Jeudi 31 janvier 4 31 /01 /Jan 11:26

Elle descend du train.  Cette ville inconnue lui fait peur.  Elle relis encore une fois le mail contentant les instructions.  Une dernière hésitation avant d'avancer sur le chemin qui sort de la ville.  Ne va-t-elle pas disparaître à jamais dans cette petite ville de province ? Elle fait quelques pas.  Se remémore son aventure.

 

Tout avait commencé par un délire deux semaines auparavant.  Un échange de mails, un fantasme de soumission.  Elle avait rencontré son maître sur un site.  Et encore, rencontré, non, elle ne l'avait jamais vraiment rencontré.  Même pas vu en photo.  Par contre, lui, savait tout d'elle.  Photos détaillées de son anatomie, fantasmes, désirs refoulés, révolte et acceptation.  Tout.

Les photos qu'il lui demandait chaque jour étaient de plus en plus osées, de plus en plus difficiles à réaliser.  D'abord c'était sa chatte ou ses seins, nus, dans les toilettes.  Puis son sexe nu sur le fauteuil de bureau.  Puis des photos de ses parties intimes dans des endroits étranges: un magasin d'outillage, un concessionnaire auto, une église... La difficulté grandissait à chaque fois, mais elle se sentait si fière quand elle parvenait à prendre la photo et l'envoyer à son maître.

Il se montrait conciliant cependant, parfois du moins.  Et intransigeant sur d'autres points.  Il choisissait avec attention les rencontres auxquelles elle avait droit.  Il acceptait de la prêter à un homme à condition que ce soit une fois seulement.  Il lui fit acheter des sous-vêtements sexys et des jouets pour ses plaisirs solitaires.  Photos à l'appui, bien évidemment.

Puis enfin le jour était venu.  Elle allait retrouver son maître.  Elle marchait à présent dans la rue qui mène à sa demeure.

 

Pour la centième fois elle relis les instructions, revérifie sa tenue.  Une robe blanche, transparante, largement décolletée.  Aucun sous-vêtement.  Elle porte la fine chaîne en or qui représente son esclavage pour seul bijou.  Elle s'est soigneusement épilée, son maître la veut lisse.  Elle est légèrement maquillée et parfumée.

Sa tenue lui a valu des regards gourmands dans le train.  Et aussi des regards rageurs de la part d'autres femmes.

A présent encore, elle sent que des gens se retrournent dans la rue pour la dévisager.  Il faut dire que le soleil d'août se montre perçant et joue avec la transparence du tissu.  Malgré cela, elle avance sans être dérangée.

 

Enfin elle arrive à l'adresse indiquée.  La maison est une des dernières de la rue.  Une jolie villa carrée, un peu cachée derrière une haie et une grille.  Elle pousse la grille et marche avec hésitation jusqu'au seuil.  Ses instructions de sonner trois fois, d'enlever sa robe puis de sonner à nouveau.  Elle jeta un coup d'oeil autour d'elle pour voir si on risquait de la voir, mais tout semblait calme, et l'entrée était discrète, un peu cachée par la haie.  Elle sonna et fit glisser sa robe par terre, puis sonna à nouveau, comme convenu.

 

Les minutes s'écoulent et rien ne se passe.  Elle commence à s'inquiéter, s'agiter, se demande si elle doit se rhabiller et partir quand le parlophone grésille.  "Tourne-toi, dos à la porte et ferme les yeux" dit une voix autoritaire.  Elle obéit, sentant l'excitation la titiller.  Dans son dos, la porte s'ouvre et quelqu'un pose un bandeau sur ses yeux.  Puis l'attire vers l'intérieur.

