Cassie et sa nouvelle copine Julie s'étaient inscrites cette année-là, l'année de leurs 18 ans, à des cours de judo. Le groupe du vendredi était composé de quelques débutants comme elles et de plus avancés. Un assistant, Bruno, grand et séduisant avec sa belle ceinture noire s'occupait de faire travailler les nouveaux. Cassie avait tout de suite craqué sur lui et le trouvait "merveilleux". Bruno semblait très détaché par rapport à ses élèves, mais Julie avait remarqué qu'il se plaçait souvent derrière les filles lors de l'échauffement, apparemment pour corriger leurs positions, mais peut-être aussi pour les regarder se pencher en avant devant lui.

 Cassie cherchait toutes les occasions pour s'exercer avec lui, et préférait le travail au sol, quand elle pouvait sentir son corps appuyer sur elle et l'immobiliser. Un jour, elle resta un peu après le cours pour lui demander des explications. Il en profita pour lui suggérer de venir faire un entraînement supplémentaire, le lendemain après-midi. Il expliqua qu'il avait une pièce chez lui toute installée pour s'entraîner. Négligeant la mise en garde de Julie, Cassie accepta de se rendre seule chez le séduisant moniteur le lendemain.

Il la fit entrer et ils descendirent au sous-sol, où une pièce était en effet aménagée: un tatamis recouvrait entièrement le sol, des espaliers étaient fixés au murs et dans le petit couloir, une douche ainsi qu'une petite pièce pour se changer étaient visibles. Cassie passa dans la petite cabine et se mit en kimono. Pour une fois, elle négligea de mettre des sous-vêtements sous son maillot, afin de se sentir plus séduisante. Dans la salle d'entraînement, Bruno, torse nu sous son kimono l'attendait.
- Nous allons commencer par quelques exercices d'élongation, lui dit-il. J'ai remarqué quelques positions que tu ne fais pas correctement, si tu veux, je vais te montrer.
- D'accord.

Il la fit se placer bien droite, jambes écartées, et lui posant une main sur le dos et une sur la poitrine, la fit se pencher en avant.
- Reste bien le dos droit, incline-toi le plus possible.

La main sur la jeune poitrine avait bien sûr senti les seins pointer librement, et appuyait fermement sur ceux-ci, faisant bondir le coeur de la belle. Il se plaça derrière elle, tout contre ses fesses, posant les deux mains sur la jolie poitrine.

 - Descend plus bas, encore... Cassie était presque pliée en deux, sentant le corps du moniteur incliné sur son dos, et le bassin contre ses fesses. Troublée, elle se releva pour se trouver carrément dans ses bras.
- Bien, nous allons passer à un échauffement au sol. Il se trouvèrent à rouler par terre. Lui l'eut bien vite immobilisée sous lui, la bloquant avec sa poitrine et lui tenant les bras.
 - Essaie de te dégager. Il souriait de sentir les hanches de son élève onduler et se cabrer pour tenter de se dégager. Une main lâcha le bras de la fille et , glissant sous le kimono, vient se placer sur le sein, juste sur le maillot. Cassie le regarda, surprise. Mais lui, ne montra aucune gêne, au contraire, il appuya sa caresse, tournant doucement la main, massant ainsi le sein, et faisant pointer le mamelon. Cassie ferma les yeux, c'était si bon ! Elle aurait voulu qu'il l'embrasse, mais il se recula et lui dit:
- A ton tour, immobilise-moi! Elle ouvrit les yeux, il était allongé sur le dos et attendait. Elle se mit en position, sur lui, humant son odeur et ne quittant pas sa poitrine lisse des yeux. Faisant semblant de se débattre, il plaqua sa main dans son dos et la serra contre lui. Sans savoir pourquoi, ni comment, elle se retrouva à embrasser la poitrine de cet homme, et lui trouvait un goût délicieux. Il attrapa une jambre et la passa par-dessus son corps.

Cassie était maintenant à califourchon sur lui, la bouche toujours sur sa poitrine, et se concentrait sur ses fesses que le moniteur massait lentement. Mmm tout cela était terriblement bon. Ils roulèrent sur le tatamis, lui se plaçant à nouveau sur elle, pour l'embrasser. Elle s'abandonna avec délices au baiser, offrant sa bouche, sa langue. Il l'embrassa longuement, sensuellement, tandis que ses mains écartaient le kimono pour caresser les seins.

Cassie, impatiente de retrouver ces caresses, tendait la poitrine vers lui et gémit de plaisir lorsque les mains puissantes lui massèrent les seins. Sans cesser de l'embrasser, il fit glisser ses mains vers le ventre, puis le pantalon, cherchant à le défaire afin d'atteindre le pubis. Cassie prit peur, et voulu se relever, mais il était très convainquant! Prendant son temps, il recommença d'une main à caresser les seins, l'embrassant à nouveau, tandis que l'autre caressait la chatte en restant sagement sur le pantalon.

 Cassie sentit que quelque chose la mouillait et eut peur qu'il sente cette humidité douteuse, mais lui ne semblait pas dérangé, au contraire, il continua la caresse, cherchant à nouveau à se glisser sous le pantalon, et cette fois, elle le laissa faire. La main, sur laquelle Cassie concentrait à présent toute son attention, tous ses sens, se faufila sous le maillot, touchant le pubis couvert d'un léger duvet, effleurant les lèvres charnues, se glissant entre-elles, là où la chair tendre et fraîche était toute humide de plaisir, et la caressa tendrement. Cassie frissonna sous le plaisir inconnu, et s'agrippa à lui, poignant de toutes ses forces dans ses épaules.

