Mardi 4 août 2 04 /08 /Août 10:10
Le vaisseau pirate approchait d'une petite planète, où se trouvait la forteresse d'Amalor. Il s'agissait d'un ensemble de grottes, aménagées en forteresse imprenable et où une atmosphére et une gravité artificielles avaient été aménagées. Amalor descendit de son vaisseau, sa nouvelle acquisition, Asa enveloppée d'un fin paréo, le suivait entourée de deux gardes.

 Dans l'entrée, une grande femelle, à la peau couvertes d'écailles de poisson attendait, dévisageant Asa d'un air hautain.
 - Mon épouse, voici pour ma collection, mène-la près des autres.
 Asa dut suivre l'épouse d'Amalor dans un dédale de couloirs, jusqu'à une grande salle ronde. Deux gardes se tenaient à la porte. Lorsqu'elle s'ouvrit, Asa fut poussée sans ménagements à l'intérieur et l'épouse la laissa seule alors que les portes se refermaient sur elle.

Il y avait au milieu de la salle, un bassin d'eau chaude où nageaient quelques filles. D'autres se prélassaient sur les bords. Différentes races étaient représentées, toutes inconnues d'Asa. Une forme bleutée, pleurant dans l'eau attira son attention. Cette créature semblait aquatique et ressemblait plus à un pouple qu'à un humain. Vers le plafond de la grotte, courait une galerie faite de petites colonnes. Asa s'approcha de l'eau, désirant s'y tremper pour oublier un peu les étreintes de son nouveau maître. Les autres filles s'écartèrent, refusant de répondre à ses tentatives de communication. En soupirant, Asa laissa tomber son paréo, se laissa glisser dans l'eau et se détendit un peu.

Mais sa détente fut de courte durée, deux femelles s'approchaient du bord du bassin d'un air menaçant. Elles avaient un visage à la bouche protubérante, en forme de groin et six mamelles pendantes sur leur poitrine et leur ventre. Leurs grondements firent fuir les autres filles qui sortirent vivement de l'eau, mais quand Asa voulu sortir elle aussi, les deux femelles se précipitèrent sur elle et tentèrent de la faire tomber à l'eau. Asa, habituée à se battre dans la rue mais épuisée par les mauvais traitements de sa captivité résista d'abord faiblement.  Avec des grognements d'excitation, les deux femelles voulurent la noyer. Asa, cherchant à se débattre sous l'eau, frappait et griffait tout ce qu'elle pouvait et finit par attraper une mamellle dans chaque main et se mit à tirer dessus comme pour les arracher. Hurlant les deux brutes la lâchèrent et reculèrent. Asa, folle de rage se précipita sur la plus proche et lui envoya un coup de poing dans le groin. La femelle pissait du sang qui s'écoulait dans le bassin. L'autre ne demanda pas son reste et se sauva vers la partie la plus sombre de la salle. Deux filles vinrent chercher la blessée et l'emmenèrent pendant que d'autres saluaient Asa de grands sourires. Elle avait passé le test et était acceptée et respectée parmi la collection.

Regardant autour d'elle, elle cru voir du coin de l'oeil un mouvement dans la galerie du plafond. Une fille s'approcha et lui murmura à l'oreille, en montrant la galerie: "Amalor". Asa comprit qu'il venait les observer, sans être vu et qu'il avait certainement assisté à la bagarre.

Alors qu'elle se rhabillait, l'épouse entra et avec un nouveau regard méprisant lui fit signe de la suivre. Après une nouvelle série de couloirs, toutes deux arrivèrent dans une grande salle. Au centre, une dizaine de mâles se prélassaient sur des divans confortables. De petites tables basses chargées de nourritures et de boissons étaient devant eux tandis que des femelles de différentes races inconnues, nues, passaient de l'un à l'autre pour leur plaisir. L'épouse lui arracha le paréo et la poussa, nue également, vers le milieu de la pièce. Tous les regards se posèrent sur elle. Amalor, se levant, lui fit signe d'approcher.
 - Voici la perle de ma collection, la première terrienne, que j'ai raflée à tous les vieux grincheux de ce secteur! Tous les mâles, éclatèrent de rire. Amalor prit la main d'Asa et se promena avec elle autour de la salle. Les autres mâles, des capitaines de la flotte pirate, furent autorisés à la regarder et même la toucher, ce qu'ils firent avec beaucoup de respect et une lueur d'envie dans le regard.