 

"Nous allons commencer par prendre des photos" continue la voix.  "Celles que tu m'as envoyée son bien, mais de qualité médiocre."  C'est donc le maître qui parle.  Elle ne sait que lui dire, comment lui répondre, elle fait oui de la tête.  "bien" continue le maître, "tu te tais, c'est parfait.  Ne parle que si je te le demande, cela m'évitera de devoir te baîlloner"

Elle n'a pas envie d'être bâillonnée, déjà le bandeau la met mal à l'aise.  Le maître l'entraine dans une pièce.  Il fait très chaud et il y a beaucoup de lumière. "mets-toi à genoux, voilà, en arrière, tes mains sur les chevilles.  Ecarte plus les jambes, bien.  Cambre-toi fort, offre-moi tes seins et ton sexe.  Parfait. Ne bouge pas"  Un déclic, puis deux, dix.  Il tourne autour d'elle pendant qu'elle s'efforce de tenir la pose.  Ensuite il la fait s'allonger par terre, sur le dos, jambes relevée.  "je fais quelques gros plan de tes trous.  As-tu apporté tes jouets?"  Elle ose murmurer "Oui dans mon sac".  Il y prend le vibro et l'utilise pour ouvrir encore plus le sexe. Les photos se multiplient.

"Montre-moi comment tu te masturbes" fait-il en lui plaçant le jouet dans la main.  Elle s'exécute.  les vibrations bien placées sur le clito la font très vite se tordre de plaisir.  Lui, armé de son appareil, la mitraille de plus belle.

"c'est bien ma petite esclave" tu as mérité ta récompense.  Elle sent alors une bite chaude contre sa bouche.  Elle s'empresse de l'embrasser, la lécher puis l'aspirer contre sa langue.  Elle n'a qu'une envie, montrer à son maître tout ce qu'elle sait faire!

Pour bien savourer son plaisir, il s'assied sur le divan, la fait mettre à genoux entre ses jambes.  La longue queue entre jusque dans sa gorge, lui donne envie de vomir, mais elle se force, s'applique à bien sucer, à ne pas le toucher avec les dents, à têter le membre chaud.  Par moments, c'est lui qui de ses mains fait bouger sa tête sur la queue.  La fellation se prolonge, dure encore et encore.  Elle a mal aux joues, à la machoîre, mais il continue encore.

Après une éternité, il se retire.  Il n'a pas encore joui.  "pas mal mais tu apprendras à être plus efficace" lui dit-il sèchement.  "Tourne-toi". 

A quatre pattes devant lui, elle sent les mains lui écarter les fesse. La bite chaude et humide se presse contre son anus.  Un réflexe, elle serre les fesses!  Lui se recule et aussi vite lui donne une claque sur les fesses.  "tu ne te refuses pas à moi, compris !" "oui maître, pardon".  Quelques claques plus tard, les fesses rouges de la fessée méritée, elle se fait défoncer l'anus.  Elle ne peut s'empêcher de crier quand il s'enfonce à fond et se décharge d'un coup dans ses tripes.

Les fesses douloureuses, elle pense qu'il va se retirer, mais non.  Il reste enfoncé en elle, son membre encore durci et commence à lui pincer les fesses.  Elle se cambre, cherche une autre position.  Impitoyable, il s'appuie sur son dos, la forçant à rester immobile à quatre pattes.  Il vient à présent lui pincer les têtons.  "Aie" fait-elle.  Il pince fortement un mamelon dans chaque main, et en réponse à son cri, se met à tourner...

Quand elle ouvre la bouche pour crier à nouveau, il lui mord l'oreille.  Et en même temps, recommence à bouger en elle.  "Je vais encore t'enculer ma belle, tu le mérites" lui murmure-t-il.  "Et je vais te mordre et te pincer, car tu es mon esclave, ne l'oublie pas.  Ne crie plus sinon ce sera pire".  Elle se mord la langue en subissant l'assaut, pour se retenir de crier et tenir bon.

La gorge sèche, secouée, haletante sous les coups de reins de son maître, elle commence à tousser.  Voyant qu'elle n'en peut plus, il s'arrête, se retire.

Il la fait s'asseoir sur le divant.  Elle l'entend qui s'éloigne, alors qu'elle tente de reprendre son souffle et calmer sa toux.

Il revient, lui presse un verre contre les lèvres.  Elle boit goulûment l'eau qu'il lui donne. Elle respire, remercie.

