Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 17:45

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Dimanche.

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La journée fut pire que tout ce que nous avions imaginé.

D'abord je pense que hier nous avons été droguées, ce qui explique notre profond sommeil.

Au réveil, nous étions dans une grande cave voûtée, chacune dans une petite cellule.

Dix filles, dix tortures.

La première fille était en chemise de nuit, debout au milieu de la cellule, les mains attachées à un crochet du plafond. Ses orteils touchaient à peine le sol, et celui-ci grouillait de serpents!

La deuxième était également suspendue au plafond, mais par les mains et les pieds, arquée vers l'arrière.  Sa chemise de nuit était en lambeaux et ceux-ci pendaient vers le sol. Dans la cellule, avec elle, les deux chiens les plus féroces de l'école, qui aboyaient et sautaient pour essayer de la mordre.  Ils lui déchiraient de plus en plus la chemise de nuit.

La troisième était nue, couchée sur une table, attachée aux quatre pieds, bras et jambes écartés.  Sa position était plus confortable, mais pas tant que cela, car tout son corps était couvert de cafards qui grouillaient sur elle et tombaient dans sa bouche.

La suivante était agenouillée dos à la porte de la cellule, les pieds liés aux barreaux de l'entrée, les mains liées à côté. De la sorte, elle était coincée les fesses en l'air, fesses dénudées bien sûr et appuyées contre les barreaux.  Ses orifices étaient bien visibles dans un interstice des barreaux.

La cinquième, Mina était attachée, nue, sur une croix, un chapeau de nonne sur la tête.  On lui avait passé un baillon et noué des cordes autour des seins pour les compresser.

Ensuite, une élève était liée sur une grosse souche d'arbre, les fesses à l'air.  Son compagnon de cellule était notre verrat, que j'avais surnommé Arturo et qui était occupé à lui renifler le minou avec son groin tout baveux.

Numéro sept, Yasa, attachée tête en bas et jambes écartelées en grand écart à une poutre. Sous la poutre une plaque métallique avec des anneaux, et dans les anneaux des grosses bougies allumées. La cire chaude coulait peu à peu sur ses cuisses, son sexe, son ventre, la brûlant.

 

Toutes ces filles, sauf Mina qu'ils avaient bâillonnée criaient et suppliaient qu'on les libère.

Les deux dernières, deux sœurs jumelles que j'appréciait peu car je les trouvait très méchantes avec les autres se promenaient dans le couloir, habillées de cuir et fouets à la main.  Elles, visiblement, jouaient le rôle de geôlières.

 

De ma place, je pouvais détailler tout cela, car j'étais attachée près de l'entrée de la cave, face aux cellules, sur un support en bois.  Mes pieds passaient dans des trous d'une planche, vers l'arrière, et mes bras étaient attachés plus haut à une autre planche, aussi vers l'arrière. On avait déchiré ma chemise pour laisser sortir mes seins, et comme j'étais cambrée de force vers l'arrière, ceux.ci pointaient, énormes, devant mes yeux.  Ils n'avaient pas été soulagés, et étaient gonflés à bloc.

Mes amies n'eurent pas à attendre longtemps la suite de leur supplice.  Déjà la directrice faisait descendre le groupe de visiteurs.

Ceux-ci, tous des hommes, riches et vicieux en apparence, se frottaient les mains en admirant les filles offertes à leurs fantasmes.

 

L'un d'eux me désigna et désigna l'écriteau au-dessus de moi "Vache à lait", fit-il en éclatant de rire! Aussitôt quelques-uns se précipitèrent pour goûter mes seins.  Ils me tétèrent goulument, mais j'avais l'habitude, je supportai vaillamment leurs bouches et leurs dents.

Les autres s'éparpillèrent directement vers les cellules.

J'essayais de voir ce qu'ils allaient faire aux filles, je me sentais animée d'une curiosité malsaine, et ne pouvais m'empêcher de regarder.

Dans la première cellule, les jumelles avaient chassé les serpents et descendu  Tiara, toujours liée par les poignets.  Un homme la retroussa et commença à la sodomiser.

Les jumelles firent de même dans la deuxièmes, en chassant les chiens et descendant Karin qui dû subir les assauts d'un grand noir, toujours suspendue au plafond par les pieds et les mains.

Sous les cafards, ma copine Vicky ne voyait même plus ce qui se passait, Elle cria quand l'homme s'enfonça en elle, et se mit aussitôt à recracher des cafards par dizaines.  On aurait dit qu'il lui en enfonçait par le vagin et qu'ils ressortaient par la bouche.  Pauvre Vicky, elle qui ne supporte pas les insectes.

Un des hommes m'a lâchée pour s'agenouiller derrière les barreaux de la quatrième cellule.  Lui aussi avait envie d'enculer la jolie prisonnière.  Le petit trou d'Elisabeth fut ramoné vigoureusement, lui arrachant des cris et des sanglots.

Pendant ce temps, les jumelles s'étaient installées dans la cellule de Mina sur sa croix.  Leurs fouets s'abattaient sur les seins compressés de la belle, suscitant les rires des quelques hommes encore dans le couloir.  Je voyais ma Mina rouler des yeux exorbités, ne pouvant crier à cause de son bâillon.

Personne n'était entré dans la cellule au verrat, ce n'était pas nécessaire car celui-ci, ayant fini de renifler le derrière de la pauvre élève, s'était mis en tête de la sauter, et il l'écrasait sous son poids (c'est un verrat énorme) tout en lui enfonçant son membre en érection dans l'un ou l'autre de ses orifices.  La fille sanglotait bruyamment, ce qui, ajouté au cris du cochon, faisait un raffut du tonnerre.

Personne non plus ne s'approchait de Yasa, sauf pour admirer les traces de cire chaude qui coulait à présent des cuisses et du pubis vers le ventre.  Un homme s'amusa à incliner les bougies pour faire tomber des gouttes bien brûlantes sur les seins, et tous applaudirent quand une goutte toucha le mamelon.

Finalement, les hommes qui n'avaient pas eu de fille se dirigèrent vers une des premières cellules.  Sans discussion, ceux qui avaient fini cédaient leur place et allaient ailleurs, vers une autre attraction.

Par irisaia - Publié dans : Journal d'une jeune fille
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Commentaires

Un mélange des 120 jours de salo façon Pasolini et des Hostels, j'aime ça. Je me sens de plus en plus inspiré pour écrire une page de ce journal intime
commentaire n° :1 posté par : Le pornographe le: 20/08/2009 à 03h02
j'aime tes textes!!!et aussi tes coms chez Dany!!!chauds comme je les aime
je t'invite sur mon blog
baisers coquins
commentaire n° :2 posté par : peter pan le: 20/08/2009 à 19h25
bonjour ma belle cochonne je n'est plus de nouvelles dans mon blog j'ai mis des nouvelles photos de moi en attendant ta visite je te leches partout
commentaire n° :3 posté par : dany le: 21/08/2009 à 14h21
bonjour ma belle cochonne je n'ai plus de nouvelles de toi j'ai mis des nouvelles photos dans mon blog en attendant ta visite je te leches partout
commentaire n° :4 posté par : dany le: 21/08/2009 à 14h24

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