Puis Amalor s'allongea sur sa couche, attirant la captive contre lui et la caressant d'une main tout en mangeant de l'autre. De temps en temps il donnait une bouchée à manger à Asa que la bonne odeur du festin avait mise en appétit.
 - Montre-nous ce que tu sais faire, fit-il soudain. Et se couchant sur le dos, il laissa jaillir de son pantalon son sexe énorme et fit comprendre à Asa qu'elle devait l'enfourcher. Sous les regards lubriques de l'assistance, celle-ci dut enjamber son maître, puis prendre le sexe dressé comme un piquet dans ses mains et le diriger vers son sexe. Elle commença à descendre, s'empalant sur le membre gonflé, sous les cris et rires des capitaines.

Amalor laissa pendre ses bras, pour que tous puissent admirer la façon dont elle bougeait sur lui. Asa, prise d'une folie érotique, mit toute son énergie à donner un beau spectacle et à donner beaucoup de plaisir à son maître. Elle montait et descendait sur lui, accélérant les mouvements, cherchant à bien creuser ses reins et faire voir sa poitrine agitée en cadence. Plus elle bougeait et plus la salle criait, tandis qu'Amalor, sous elle, haletait bruyamment. Quand le bruit devint intenable, Amalor se lâcha, propulsant son sperme vers le haut, inondant le vagin avant de s'écouler sur son sexe! Il fit descendre la belle captive et sur un geste, des serviteurs prirent un des divans et le placèrent au milieu de la salle. Amalor la fit s'allonger dessus, et prit soin de lui écarter doucement les bras et les jambes.
 - Mes capitaines vont te rendre hommage. Profites-en bien, car tu le mérites, tu es la meilleure !

Debout à côté d'elle il regarda le premier s'approcher. Le mâle s'agenouilla et vint lécher délicatement les lèvres et le clitoris encore trempés de plaisir. Asa ferma les yeux et s'abandonna sans retenue à la caresse, ainsi que son maître lui avait ordonné. Les dix capitaines se succédèrent pour la lécher et la remplir de plaisir en titillant de leur bout de langue durci le petit clitoris rose savoureux. Amalor souriait de voir sa perle vivante frissonner et vibrer de plaisir sous les hommages appuyés de ses hommes.

Quand ce fut fini, trop tôt au goût d'Asa, des gardes la raccompagnèrent dans la salle de collection et lui montrèrent une des petites cellules aménagées sur le pourtour et qui serait sa chambre. Asa se laissa tomber sur le lit et s'endormit aussitôt.

Pendant quelques jours, Asa resta enfermée avec les autres filles. Amalor semblait occupé ailleurs, ou absent. Elle en profita pour faire connaissance avec quelques autres et notamment la curieuse créature bleue aux longues tentacules. Peu à peu elle s'habituait à la vie dans ce curieux harem interstellaire et son oisiveté forcée. Puis un soir, l'épouse vint la chercher, un mauvais sourire aux lèvres. Sans un mot elle l'emmena dans un autre quartier de la forteresse et la fit entrer dans une chambre. Amalor et un autre homme étaient là à l'attendre. Asa pensa reconnaître un des acheteurs potentiels que Sand lui avait montré, cette impression se confirma quand Amalor lui expliqua que Virtal, le grand gourou, était venu lui rendre visite et qu'elle, perle de la collection, lui était offerte pour la nuit en cadeau de bienvenue.
Puis Amalor, après un sourire triste, sortit de la chambre, les laissant seuls.

