Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 10:51

La jeune princesse Hilda, installée au fond de son carosse doré, traversait le pays en direction du royaume de Kirm.

Là, le roi Waldir l'attendait pour l'épouser.

Elle ne l'avait jamais rencontré, mais les rumeurs à la cour de son père le décrivaient comme un vieux guerrier bourru, saoûlard et vulgaire.  Plus habitué aux champs de bataille qu'aux spectacles des troubadours.

Elle pleurait sur son sort, obligée de l'épouser pour éviter une guerre entre les deux royaumes.

 

Après deux jours de route, le cortège de la princesse, soldats, dames de compagnie et servantes arriva dans une région montagneuse et hostile.  Cette région, entre deux royaumes, était convoitée par les deux rois mais n'appartenait à personne.  On la disait peuplée d'ogres, de trolls et autres monstres.  Il était hors de question de la traverser de nuit.  le convoi s'arrêta donc dans la vallée, au pied des montagnes et les soldats dressèrent le campement pour la nuit.

Après un repas pris rapidemment et en silence, tous s'installèrent pour dormir, sauf trois soldats chargés de monter la garde.

 

Vers minuit, un hurlement terrible réveilla le petit groupe et leur glace les sangs.  Les soldats bondirent sur leurs épées et hallebardes, les servantes firent rentrer la princesse dans le carosse.  Le hurlement repris, plus proche, plus terrifiant encore.  Hilda, aux aguets entendit des cris, des bruits de métal, un combat avait lieu dehors.  Elle n'osait bouger, et se cacha dans les couvertures, se faisant toute petite.

Puis soudain les bruits cessèrent.  "fuyez" hurla un homme.  Boum boum, en réponse, tout se mit à trembler. "un ogre" hurla une femme. Boum Boum boum, la créature était toute proche.  Un poing énorme s'abati sur le toit du carosse, le brisant en deux.  Puis les doigts fouillèrent dans les couvertures, finirent par trouver la princesse et la créature géant reparti en tenant la pucelle dans sa main.

Elle s'agitait, donnait des coups de pied, mordait la paume qui la serrait mais le géant ne le sentait même pas. 

Il se mit à escalader la montagne, à l'aide d'une seule main, avec beaucoup d'agilité.

Ils arrivèrent à une caverne immense, dans laquelle le géant entra, et déposa sa proie sur un rocher.  Puis il partit sans même la regarder.

 

La princesse se mit à pleurer, pensant qu'elle allait être dévorée bientôt.

 

Un léger bruit se fit entendre en provenance du fond de la caverne.  Au début, elle sanglotait si fort qu'elle ne l'entendit pas, mais le bruit s'approchait.  Elle cessa de pleurer et fixa intensément l'obscurité.  Il lui sembla voir briller des yeux, qui bougeaient, s'approchaient de plus en plus.  Elle se leva, et voulu fuir vers la sortie, mais des lanière de cuir s'abattirent sur elle et la firent tomber.  En un instant, une dizaine de petits êtres furent sur elle.  Elle se débatti mais il nouèrent promptement des lanières de cuir à son cou, ses poignets et ses chevilles, puis tenant fermement ces lanières ils la tirèrent vers le fond de la grotte en riant de ses efforts pour leur résister.

 

Tant bien que mal la troupe arriva dans une deuxième caverne, plus grande encore.  Des feux brûlaient un peu partout dans les rochers.  Hilda vit avec horreur qu'il y vivait là des dizaines de ces petites créatures.  Des gobelins, pensa-t-elle, je suis perdue.  Et elle recommença à pleurer.

Mais les gobelins qui la tiraient continuaient d'avancer, traversant toute la grotte, sous les regards curieux et les moqueries de leurs frères.

Hilda ne tenait plus sur ses jambes et trébuchait de plus en plus souvent.  Finalement les gobelins improvisèrent un brancart, la couchèrent dessus en lui attachant fermement les pieds et les mains aux tiges de bois et la portèrent le reste du chemin.

Hilda retrouva un peu d'énergie pour les supplier, les menacer, mais ils ne faisaient que rire aux éclats de ses cris et suppliques.

Ils passèrent, la portant toujours, par un couloir sombre.  Des gouttes d'eau chaude tombaient sur elle, la faisant crier.  D'ailleurs il faisait de plus en plus chaud.  Le couloir descendait à n'en plus finir.  Hilda pensait avec terreur qu'elle arriverait au centre de la terre, là où vivent les diables.

Finalement ils déposèrent le brancard et la prisonnière sur le sol d'une nouvelle grotte et s'enfuirent à toutes jambes.

 

Hilda, couchée sur le dos, liée à son brancart ne voyait rien.  Mais elle entendait un souffle régulier et puissant.  Un dragon ? se demanda-t-elle.  Les images les plus terrifiantes traversaient son esprit.

Une lueur s'alluma, une torche, puis deux furent placées de chaque côté de sa couche.  Mais elle ne voyait toujours pas qui les avait diposées.

"qui êtes-vous ? Libérez-moi je vous en supplie".

Un souffle chaud sur son corps fut la seule réponse.

elle entrevit soudain devant son visage une main énorme.  La main était aussi grosse que sa tête.  Au moins.  Un doigt passa sur son corps, du cou aux jambes.  Hilda frissonna de terreur.

Deux mains, dix doigts. A présent, les doigts essayaient maladroitement de lui oter ses vêtements.  Hilda supplia à nouveau qu'on l'épargne.

Lassé de se battre avec les rubans et le tissus, les mains arrachèrent le reste des vêtements.

Hilda était nue à présent.

Bien que tournant la tête en tout sens, elle ne parvenait qu'à voir les deux mains énormes, verdâtres aux ongles crasseux qui la tripotaient.

