Mercredi 19 août 3 19 /08 /Août 17:45

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Dimanche

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A nouveau nous avons eu droit au cours de natation.  Pas de dispense a dit la directrice.  Les filles qui prétendent être réglées doivent se le faire vérifier par un professeur.  Yasa, la petite brune frisée avait prétendu l'être, et c'est Mme Asanov qui s'est chargée de vérifier devant nous toutes.  Quatre filles ont dû la maintenir sur son lit, jambes écartées et l'horrible femme a enfilé des gants puis a enfoncé son doigt dans la pauvre petite qui se débattait.

Le gant blanc est ressorti un peu taché de sang, et Mme Asanov a dit que ce n'était pas les règles, mais juste qu'elle avait perdu sa virginité.  Yasa pleurait à chaudes larmes, et pourtant elle a dû nous suivre jusqu'au lac.

Cette fois Arturo m'a demandé de rester avec les premières année.  Je devais faire une démonstration m'a-t-il dit.

En fait de démonstration, j'ai dû nager vers le centre du lac et lui s'est élancé en crawl à ma poursuite.  Quand il m'a rattrapée, il m'a tirée en arrière vers la barque où se trouvaient deux surveillants.  Les hommes m'ont attaché les poignets à la barque et j'ai dû subir à nouveau les assauts du professeur.

Je vois encore mes seins bondir devant mes yeux pendant qu'il me limait sur l'eau et s'agrippant à ma taille.  J'entends encore les deux hommes dans la barque rire et lui demander de leur en laisser un morceau…

Ensuite ils ont ramené la barque au rivage, me traînant à leur suite dans l'eau et le prof a proposé de faire la même chose avec chaque élève, en commençant par Yasa.

"Rien de tel qu'un peu de motivation pour apprendre à nager" a-t-il dit.

Yasa fut envoyée dans l'eau, à coups de fouet, mais ne sachant pas nager, elle fut aussitôt happée par le prof qui l'a entraînée là où elle n'avait plus pied.  Elle essayait de lui échapper mais coulait presque aussitôt.  La barque les ayant rattrapés, les hommes l'attachèrent par les poignets, comme pour moi et le moniteur s'approcha d'elle.

La pauvre hurlait comme une folle et avalait de l'eau à grands coups.  Arturo s'est enfoncé en elle et l'a violée.  Aucune de nous n'osait bouger.  Toutes les filles sanglotaient, terrifiées.

Quand il eut finit, un des surveillants sauta de la barque et vint prendre sa place.  La pauvre Yasa devait être à moitié noyée car elle ne criait plus.  Ils l'ont tirée sur le rivage, plus morte que vive.

Pendant que moi et quelques autres essayions de la ranimer, ils ont continué leur petit jeu avec une autre, puis une autre, se relayant dans l'eau pour les violer, jusqu'à ce que toutes les premières année aient eu leur leçon de natation.


 

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Lundi

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La troisième semaine a commencé par une grande réunion à la cantine.  Mme Vanlaer entourée de toute son équipe, professeurs et surveillants nous a annoncé que dimanche prochain ce serait "Journée portes ouvertes", et que les cours seraient supprimés.  Pas de natation, c'est magnifique !

Ce qui l'était moins, c'est quand elle nous expliqua que de nombreuses personnes allaient venir et que nous devions être gentilles et accueillantes et leur montrer ce que nous avions appris.  Après le soupir de soulagement de la première annonce, c'est un vent de panique qui balaya la table ou nous étions assises, nous les premières.

Pourtant les autres élèves semblaient assez heureuses.  Elles avaient dû subir la même chose que nous en première année, et s'en étaient sorties, alors ? Ne vaudrait-il pas mieux être docile et s'habituer, finalement, l'an prochain, ça ira mieux.

Après la réunion, nous avons rejoint nos maîtresses pour "réviser".  En fait, il s'agissait de choisir sa tenue pour le dimanche.

Il y avait des robes très moulantes, hyper courtes, qui remontaient à mi-fesses à chaque pas.

Il y avait des bustiers et porte-jarretelles en cuir ou en dentelle.

Je n'aime rien de tout cela.  J'ai fini par trouver une longue tunique blanche, avec un décolleté en V qui descend jusqu'au nombril, le tissu masque à peine mes seins devenus énormes à force de produire du lait- La tunique est fendue de chaque côté, jusqu'aux hanches, ce qui fait comme deux bandes de tissu qui pendent devant et derrière.  Tout simple.

Arturo est passé alors que j'essayais, et il a suggéré que je prennes plutôt une salopette blanche à pois noirs pour me déguiser en vache à lait.  Toujours aussi délicat!  Je le déteste toujours autant.

 

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Mardi

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L'infirmière, cette salope, a décidé que mes seins étaient guéris.  Sans pitié pour ma pauvre poitrine, elle m'a renvoyée de l'infirmerie.  Parce que, semble-t-il, ils avaient du temps à rattraper, Mme Asanov m'a offerte à tous les hommes de l'école.  Ceux-ci se sont succédés pour téter mes mamelons, pressant mes seins de leurs grosses mains sales, tout au long de la journée.  Ils venaient même m'appeler pendant les cours et je devais leur donner le sein debout dans le couloir.

 

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Jeudi

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L'après-midi, je l'ai à nouveau passée au labo.  Les élèves ont fait des tas d'analyses,  prise de sang, scanner etc…  Finalement je me suis retrouvée sur une table gynécologique.  La prof a expliqué comment palper les seins, les pressants de toutes ses forces. Ensuite, elle a voulu me faire un examen gynéco et a enfoncé un instrument froid et métallique dans mon vagin.  C'est extrêmement désagréable.  Elle a rentré une pince et m'a griffée à l'intérieur, puis a palpé mon ventre, disant que mon utérus et ma matrice étaient bien formés et prêts à être fécondés.  J'ai crié "Non" de toutes mes forces! Non, qu'est-ce qu'elle me veut encore, c'est pas assez d'être devenue la laitière de l'école! Je ne veux pas, je ne peux pas être enceinte, c'est pas possible.  Pourtant les rapports fréquents avec cet affreux bonhomme, ce nageur à la noix, obsédé sexuel, et les autres hommes qui me tripotent à chaque occasion.  C'est horrible! Je ne peux pas supporter l'idée qu'ils m'ont violée et fait un enfant en prime.

 

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Samedi

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Deux jours, voilà deux jours que nous devons nettoyer les salles de cours, les dortoirs, les couloirs, sans compter les écuries pour que tout soit impeccable demain.

Lorsque nous nous couchons, malgré la peur qui nous tenaille, nous nous endormons immédiatement, épuisées.

 

Par irisaia - Publié dans : Journal d'une jeune fille
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