Elle sent son visage tout près du sien.  Il l'embrasse tendrement.  Ses lèvres sont douces.  Il doit porter la barbe car les poils la chatouillent.  Pendant le baiser, quand les langues s'entremèlent, il dénoue le bandeau qu'elle gardait sur les yeux depuis le début. Eblouie car les spots éclairent en plein la pièce, elle devine à peine l'homme qui s'écrase sur elle.  Elle ferme à nouveau les yeux, perdue dans des cheveux et des poils blonds frisés.  Elle glisse et se retrouve allongée sur le divan.  Lui toujours sur elle, fouillant sa bouche de sa langue.  Les mains écartent les jambes. La bite s'enfonce dans le vagin.  Il la prend, la reprend et elle ne peut que s'offir, s'abandonner, molle, ouverte, pendant qu'il l'enfonce de partout à la fois.

Quand la jouissance lui vient, il éjacule sur le corps chaud et moite.  Elle est inondée de liquide blanc.

Il approche sa bite du visage de l'esclave.  "lèche ma queue, nettoie-la bien".  Elle obéit.

"repose-toi à présent" dit-il en posant une couverture sur elle et il s'en va en éteignant les spots.  Elle n'a plus la force de bouger, reste dans cette position et finit par s'endormir.

Quand elle se réveille, elle entend des conversations, des rires, des voix d'hommes qui semblent venir de la pièce d'à côté.  Malgré cela elle n'ose bouger.  Elle a peur de la suite, de ce que son maître pourrait lui demander.  Mais elle a faim et soif.  Elle prend de l'eau, entrevoit une horloge.  Six heures se sont écoulées depuis qu'elle est descendue du train. 

Quelqu'un jette un oeil dans la pièce, voit qu'elle est assise.  C'est son maître qui vient vers elle.

"Voici mes ordres.  Tu vas venir nous servir à table.  Tu seras nue et souillée de mon sperme comme tu l'es.  Tu ne regardera aucun homme dans les yeux, tu ne parleras pas.  tu seras toujours offerte et tu feras tout ce que moi ou mes invités te demanderont.  Est-ce bien compris? " Elle fait oui de la tête.

Elle le suit docilement dans la salle à manger.  Une table est dressée pour quatre.  Le maître et trois amis.  Elle marche les yeux baissés.  Les hommes s'assoient à table.  Elle commence par leur verser du vin.  d'abord le maître, puis les autres.  L'un deux, quand elle est près de lui, en profite pour lui pincer les fesses.  Les autres rient de bon coeur.

Le dernier servi l'attrape par la taille et lui presse un sein.  "pouet pouet" fait-il en rien plus fort.  Elle se sent humiliée.  Elle fait mine de se dégager pour continuer le service, mais il la tiend fermement et à présent c'est sa bouche qui se presse sur le sein, happe le mamelon et le mordille.  Elle se mord les lèvres pour ne pas crier.

"bonne friandise" fait-il "tu devrais essayer, Christian 

- non je préfère le vin, le lait c'est pour les bébés.

- Tu ne sais pas ce que tu perds, moi j'adore un sein dodu avec une mamelle petite et dure.

- Et le reste il est comment ?

- Mmmm...

- laisse-moi voir"

Un autre invité s'approche, la main fouille la chatte. Les deux larrons l'assoient sur la table.  Celui qui s'occupait de la têter place à présent la tête entre les jambes.  La langue habile entoure et tête un autre bouton rose, plus juteux celui-là.

Le voisin quant à lui masse de ses grandes mains les seins.  Elle ferme les yeux, se laisse aller en arrière sur ses mains, et fait de son mieux pour s'offrir.  Elle sait que le maître l'observe, elle craint de le mécontenter.

Tout à coup, celui qui susurrait son clito se retire, Il rit à nouveau.  "Ooh elle a mouillé la belle nappe.

- Quelle cochonne.  On va lui faire payer cela.

- Allez tourne-toi cochonne.

Ils la tournent le ventre sur la table, les jambes pendantes. 

- Une bonne fessée, oh oui !

Les trois compères se relayent pour claquer le petit cul encore sensible et rient de bon coeur.

- Mais je n'ai plus de vin

- Moi non plus

- Ni moi.

- Franchement le service laisse à désirer, allez dépèche-toi.

Elle doit se lever, toute tremblante, et les resservir de vin.