Asa regarda plus attentivement le gourou. Il ressemblait aux autres mâles, si ce n'est que son corps semblait agité de frissons sous sa longue robe rouge. C'était comme si des vagues passaient sans cesse sur son ventre et sa poitrine. Virtal sorti la langue et se lécha les babines en regardant Asa comme si elle était sa proie. Le regard d'Asa, fascinée, passait du corps frissonnant à la langue rouge et fourchue. "Qu'est-ce qu'il est réellement" se demanda-t-elle, car aucun autre mâle qu'elle avait vu n'avait une telle langue. Virtal fit un pas hésitant vers elle, tremblant de plus en plus. Asa recula jusqu'à se trouver dos à la porte. Il ne lui semblait pas dangereux, mais il y avait quelque chose dans son regard qui la terrifiait. La porte refusa de s'ouvrir. Asa voulu s'échapper vers la droite, mais d'un mouvement étonnamment rapide, le monstre fut sur elle. La tenant de ses quatre bras, avec une force étonnante, il la plaqua sur le lit et s'agenouilla sur elle. Puis il éclata d'un rire diabolique. Remplie d'une horreur sans nom, Asa le regarda enlever sa robe. Son corps était recouvert de petites bouches protubérantes, garnies de petites dents semblables à des aiguilles.
 - ha ha je ne suis pas comme ces simples Karocs, moi ! Il éclata à nouveau d'un rire terrible et arracha la tunique de sa proie. Asa se débattait de toutes ses forces, mais le monstre était plus puissant qu'Amalor, ses jambes la tenaient serrée et bloquée sur le lit et elle se mit à hurler de terreur quand il s'inclina pour se coucher sur elle. Les dizaines de bouches se posèrent sur son ventre, ses seins, chacune cherchant à mordiller la chair, des centaines de dents se piquèrent dans la peau douce, la déchirant, la transperçant. Asa hurlait de plus belle. Virtal s'écarta un peu, força le passage entre les jambe de sa proie pour la violer. Il se posa sur elle et en elle de tout son poids et ses mouvements de va et viens associés aux morsures multipliaient la torture que subissait la femme.

Elle n'était plus qu'un cri et pensait ne pas pouvoir en supporter plus quand la langue fourchue vient happer sa langue et l'enserrer, la tirant hors de la bouche ouverte de la pauvre Asa. Les coups de butoir du sexe qui la violait se firent plus puissants, la déchirant de l'intérieur alors que les bouches affamées déchiraient et mangeaient sa chair de l'extérieur. Asa perdit enfin connaissance.

Quand elle revint à elle, le monstre était toujours allongé sur elle, mais la douleur était partie. Asa pensa être morte. Pourtant des chatouillements sur son corps lui firent comprendre qu'il n'en était rien. Virtal se releva enfin.
 - Voilà, tu es guérie. Mmm ton sang et ta chair étaient un vrai festin. Si je n'avais promis à ton maître de t'épargner je t'aurais savourée jusqu'au bout. Asa compris que ce n'était pas un euphémisme, le monstre l'aurait avalée par toutes ses petites bouches, mais pourtant, là, ces mêmes bouches venaient de la soigner, il n'y avait pas la moindre cicatrice sur son corps.
 - Tu vois, je tiens parole. Mais je veux te laisser un petit souvenir de moi, un signe d'appartenance, car tu es à moi et un jour tu seras à moi entièrement. Lui relevant les jambes contre le ventre, il approcha sa bouche des tendres replis de peau du sexe de la femme immobile, et, sortant sa langue fourche terminée par deux pointes dures comme des ongles, il griffa consciencieusement les deux lèvres du côté le plus sensible. Asa se raidit de douleur, mais le gourou avait déjà fini.
- Tu garderas ma marque, la marque de Virtal. Un jour je viendrai réclamer mon dû. A présent, dors.

 Malgré son désir de lui résister, Asa, se senti sombrer dans un sommeil profond, alors que Virtal laissait à nouveau saliver ses bouches sur son corps.
Par irisaia - Publié dans : Captive de l'espace
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