Elle avait besoin d'argent et il en offrait beaucoup pour un mois de son temps.
Elle sonne à la porte du manoir, son contrat d'esclave à la main.
Un homme, âgé, lui ouvre, la fait entrer, la dévisage sans dire un mot.
Elle attend, debout dans le corridor, inquiète.
- Je suis le majordome, et ton dresseur jusqu'à la venue du maître.
- ah bon ?
- tu ne parleras que si on te l'ordonne, compris ?
elle acquiesce de la tête.
- déshabille-toi.
hésitante, elle commence à défaire ses habits et se retrouve en sous-vêtements.
- Tout tes habits.
encore plus hésitante elle enlève néanmoins ses sous-vêtements.
- voici le règlement, tu le liras et le mémoriseras.
il lui tend une liasse de feuilles imprimées.
- et voici les seuls habits que tu porteras.
il lui passe au cou un collier de chien auquel pend une laisse en cuir rouge.
il attrappe la laisse et entraîne la fille vers le grand escalier.
sous l'escalier, s'ouvre une porte donnant sur un petit placard dans lequel on peut voir une lampe et un vieux matelas usé.
- voilà ta chambre. je reviens te chercher dans une heure.
Il la pousse dans le placard et referme la porte à clé.
Une heure plus tard la porte s'ouvre. Elle est assise sur le vieux matelas, en larmes, essayant tant bien que mal de lire le règlement.
Le dresseur la regarde avec pitié.
- Tu auras plus de confort si tu donnes satisfaction. Dans le cas contraire... il y a des pièces pires que celle-ci dans le manoir. Lève-toi à présent et suis-moi.
Elle sort de son coin, essuye ses larmes.
Il prend la laisse et elle le suit docilement vers le fond du corridor.
- Nous allons à la cuisine, il est temps que tu rencontres le reste du personnel.
Dans la cuisine en effet, trois hommes sont attablés et mangent.
- Voici Momo, le chauffeur.
Un grand africain, lui sourit d'un air gourmand.
- Et voici Emir le jardinier.
Un homme petit et très bronzé la salue d'un geste de la tête.
- Et enfin le cuisinier italien que tout le monde appelle Macho.
l'homme éclate de rire.
- Ciao bella!
- Nous allons t'appeler "esclave" car c'est le maître et lui seul qui a le droit de te donner un nom.
- Esclave, commence la plonge. Fait le cuisinier.
Elle regarde le majordomme qui lui dit d'un air hautain:
- Tu as au moins lu le début du règlement ? tu dois obéir à tous les hommes de la maison.
Elle se dirige vers l'évier et commence à laver les plats posés là.
Les hommes continuent de manger et rire entre-eux comme si de rien n'était.
Après quelques minutes le cuisinier s'approche d'elle, pour vérifier son travail.
Au passage il lui pince la fesse. Elle sursaute et manque de lâcher l'assiette.
- Haha on est une biche timide hein ! Va falloir arranger ça. Viens ici bella schiava.
Il la pousse vers le plan de travail dégagé et passe les doigts dans la fente des fesses.
Elle serre les fesses.
- Hé la schiava résiste.
- Tu obéis ou c'est le fouet crie le majordomme.
L'italien avait déjà ouvert son pantalon et enfonce sa queue dans l'anus de la belle.
- Ma qué bonnissima!
Les autres éclatent de rire.
- Hé Macho, laisse-en pour les autres !
- Toujours pressé, veut toujours être le premier celui-là.
- Silencio les gars, je ne m'entends pas jouir hahaha
Il finit pas se lâcher en soupirant.
- Les autres veulent aussi leur dessert. Va esclave, à quatre pattes.
Macho la pousse par terre, attrappe la laisse et la fait marcher à quatre pattes vers Emir , assis, qui descendait déjà sa braguette.
- Suce-le bien, nous on te regarde faire.
Elle n'avait pas le choix que de prendre en bouche la longue queue tendue, encore un peu molle et l'astiquer avec soin.¨
L'homme lui prend la tête et la fait bouger plus vite.
