Le Fulgurant était au 17ème siècle un vaisseau pirate de triste réputation. Dans la mer des Caraïbes, pas un village de pêcheurs n'avait entendu le nom de son capitaine : Assala le
tueur! Lorsque la voile pourpre et le drapeau noir apparaissaient à l'horion, tous cherchaient à se cacher, et surtout à cacher leurs femmes. En effet, l'équipage était friant de
chair fraîche, et venait tous les trois mois à terre pour capturer une jeune fille qui leur servait ensuite de jouet sexuel.
Ce jour-là, le vaisseau jeta l'ancre au large d'un petit village de pêcheurs. Son arrivée nocture l'avait fait passer inaperçu et quand le village s'éveilla, les pirates étaient déjà dans
les rues. Les hommes aux horribles cicatrices entraient dans les maisons, choisissaient les plus jolies femmes ou filles, celle qui avaient des formes avenantes et les rassemblaient au
centre du village. Personne n'osait, ni ne pouvait leur tenir tête. Le capitaine, immense, habillé de rouge, armé d'un fouet, passa entre les femmes immobiles, effrayées et s'arrêta
finalement devant une jeune fille, Isa, aux formes bien rondes, aux seins lourds.
Celle-là fit-il. Deux pirates attrapèrent Isa, lui nouèrent une corde autour des poignets et l'entraînèrent vers la chaloupe. Ses pleurs et ses suppliques les laissèrent de marbre, elle fut
hissée à bord du vaisseau qui prit le large, laissant le village en deuil.
Une fois en pleine mer, Isa fut amenée sur le pont, devant tout l'équipage.
- A présent tu es notre esclave, notre catin, notre chienne. Tu dois obéir et satisfaire tous les hommes ici présents. Le contremaître t'expliquera le déroulement de tes journées,
mais avant ça, nous allons faire connaissance.
Rapidemment deux hommes lui enlevèrent sa chemise et sa jupe, puis l'allongèrent, nue sur le pont. Ses poignets furent solidement fixés au grand mât et les deux hommes lui écartèrent les
jambes.
Déjà des marins riaient et sortaient leurs bites pour les masturber, elle , voyant cela roulait des yeux horrifiés et pleurait en les suppliant de la libérer.
Mais les hommes rirent plus fort et le se bouculaient pour la violer.
Le premier était déjà en elle, quand un autre approcha sa queue de sa bouche et lui enfonça de force.
Pendant tout l'après-midi, les hommes se succédèrent pour la violer et jouir sur elle. Le sperme coulait sur elle et sur le pont et le contremaître lui dit qu'elle devrait tout lécher avant
le soir !
Quand ils eurent finis et certains passèrent plusieurs fois, le capitaine revint la féliciter.
- Lèche bien chienne, car c'est ainsi que tu passeras toutes tes journées à présent.
Le contremaître l'emmena ensuite dans ce qu'il appelait pompeusement sa cabine.
Il s'agissait d'un placard, à peine assez large pour elle. Il la fit s'asseor sur un banc percé, l'eau clapotait en-dessous. "Pratique pour tes besoins" commenta-t-il dans un rire
gras. Et l'attacha par la taille à la cloison.
A gauche et à droite de sa tête, à peu près en face de sa bouche, il y avait deux beaux trous ronds. "Je te conseille de bien soigner ce qui viendra par là, si tu ne veux pas qu'on devienne
méchants" fit-il. Et refermant la porte sur elle, il la laissa seule dans le noir, sangloter sur son triste sort.
Elle finit quand même par s'endormir un peu, épuisée, quand un grand coup tapé à la cloison la fit sursauter. Ouvrant les yeux, elle devina quelque chose qui s'apporchait par le trou. Elle
cria de peur, croyant voir un serpent, mais c'était bien sûr une verge qui attendait d'être sucée. Comme elle ne comprenais pas ce qu'elle devait faire, elle chercha à éviter le bout qui tapait
contre sa joue. C'est alors qu'une voix répugnant cria "suce salope !"
N'osant refuser de crainte d'un punition, elle finit par prendre le bout dans sa bouche et le sucer docilement.
"Plus fort", elle essaya de donner satisfaction mais son inexpérience la rendait maladroite et les larmes qui coulaient à nouveau ne l'aidaient pas.
Finalement, le pénis éjecta un jet de liquide brûlant qui atteignit sa joue et l'homme se retira en grognant " sale chienne tu me le paieras".
La nuit se passa sans autre incident.
Le matin, le contremaître vient la détacher, lui donnant un morceau de pain et un peu d'eau. Quand elle eut mangé, il l'emmena sur le pont.
- Tu n'as pas obéi, tu n'as pas donné satisfaction à un bon pirate qui venait chercher un peu de réconfort, tu dois être punie.
- Je vous en prie--- commença-t-elle.
- Quoi tu oses me contredire ! Plus un mot ou je t'arrahe la langue.
Son air menaçant empêcha Isa de continuer.
Sur le pont, les hommes l'attendaient. Ils l'attachèrent debout contre le mât. Un grand chauve avec un bandeau sur un oeil s'approcha tenant un fouet à six lanières.
- La punition pour désobéissante et incapacité à donner satisfaction à un homme est de dix coups de fouets.
- oui la première fois... ha ha ha
Sous les rires et les huées, le fouet s'abattit sur le dos et les fesses dénudés. Isa cria de douleur. Les hommes comptaient les coups. Après dix, ils ne la détachèrent pas, et le bourreau
lui annonça qu'ils allaient profiter de l'occasion pour la marquer.
Un fer brûlant avec comme symbole une épée fut appliqué sur la hanche ensanglantée. Isa s'évanouit de douleur.