Les gros doigts jouaient avec les petits seins pointus de la jeune fille. 

"Aie laissez-moi vous me faites mal"

le monstre semblait trouver très amusant de passer et repasser son ongle sur les petites mamelles roses, les faisant sautiller.  Il se mit à rire, d'un rire gras et obscène, qui résonna sur les parois de la grotte, faisant trembler le sol sur lequel était posé le brancard. La princesse cria et chercha à se débattre, sans arriver à défaire ses liens.

Soudain une goutte tomba sur la poitrine.  Il lui bavait dessus!

Suivant la goutte de bave, une langue immonde descendait lentement.  La langue devait bien faire la longueur et la taille d'un bras d'homme.  Hilda ferma les yeux de dégoût et fit une grimace qui n'échappa pas au monstre.

Il se mit à rire à nouveau et à donner de grands coups de langue sur le visage et les seins.

"Arrêtez monstre, c'est répugnant, vous me dégoûtez.  Je suis la princesse Hilda, j'ai droit à des égards".

Le dégoût lui donnait du courage, elle voulait que cela cesse, à n'importe quel prix.

"prrrrriiiiinnnncessssssse" répondit la bête.  "moi ogrrrrre pas monstrrrrrre"

"je m'en moque ,libérez moi ou le roi viendra vous tuer."

L'ogre rit encore plus fort et repris de plus belle de la lécher.

Tout son corps était à présent couvert d'une bave verte et gluante.  Cela ressemblait à du vomi, elle se sentait défaillir, nauséeuse.

L'ogre se recula, comme pour l'admirer ainsi couverte.  "miam prrrrincesssse" fit-il en se léchant les lèvres.

Puis il lança un grand cri, comme un appel, la faisant tressaillir.

La princesse pensait bien que sa dernière heure était venue et que l'ogre allait la faire rôtir.

 

Quatre gobelins arrivèrent au galop, répondant à l'appel de leur maître.

Ils sautillèrent autour d'elle en dansant.  La princesse réalisa qu'ils étaient nus et voyait avec horreur leur petit sexe pendouiller entre leurs jambes.  Elle ne pouvait détacher ses yeux des queues qui tressautaient comme des serpents.  Longues et fines.  Souples.  Mais dressées, peu à peu, rigides, tendues en avant.  Elle ouvrait des yeux étonnées, fascinée par ce spectacle.  La première fois qu'elle voyait des bites bander.  Et quelles bites! même si elles étaient très fines, elles semblaient longues à n'en plus finir.

Et voilà que les gobelins se plaçaient à gauche et à droite de sa poitrine.  Ils prirent leur bite en main, les tendirent vers le haut et avec un grand "han" les lâchèrent tous en même temps.  Les verges s'abattirent sur la pauvre princesse comme des cravaches, la faisant crier de douleur.

La bave éclaboussait de toute part.  L'ogre riait de bon coeur et les gobelins remirent ça.

La fille fut ainsi fouettée à plusieurs reprises.

Jugeant sans doute qu'elle n'était plus assez baveuse, l'ogre revint la lécher de haut en bas, s'attradant sur les seins qu'il enroulait dans la langue.  Puis il s'amusa cette fois avec le sexe de la princesse.  Elle était tellement épuisée de douleur, d'horreur, quelle ne broncha même pas quand la pointe de la langue se glissa entre les lèvres à peine poilues du petit sexe crispé.

"miam miam prrrrincesse" répéta-il en se retirant.

Signal pour les gobelins de lui donner encore quelques coups de leurs bites dressées.

Puis l'ogre leur dit quelque chose qu'elle ne comprit pas, mais les gobelins la détachèrent et la firent se mettre à quatre pattes, fesses tournées vers le monstre.

"aaaah non, pitié" Hurla-t-elle lorsque la langue se mit à passer et repasser le long des fesses dodues, se glissant dans la fente, poussant jusqu'au sexe, sans toutefois y pénétrer.

L'ogre chantonnait à présent pour lui-même "Miam miam princesse"

La princesse pensait qu'il en avait fini, mais non, tout en léchant de plus belle son royal postérieur, il recommença à lui triturer les seins de ses gros doigts malhabiles.

 

Puis il la souleva d'une seule main, alors que de l'autre il se mit à lui donner une fessée, tapant à coeur joie sur les joues rebondies de son arrière.

Ballottée de gauche à droite, au grès des claques, la princesse manqua de s'évanouir plus d'une fois.

 

"maintenant le meilleurrrr" fit l'ogre en la posant ventre à plat sur un rocher.  La princesse resta quelques minutes immobile, attendant, essayant de récupérer un peu de forces, mais à quoi bon ?

L'ogre plaqua une grosse main sur le bas du dos, tandis que de l'autre il lui écarta les jambes.

Avant qu'elle ne puisse réagir, un doigt se pressa à l'entrée du petit sexe rose.

"non, non" hurla-t-elle, comprenant ce qu'il allait faire.

Mais le doigt avançait, avançait, déchirant l'hymen, défonçant le vagin, jusqu'à être entré complètement.

L'ogre le retira rapidemment et le lécha avec délices.

"bonne prrrrrincesse" fit-il.  "Encorrrre".

 

La princesse dut se laisser doigter par l'énorme bête pendant plusieurs minutes.  Tous les doigts y passèrent.  D'une main, puis de l'autre.

Quand il eut bien savouré l'intérieur de sa proie, il s'appliqua à y faire entrer sa langue.  Avec beaucoup de difficulté et beaucoup de hurlements de princesse vu la taille de l'organe.

 

 

 

Par irisaia - Publié dans : Monstres divers
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