Mariée mais pas épanouie sexuellement, j'ai fait la rencontre d'un charmant monsieur nommé Jacques sur un tél rose.
Après de nombreux échanges téléphoniques, nous décidons de passer une après-midi ensemble.
Je pris donc le train de banlieue pour aller jusqu'à la petite gare où il me récupéra pour m'emmener chez lui. 
Petite banlieue, petite maison, petit appart, mobilier un peu ringard... Mais peu importe, je comptais prendre du bon temps avec lui.
Il me fait asseoir sur le divan, m'offre un verre et se place tout près de moi.  Un sourire, un regard, une caresse. Nos lèvres se rejoignent.
Sans plus attendre, il me demande si je veux le sucer...
Je m'agenouille devant lui, et il défait sa braguette, sortant sa queue longue et fine.  Je m'applique à la rentrer dans ma bouche.  Encore novice dans ce domaine, je le laisse me diriger.  D'une main il presse ma tête pour me faire absorber son sexe et me fait faire des va et viens.  Je me lance, et attrape son pénis dans ma main, puis passe ma langue sur toute la longueur.
Je laisser voguer mon imagination pour le lécher de bas en haut et spécialement son gland tout rose et si tendre.  Je le suce ensuite avec avidité, il ressemble à une friandise, et je suis gourmande !
Jacques s'excite de plus en plus, il se laisse aller en arrière sur le divan et s'abandonne à mes soins.  Fière de mon effet, je reprends la queue dressée dans ma bouche et la tète.  Il me prévient que sa jouissance est proche, je me prépare à goûter le sperme d'un homme... la giclée qu'il m'envoie dans la bouche et chaude et goûte la noisette, je la trouve délicieuse.

Nous passons ensuite dans sa chambre, il me déshabille rapidement et m'allonge sur le lit.  Un petit compliment sur mes yeux si bleus et il s'attarde à caresser ma poitrine.  Les mains glissent vers mon sexe, je me sens toute excitée et la peur de l'inconnu me serre le coeur.  C'est le premier amant, le premier homme qui va me prendre à part mon mari, et tous mes rêves érotiques que je n'avais pu exprimer ressortent en un instant.
Ses doigts pénètrent en moi, me faisant frissonner.  Son corps sur le mien, son sexe qui me cherche, ses doigts qui le dirigent et c'est la pénétration... Je m'envole de plaisir et l'interdit m'excite encore plus.  Je me rends compte que ma chatte est trempée, je n'avais jamais mouillé autant.
Jacques me bourre avec facilité dans tout ce jus qui déborde et sa queue baigne dedans.  Il entre et sort en moi et me remplit de plaisirs interdits.  Il me caresse et me dit des mots tendres, me faisant m'abandonner à lui.  Je pense qu'il a vraiment pris son pied et j'en suis fière.  Lorsqu'il s'écoule en moi, je me sens comblée.

Après quelques minutes de conversation banale tout en se caressant, il me demande s'il peut me prendre par derrière.  Pour moi c'était la première fois, mais je pensai à son sexe en érection, sa taille, et me suis dit que je pourrai le supporter.  Je ne pensais pas que plus tard je prendrai bien plus gros, mais ça c'est une autre histoire.

Il me fait me coucher sur le ventre, la tête au pied du lit, et m'écarte les jambes.  Il glisse son sexe entre mes fesses, l'approche de l'anus, le mouille un peu contre ma chatte et se replace.
J'ai peur de la douleur, mais suis bien décidée à tenter l'expérience.  Je sens alors un membre dur qui commence à forcer le passage.  Il passe le petit trou de mon cul, me faisant mal déjà. Je me crispe, mais me rends compte que c'est le contraire qu'il faudrait faire.  J'essaie alors de détendre mon anus et mes fesses.  Le temps de le faire et il s'est déjà introduit de quelques centimètres, arrivant à un endroit lisse et chaud et légèrement humide.  A partir de là, un coup et il est tout à l'intérieur.  Je crie en mordant le matelas.  J'arrive à relâcher un peu mes muscles et lui facilite ainsi les mouvements.  Je sens très fort comment il bouge en moi, beaucoup plus fort que lorsqu'il s'enfonçait dans mon sexe. Je ressens chaque mouvement, chaque oscillation, chaque pénétration.  Et il en profite le coquin.  Il me prend longuement, jusqu'à ce que mon anus en soit douloureux et l'homme se libère enfin avec un gémissement de plaisir.  Nous restons un long moment sans rien dire, l'un dans l'autre.  Je redoute un peu la sortie de ce membre qui m'a si bien enculée, et me sens déjà impatiente à l'idée de le retrouver bientôt pour recommencer.