 Bientôt les mains du moniteur firent glisser le pantalon de la belle élève et il descendit vers le petit minou pour l'embrasser. Cassie sursauta de suprise et de plaisir, elle ne s'attendait pas à une telle vénération de sa part ! Il continua sur sa lancée, sa bouche se pressait sur les petites lèvres pour leur faire plein de baisers, suscitant de nouvelles vibrations dans le ventre de sa belle. Ensuite, il sorti la langue.... Cassie hurla sous l'éclair de plaisir intense qui la prit totalement par surprise.

Mais ce n'était pas fini, car la langue continuait, caressant le minou, titillant le clitoris, envoyant des décharges électrices dans le corps de la jeune fille, qui perdit tout contrôle. Abandonnée à lui, elle connut son premier orgasme, puissant, électrisant, incontrôlable. Les cris de la fille se tordant sous sa langue excitaient Bruno au plus haut point. D'un geste habile, il enleva le bas, se retrouvant nu, couché entre ses jambes, puis, quand l'orgasme sembla un peu calmé, enfila un préservatif et se glissa à nouveau sur elle, approchant sa verge du vagin encore vierge.

 - regarde-moi dans le yeux, commanda-t-il. Cassie aurait bien voulu fermer les yeux pour ressentir plus fort la jouissance, mais elle obéit et fixa son regard dans le sien.
 - je veux que tu me regardes quand je te pénètre, ajouta-il. Et je veux jouir dans tes yeux. Cassie fit signe que oui.
Le pénis touchait à présent l'hymen et Bruno sentait sur son gland une entrée toute petite qui ne demandait qu'à être forcée. Il appuya un peu et dans un déchirement silencieux, sentit que le passage s'ouvrait. Les yeux de la belle se troublèrent, tout son corps se crispa sous lui. Il appuya encore et ce fut un jaillissement d'énergie dans une sensation de chaleur et de douceur humides.

Sa queue ressorti, rentra, et recommença le mouvement. Sous ses reins, les hanches de Cassie accompagnaient le mouvement en ondulant. Cassie, sans quitter le bel homme des yeux apprenait à faire l'amour, et apprenait vite ! Lui se retenait difficilement tant l'excitation que la jeune vierge lui procurait était intense. Quand il la vit jouir, il se lâcha en elle, et ils crièrent leur plaisir au même moment.

Quand ils eurent repris leus esprits, il entreprit de la déshabiller. Elle le laissa faire, soulevant les hanches pour l'aider à faire glisser le maillot. Il regarda longuement le corps nu, les seins encore petits et fermes, pointant vers le plafond comme des petites pyramides, le ventre plat, le petit nombril, puis le pubis, la courte toison blonde et en dessous les lèvres déjà charnues. Il recommença son inspection, passant la main à présent sur les seins,chatouillant les tétons du bout des doigts, tournant ensuite l'index dans le creux du nombril, puis passant le même doigt entre les lèvres , dans la petite chatte chaude et encore mouillée.

 Cassie savourait les caresses en regardant le visage attentif de son amant et en se demandant ce qu'il pensait d'elle. Comme s'il lisait dans ses pensées, il lui fit plein de compliments sur elle, sur son corps, lui parlant de ses seins très attirants, de son joli ventre, de sa belle toison .... Cassie n'avait jamais rêvé d'entendre ces genres de choses et elle se sentait de plus en plus pleine de désir pour l'homme qui lui parlait de la sorte. Elle passa la main sur sa poitrine, puis son dos et l'attira à elle. Se penchant, il l'embrassa à nouveau, brièvement, car ensuite sa bouche descendit vers les seins pour les embrasser, puis sucer les petits bouts roses et sensibles, tandis qu'elle se cambrait sous la caresse experte.

Des frissons et des élancements irradiaient du mamelon ainsi malmené, c'était délicieux et un peu douloureux à la fois. Mais ce qui la fit craquer, ce fut lorsque la main de Bruno s'enfonça dans son vagin, ou plutôt deux doigts, et commencèrent à la caresser de l'intérieur. Entre le mamelon qui disait "arrête" et sa chatte qui demandait "encore", Cassie ne savait plus quoi faire... Heureusement, il arrêta après quelques instants.
 - Allons sous la douche, dit-il, je dois prendre un autre préservatif et je te ferai encore l'amour. Cassie se sentit toute fière d'être ainsi désirée. Ils se levèrent et allèrent dans la petite cabine de douche. Bruno commença par la savonner, lentement, profitant de tout ce jeune corps. Ses mains la parcoururent entièrement. Cassie, toute pudeur envolée, se disait que pas un centimètre de son corps n'avait échappé aux mains de Bruno... pas même le petit trou de son anus, qu'il avait lavé soigneusement, essayant même d'enfoncer un tout petit peu son doigt, ce qui lui avait fait serrer les fesses. Bruno n'avait pas insisté.

Attrapant sa cuisse, Bruno lui écarta la jambe et la plaqua contre le mur de la douche. Son sexe était à nouveau énorme, et Cassie se demandait très sérieusement comment un tel membre pouvait entrer en elle. Elle eut bientôt la réponse, car il la pénétrait à nouveau. Lentement, doucement tout d'abord, puis plus fort, plus vite. Elle l'entendait haleter contre elle, et ne pouvait bouger, serrée entre lui et le mur, sa cuisse maintenue fermement par une main masculine. Mais Bruno ne voulait pas en rester là, il attrapa l'autre cuisse, et soulevant sa partenaire, lui noua les jambes sur ses fesses. Portée par son amant, Cassie le sentit la bourrer bien profondément, ce qui eut pour effet de l'exciter et lui procurer un nouvel orgasme. Les cris de la jeune fille sous la douche ne cessèrent que lorsqu'il cessa ses mouvements en elle, après avoir joui lui-même à en avoir la tête qui tourne.