Le bourreau la détacha et elle tomba comme une masse sur le sol. Riant toujours un pirate la réveilla en lui balaçant un seau d'eau de mer. Le sel raviva les blessures des coups de
fouets et elle repris connaissance dans un hurlement de douleur. Alors il lui passèrent un colier de cuir autour du cou, avec une corde, comme à une chienne et elle fut attachée à quatre
pattes sur le pont. Elle resta ainsi tout le jour, blessée, le dos à vif, sur les genoux ou sur le ventre, et les hommes virent la violer à chaque fois que leur travail sur le pont leur
permettait une petite pause.
Le soir tomba. Elle eut le droit de manger un morceau de pain et de boire un peu d'eau, puis ceux qui n'étaient pas de quart descendire avec elle dans la cale pour leur spectacle. Ils
étaient tous très excités et n'arraîtaient pas de demander au bourreau ce qu'il avait prévu. Celui-ci leur assura qu'il avait imaginé un traitement spécial pour leur nouvelle chienne.
Les hommes s'installèrent en arc de cercle sur le sol. Au centre, on déposa Isa, à genoux, morte de peur. Le bourreau commança par lui nouer les mains dans le dos, puis tirant les
bras encore plus en arrière, lui noua les coudes bien serrés. Ainsi la magnifique poitrine était comme lancée en avant, vers les hommes avides. Ils commentaient les seins ronds
comme des pamplemousses, les aréoles brunes et les gros mamelons qui pointaient tels deux cartouches de mousquets. La comparaison lancée par l'un d'eux les fit tous rire, et un autre ajouta
"Je tirerai bien un coup avec ces cartouches-là".
Quand les rires se furent un peu calmés, le bourreau tira sur le poignets de la jeune femme et la fit se courber en arrière jusqu'à ses chevilles. Il attacha solidement les chevilles et les
mains ensemble.
Isa, le ventre tendu comme un arc, offrait à présent à son public la vue de sa chatte poilue. "tondue, tondue" criaient les hommes en choeur.
Attrapant une lame, le bourreau rasa délicatement le pubis, et s'écarta afin que tous puissent admirer son travail. Les hommes applaudissaient à tout rompre.
Il lui attacha un baillon en cuir puis un crochet fut passé dans les cordes qui tenaient ses poignets et ses chevilles ensemble et sous les "ho-hisse" de l'équipage, un complice la hissa en
l'air.
Suspendue au-dessus de leurs têtes, douloureusement arquée,il ne lui restait plus de larmes pour pleurer.
Sans doute n'était elle pas encore assez écartelée, car le bourreau, utilisant d'autres crochets, lui tira la tête en arrière par le baillon, et lui écarta les genoux par d'autres cordages.
le corps de leur esclave épousait à présent l'allure d'une sphère pendue à un mètre de hauteur.
- Et à présent ? demanda le bourreau?
- Le bambou, le bambou crièrent certains, bientôt rejoints par tous.
Avec un profond salut vers son public, le bourreau pris une tige de bambou verte que lui tendait son acolyte. Il appliqua quelques coups légers sur les tétons dressés devant eux.
A chaque fois le sein ballottait et Isa se tordait en l'air entre ses cordes sous la douleur. Les coups se firent de plus en plus forts, tombant sur les siens, les côtes, le
ventre de la victime.
Les rires et les cris des hommes devinrent frénétiques. Isa s'évanouit de douleur.
Alors le bourreau la fit redescendre et la réveilla en lui jetant de l'eau de mer glacée au visage.
- Alors ça te plait ? Je crois qu'on va t'appeler bambou.
- Hé, bambou, viens sur ma tige, hurla aussitôt l'un des pirates surexité.
- Assez pour ce soir, ramenons-là dans sa luxueuse cabine et j'espère qu'elle ne fera plus sa mijaurée tout à l'heure!
De retour dans son placard, Isa-bambou pleura tout son saoul. Jusqu'à ce qu'une bite très longue et très dure vienne se présenter dans le trou de gauche. Isa se précipita pour la
prendre dans sa bouche et la sucer le plus consciencieusement possible, la crainte de la punition la rendait imaginative. Elle caressa la longue queue de sa langue, la mouilla, la pressa
entre ses lèvres, puis dans son souci de bien faire, la cogna malencontreusement avec les dents.
- Aie, sale chienne, gronda une voix d'homme.
- Pardon je ne l'ai pas fait exprés, pardon, supplia-t-elle
- Et tu oses me parler en plus, sale garce. Finis ton travail et fais-le bien et j'oublierai peut-être cet incident.
Isa suça, suça, faisant bien attention à ne pas toucher avec les dents, et quand il jouit, elle s'efforça de tout garder en bouche et d'avaler. Sans un mot, l'homme se retira.
Persuadée qu'elle serait punie, elle passa le reste de la nuit à sangloter.
Le lendemain, sur le pont, un simulacre de jugement fut mis en place.
L'homme qu'elle avait sucé, un grand noir, très maigre expliqua qu'elle l'avait mordue, mais s'était appliquée à bien faire par la suite. le capitaine demanda le vote: pour ou contre la
punition. Une large majorité, hurlante de joie, vota pour.
Isa s'écroula sur le pont, terrorisée.
Le bourreau s'approcha, sur ordre du capitaine, lui et le pirate noir la soulevèrent et l'attachèrent au mât.
- Attend, fit le capitaine. Comme elle s'est rachetée, tu t'efforceras de ne pas la toucher avec ton fouet.
Le bourreau fit claquer son fouet en direction des fesses, mais sans les toucher. Isa criait de peur à chaque fois. Un coup raté la toucha, laissant une nouvelle marque rouge. Mais
les autres ne la blessèrent pas.
- Bien fit le capitaine, à présent je la veux dans ma cabine.