- Dis Henri, elle est un peu paresseuse la nouvelle.
- Esclave applique-toi, tu ne crois quand même pas que cette lenteur va plaire au maître ?
- Attend j'ai ce qu'il faut.
Des coups pleuvent sur ses fesse, donnés à l'aide d'une grande cuillère en bois.
Elle ferme les yeux et se met à sucer plus vite, plus profond.
Emir semble satisfait et les coups s'arrêtent.
Finalement elle prend le foutre en plein visage, car elle s'était arrêtée au moment fatidique, à moitiée étouffée et toussante.
- OOh elle n'avale pas qu'est-ce que c'est que c'est manières ?
- Tu n'auras rien à manger tant que tu n'auras pas avalé tout le foutre qu'on te donne.
- Allez qu'est-ce que tu attends ?
Elle est bien obligée d'essuyer le liquide sur elle et de le sucer de ses doigts.
Puis les deux hommes, Emir et Macho, lui tendent leur bite pour qu'elle la nettoie avec la langue.
- Bon il y a du travail, mais elle a des capacités. Macho donne-lui à manger à présent.
Le majordomme, Henri, la fait asseoir à table. Ce n'est qu'alors qu'elle se rend compte que le chauffeur n'était plus là.
Macho lui sert un bol de soupe, du pain et un verre de vin.
- Tiens schiava, reprends des forces, tu vas en avoir besoin quand Momo reviendra. Hahaha.
- Il paraît que sa bite est celle d'un cheval.
- Tu vas déguster.
- Au moins tu seras de taille à prendre n'importe quelle queue après ça.
Quant elle eu fini de manger, elle chercha les toilettes. Le majordome la croisa dans le couloir.
- Tu devrais te laver, ensuite je te donnerai ta leçon de soumission.
Il lui indique la salle de bain des employés et attend qu'elle ait fini sa douche.
Ensuite il l'entraîne, toujours par la laisse, vers une salle au premier étage.
La salle est toute noire, avec au centre un lit couvert d'un drap noir aussi.
Il la fait se coucher sur le lit, lui attache les poignets et les chevilles aux pieds à l'aide de cordes qui s'y trouvaient.
- Bien. Tu dois apprendre à être heureuse de tout ce que veut le maître et de tout ce qu'il te donne. Plaisir ou douleur.
Pour commencer je vais te donner du plaisir.
Il prend un énorme vibro et l'applique sur la chatte lisse.
Après quelques secondes l'esclave gémit de plaisir, de plus en plus fort.
- Bien. A présent je veux que tu te souviennes de ce plaisir et que tu gémisse de la même façon sous la douleur.
Il prend un martinet et tape, pas trop fort, sur le ventre, les seins, la chatte.
L'esclave après s'être crispée de douleur, tente de faire semblant de jouir, mais sans succès.
- Bon je vois bien que tu fais des efforts mais ce n'est pas suffisant. On recommance.
Il reprend le vibro et s'applique à la faire jouir à nouveau.
Puis les fils du martinet frappent plus fort que la première fois, la chair blanche.
L'esclave au début arrive à gémir de plaisir, mais sous la force des coups se met à crier de douleur.
- Là c'est moins bien. Nous allons prendre une autre approche,
Il lui enfile une ceinture à l'aide de laquelle il fixe le vibro bien serré à hauteur du clito et l'allume au max.
haaaa crie la fille.
Puis pendant que le vibro agit, il lui assène les coups. Le corps est rouge de partout. La fille se tord sur le lit, ne sachant plus elle-même si c'est de plaisir ou de douleur.
- Là ça devient bien. Pour la première leçon c'est pas mal, nous reprendrons plus tard. Tu peux te reposer à présent.
Il coupe le vibro, mais laisse tout en place et la laisse attachée sur le lit, se contentant de jeter une petite couverture sur elle. Il éteind les lampes, sort de la pièce et ferme à clé, la laissant seule en larmes dans le noir.