Le temps de faire le tour de la table et celui qui s'appelle Christian a défait son pantalon.  Sa queue se dresse fièrement devant lui.  Les deux autres replacent la belle dans la position de la fessée.  Sauf que c'est la bite de Christian qui tape sur les fesses à présent.  Un peu de vin versé sur le membre par un confrère et Christian s'en donne à coeur joie dans le sexe et l'anus.  Quand il se retire, laissant une longue trainée de foutre couler le long des cuisses, c'est un autre qui se présente, puis le troisième.

Elle s'aggrippe à la table et supporte les assauts tant bien que mal.

Quand ils ont fini, le maître tape dans ses mains.  "mangeons à présent.

- Les plats sont à côté, dans la cuisine, ma soumise.

Elle titube, mais fait le service.  Les regarde manger.

- Assise à mes pieds. Dit le maître.

Elle obéit.  Là il lui donne quelques morceaux à manger.  Elle n'a qu'à ouvrir la bouche pour recevoir la pitance que lui laisse le maître.

- J'aurais bien autre chose à lui faire manger, pas vous ? Dit un invité.

- Bien vu vieux, et à boire aussi!

- Pour cela nous serons mieux à côté, dit le maître en conclusion.

 

Toute la bande passe dans le salon.  Les hommes prennent place dans les fauteuils et sur le divan. 

- Qui commence ?

- Toi Hubert, tu as commencé la baise, alors c'est à moi maintenant.

- comme tu veux Julos.  On te la laisse.  Fais-toi sucer mon vieux.

Le dénommé Julos sort son pénis et elle s'agenouille devant lui.

- Vas-y ma pute, suce moi bien.

Elle s'applique du mieux qu'elle peut.  Mais ce n'est pas suffisant pour lui.

- Alors tu peux prendre plus! Ton maître te regarde, t'as intérêt à sortir le grand jeu.

Il attrape sa tête et lui fait faire des mouvements de va-et-viens plus rapides.

- Je crois qu'on l'a épuisée, dit un autre.

- Julos t'en veut toujours trop.

Mais Julos n'écoutait plus.  Son jus éclaboussait le visage et les seins de la jeune femme, et il poussa un grand soupir.

- Enfin, on y est arrivé!

- Bon moi je ne veux pas d'une nana aussi dégeulasse.  Je me propose de lui faire prendre une douche.

- Bien sûr Hubert, dit le maître.  Tu connais la maison, fait comme chez toi.

Hubert prit la fille par la main et ils partirent dans le couloir. Près de la douche, il fait couler l'eau, et se déshabille.

Elle entre sous le jet d'eau, un délice sur son corps meurtri. Il se place derrière elle et doucement la frotte de ses mains couvertes de gel douche au parfum d'amandes.

Elle se sent très faible, vacille sur ses jambes. Il la soutient à la taille par une main, pendant que l'autre caresse les seins.  Les bouches se rejoignent en un long baiser.  Il la plaque contre la paroi de la douche, soulève une cuisse et la pénètre doucement.

Elle gémit et se laisse aller complètement.  Elle sent bien qu'il ressent un plaisir intense à la prendre ainsi et qu'il se retient violamment pour ne pas jouir de suite.  Il se retire, respire un grand coup et reprend.  A présent maître de ses sens, Hubert la ramone longement, pour le plaisir.

 

Dans le salon, les amis se sont servis un ancien whisky et attendent patiemment.  Huber et la femme reviennent, nus et mouillés. Il rayonne de plaisir, elle est épuisée, prête à s'évanouir.  Le maître vient l'attraper et l'allonge sur le divan.

- Elle a besoin de se reposer un peu les amis.  Hubert, passe cette robe de chambre mon gars, tu vas nous faire mal aux yeux.

 - On joue à quoi les amis, fait Christian ?

- C'est quoi là par terre ?

- Elle a apporté ses jouets à ma demande, précise le maître.

- En tout cas tu l'as bien dressée, chapeau.

- Oui je ne m'attendais pas à autant de soumission, elle est douée.

- Quelle chance pour nous, super soirée, je ne sais pas comment on pourra te rendre la pareille.

- Et la soirée n'est pas finie.

- La nuit sera longue.

- Alors ces jouets ?

Saisissant le vibro, Christian, s'approche de la femme allongée.  Il l'allume et entreprend de la masser avec l'objet.

