Lentement il commença à frotter du bout des doigts puis de la paume le sexe, par-dessus le pantalon.

Pia gémit plus fort.

Comme les meubles étaient fixés au sol de la cabine, il n’était pas possible de reculer la table ou de prendre ses aises, mais Steph avait la solution.  Il la fit se lever, faire le tour de la table et la fit se coucher, les hanches et le ventre sur la table.  Pia pouvait s’appuyer des mains sur la banquette, ses seins pendant dans le vide entre la table et celle-ci. 

Sans perdre de temps, il avait défait le pantalon de la jeune femme et avait fait glisser celui-ci jusqu’aux chevilles.  Le slip en dentelle suivit immédiatement le même chemin.

Se sentant exposée, fesses à l’air, à la vue de tous, elle eut un sursaut de pudeur et voulu se relever. Elle aurait aimé qu’il prenne son temps, peut-être qu’il se contente de caresses pour le moment, et passer à l’acte de retour à l’hôtel, mais Steph en avait décidé autrement.  Elle l’avait excité au plus haut point et il entendait se soulager en elle sans plus attendre.

Appuyant fermement d’une main sur le dos de la femme exposée devant lui, pour l’empêcher de se relever, il attaqua la chatte mouillée de l’autre, caressant la chair entre les lèvres d’une pression assez intense.

Pia se secoua.

-                     Non,… oh…. Non… pas ça… aaahhh. Gémit-elle.  La caresse lui faisait perdre la tête, elle voulait dire non et oui en même temps.

-                     Laisse-toi faire, tu es super excitante.  Oh oui tu es bandante du sais… trop bonne ma belle.

-                     Oooh…

D’un geste rapide, il défit son pantalon et sorti sa bite.  Dure et grosse, elle se frottait à présent sur et entre les fesses nues et froides de Pia.

-                     Tu sens ce que tu vas prendre ? T’as envie, hein, n’essaie pas de me dire non.

-                     Oooh…non, mais non, on va nous voir.

-                     Et alors ? ce serait un beau spectacle, une belle garçe comme toi qui se fait baiser par un gros sexe.  Il va bien te remplir !

Et sur ces mots, il pressa le gland humide à l’entrée du joli trou rose, et poussa, poussa, poussa encore.

Pour s’enfoncer plus à son aise, il souleva une cuisse de la main, l’écartant au maximum.  Pia sentait la bite énorme lui défoncer la chatte, et l’autre main lui frotter  le clitoris à toute vitesse.

L’orgasme clitoridien la prenait, intensément.  Elle se mordit la lèvre pour ne pas crier de plaisir.

En même temps, elle voulait crier de douleur, son petit trou n’était pas habitué à un sexe de cette taille.

-                     Vas-y salope, crie, je veux t’entendre jouir.

-                     Mais… aaah… Oooh.

-                     Crie plus fort. Dit-il en donnant un dernier cou de rein.

-                     Aiiiie.

-                     Voilà, je suis bien dedans. On va s’amuser maintenant.  Et il se recula, sortant sa bite toute mouillée et puis la renfonça d’un coup, brutalement, en gémissant.

-                     Oooh, gémit à son tour Pia, sous le coup de butoir au fond de son vagin.

-                     Je veux que tu cries, je veux que ces marins t’entendent jouir tu comprends.

Elle eut l’impression qu’il intensifiait encore la caresse sur le clito, alors que la bite faisait des va-et-vient sauvages dans le vagin dilaté.  Elle ne pu retenir plus longtemps les cris de plaisir et les râles qui lui montaient à la gorge.  Finalement, elle s’en moquait que les autres entendent, de toute façon ils devaient se douter de ce qui se passait dans la petite cabine, et ce depuis un bon moment sans doute.

Elle s’abandonna donc aux sensations et au plaisir qui la prenaient.

Steph, sentant son abandon, accéléra le rythme de ses reins.  La bite entrait et sortait, et Pia avait l’impression qu’à chaque pénétration elle entrait plus profondément en elle.

Il la saisit par les cheveux et lui tira la tête en arrière.  Pia, les yeux fermés, se cabra un peu plus, creusant les reins et lui offrant encore mieux les fesses et la chatte.

Concentrée sur sa jouissance, elle ne se rendit pas compte d’un mouvement près d’elle, et c’est tout à coup qu’elle sentit des mains presser sa poitrine.  Des mains qui ne pouvaient être celles de Steph !

Ouvrant les yeux, affolée, elle vit l’un des pêcheurs qui la palpait tout en se glissant devant elle sur la banquette.  Le beau salop avait déjà sorti sa queue en érection.  Steph lâcha les cheveux et ordonna :

-                     Suce-le, salope.  Suce le bien.

L’homme poussait ses hanches vers le haut, approchant le gland de la bouche de Pia.

Celle-ci secoua la tête.

-                     Non. Je vous en prie, non, dit-elle faiblement.

Clac ! une claque de la main sur les fesses.

-                     Obéis, sans discuter, chienne, tu es faite pour prendre du plaisir et pour en donner, tu comprends.

En grimaçant, elle laissa tomber sa tête pour entourer le gland qui sentait le poisson de ses lèvres, et commença à sucer le pêcheur.  Au fond, c’était répugnant mais quelque part cela lui plaisait et l’excitait aussi.

Pendant qu’elle s’efforçait de sucer le mieux possible le pénis dressé devant elle, Steph était arrivé à l’orgasme.  Il rugissait au-dessus d’elle, en poussant de plus en plus loin, comme s’il voulait la clouer à la table avec sa queue puissante.

-                     Oooh, je vais jouir… je vais t’inonder petite pute, tu es excellente à baiser.

Et il se libéra en elle dans un grand cri.

Quand il se retira, elle voulu faire une tentative pour se relever, mais le pêcheur qu’elle suçait lui maintenait fermement la tête.

-                     patience ma belle chienne, fit Steph.  Tu dois finir le petit cadeau à ce monsieur, et puis… ses collègues attendent leur tour.  Tu ne dois pas faire de jaloux tu sais !

A peine avait-il fini de parler que des mains attrapaient les fesses rougies sous l’étreinte précédente, et qu’une longue et fine queue se présentait pour s’y enfoncer.

Pia chercha à se rappeler combien d’hommes il y avait à bord.  Encore un après celui-là, pensa-t-elle.

Elle n’avait pas imaginé à ce moment que leur envie les reprendrait plusieurs fois dans la journée…

Pour Pia la partie de pêche se résuma à rester dans la cabine et à faire la pute pour les pêcheurs, enchantés de leur journée !

Par irisaia - Publié dans : Vacances
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