Elle fut réveillée en sursaut par un éclairage intense qui s'alluma d'un coup dans la chambre.
Le majordome était revenu. D'un geste il enleva la couverture puis s'assit près d'elle sur le lit. Il avait en main un flacon d'huile de massage qu'il utilisa pour lui masser la poitrine. Ses mains étaient chaudes. Elle ferma les yeux, se détendant un peu sous les caresses. Faiblement, le vibro se mit en marche. Lui ne cessait de masser les seins de l'esclave, regardant les effets du plaisir sur le visage et le corps. Après quelques minutes, il passa le bout des doigts sur le sexe, comme pour s'assurer de la mouille qui s'y formait.¨
- Bien, très bien. Pour les jours qui viennent nous allons te mettre un petit ustencile bien pratique.
Elle sentit qu'on lui insérait quelque chose de dur et froid dans le vagin. Surprise elle demanda "qu'est-ce que c'est".
- Pas parler ! tu seras punie. Mais je vais quand même t'expliquer. C'est un oeuf vibrant. Tu le gardes toute la nuit. Défense de l'enlever. Il se mettra à vibrer automatiquement quand ce sera l'heure pour toi de te lever. Tu viendras frapper à ma porte et c'est moi qui te l'enlèverai quand j'aurai décidé que c'est le moment.
L'oeuf bien en place, elle fut détachée par le majordome et Momo. C'était ce dernier qui avait inséré l'objet. C'est lui aussi qui allait se charger de la punition.
- La punition pour avoir parlé sans autorisation est toujours la même: tu devras rester à genoux pendant autant de minutes que tu as dis de mots.
Elle veut se mettre à genoux, pensant la punition pas trop dure, mais il la retiend.
- Pas par terre. Sur ceci.
Et Momo la fait agenouiller sur une barre triangulaire posée dans un coin de la pièce.
- 5 minuntes top chrono!
La barre est douloureuse et l'esclave n'a pas d'appui. elle essaie de poser ses mains contre le mur, mais Momo lui attrape les poignets et les attache dans son dos. Elle doit donc rester en équilibre sur la barre tant bien que mal.¨
- pour ton info, la punition pour oser lever les yeux sur un homme est de passer 1h les yeux bandés, à la merci de cet homme. et la punition pour refuser quoique ce soit à un homme est le fouet. Tu pourras méditer sur cela dans ton placard.
Les 5 minutes passées, les deux hommes l'aident à se relever.
- Nous passons à la leçon 2. Pour rappel tu dois apprendre à avoir du plaisir de tout ce que ton maître te donne.
Le majordome attache ses poignets au toit du lit, et la fait écarter les jambes.
- ah oui et la punition si tu n'es pas en permance jambes écartées, que tu sois assise, debout, à genoux, ou autre position qu'il plaira à ton maître de te faire prendre, c'est une fessée avec une latte en bois. Très douloureux !
Debout, jambes écartées, elle regarde le beau chauffeur s'agenouiller devant elle et de sa grosse langue rose lècher son sexe. Il est très doué, car elle jouit presque immédiatement.
- Continue c'est parfait.
Le majordome disant cela approche des pinces à linge et les place sur les tétons.
-Aie !
- Ha tu iras refaire un tour sur la barre. tais-toi donc!
Le dresseur se recule pour regarder le tableau. Elle debout, bras attachés au-dessus de la tête, jambes écartées, un bel homme occupé à la lécher et les pinces martyrisant les petits tétons délicats.
- J'attends tes cris de plaisir, allez, plus fort.
Elle arrive en fin à oublier la douleur et laisser exprimer le plaisir.
- Bien c'est tout pour aujourd'hui.
Momo la détache et la place à genoux sur la barre.
- Une minute, et j'enlèverai les pinces après, ça t'apprendra.
- Les deux leçons, tu les auras deux fois par jour à partir de demain, jusqu'à ce que je sois satistait du résultat.
Pour terminer la journée, les hommes l'emmènent dans son placard, lui laissent un seau d'aisance et une couverture et l'enferment pour la nuit.
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