Il passe sur le ventre, sur les seins.  Elle est tellement épuisée qu'elle secoue la tête, des larmes coulent, elle voudrait qu'ils la laissent dormir.

Le maître s'en rend compte. Il fait un geste et Christian arrête son jeu.

- Il me semble que mon esclave est épuisée.  Mais malgré cela elle ne doit rien refuser, ni au maître, ni à ses amis.

- C'est vrai.

- Je suis triste de devoir te punir, esclave, mais tu dois apprendre à te soumettre tout le temps, quelque soit ton état.  C'est à cette condition que moi, ton maître, je prendrai soin de toi.  Tu ne dois rien penser, ni vouloir par toi-même.

"pardon" murmure la femme faiblement.

- Christian, c'est à toi qu'elle s'est refusée, tu peux proposer une punition, je jugerai si elle est juste ou non.

- Hum, difficile à dire. J'ai un peu pitié d'elle, mais tu as raison, il faut quand même sévir. Et en même temps il faut la réveiller pour nos jeux, et la dresser pour qu'elle obéisse mieux.  Je pense que quelques coups de cravache.  Cela remet les idées en place.

Le maître se lève, va vers une armoire.  Elle ouvre les yeux, terrifiée.  Oubliant la consigne, elle regarde Christian dans les yeux et ouvre la bouche pour dire non.  Mais le regard de l'homme la rappelle à l'ordre.

- En plus elle lève les yeux sur moi et ose réfuser.

- Bon la cravache alors.  C'est pleinement justifié.

Deux hommes la font mettre à quatre pattes.  le maître s'approche par derrière.  Elle pleure d'avance.  un coup sur le dos.  Un sur les fesses.  Encore sur le dos.  Cinq au total.  Elle crie de douleur quand la tige la brûle.  Elle tombe face au sol et ne bouge plus.

Le maître la caresse du bout de la cravache.  Il le passe dans la fente des fesses.  L'enfonce dans l'anus.

- ça c'est à qui? Réponds.

- à vous maître.

Il enfonce la cravache de quelques centimètres dans le sexe.

- et ça c'est à qui?

- à vous maître.

il la retourne brutalement sur le dos.  Elle crie de surprise et douleur.

Il prend le vibro et l'enfonce dans le sexe.

- Tu es à moi et à mes amis, pour jouer avec toi.  Dis "oui maître".

- Oui maître.

- bien.  A toi Christian, continue.

Christian lui écarte les bras.  Ecarte et plie les jambes.  Elle se laisse faire à présent.

Il recommence les massages avec le jouet.

Après les seins et le ventre, il pose la pointe vibrante sur le clito et appuye en tournant.  Il le laisse jusqu'à ce qu'elle s'agite de plaisir. 

- Oui, fais-toi plaisir.  Laisse-nous te regarder jouir.

Alors elle ne se retient plus et laisse venir l'orgasme.  Tous peuvent admirer le corps qui se tord, le ventre agité de spasmes, la respiration haletante, la bouche ouverte dans un grand cri de plaisir.  Tout cela provoqué par un tout petit bout rond et lisse et vibrant en silicone.

Quand il arrête, elle reste allongée sur place, essouflée.  Les hommes sont assis et boivent en la regardant, les yeux remplis de la vue de son plaisir, excités, les oreilles sonnantes de ses cris de jouissance.

Julos, qui n'avait rien fait depuis longtemps s'approche finalement. Place un coussin sous ses fesses et la baise.

- Je dois rentrer, dit Hubert.  Super soirée, bravo à la fille.

- Je t'accompagne fait Christian.  Dompte bien ta pouliche veinard.

 

Quand Julos a fini son plaisir de fin de soirée, il prend congé également.  Le maître et la fille restent seuls.

-Léve-toi.  Viens dans la chambre. A présent tu es à moi et à moi seul.

Il la prend par la main et l'emmène dans la chambre.  Un grand lit les y attend.  Elle se couche, le maître lui attache les poignets à une chaîne à la tête du lit.  Il se couche près d'elle et ils s'endorment.

 

 

 

 

 

Par irisaia - Publié dans : histoires de soumission
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