Après une dizaine de minutes sur la rivière, Marc se rapproche du kayak de Gaëlle.
- Redresse-toi, essaie de te tenir bien droite pour pagayer, tu auras un meilleur équilibre.
En disant cela, il jette quelques gouttes d'eau fraîche sur le dos de la stagiaire.
- Hé là ! se mit à rire celle-ci, avant de lui renvoyer de l'eau à son tour.
Ils jouent quelques instants à s'éclabousser, puis Marc lui dit:
- Tu sais comment on fait pour garder deux kayaks l'un contre l'autre ?
- Non, comment ?
- Je t'explique, met ta pagaie devant, sur les deux, et moi je pose la mienne derrière, et voilà!
- Ah c'est chouette.
- Alors comment te sens-tu après ce début sur la rivière?
- Génial ! En plus c'est magnifique ici, quelle belle rivière.
- Avec une magnifique pagayeuse il faut préciser.
- Merci répond Gaëlle en rougissant.
La main de Marc est toute proche de son dos, elle s'élève pour faire une petite caresse sur la joue de la jeune fille, puis, sur le sourire encourageant de celle-ci, descend se poser sur la
bretelle du maillot.
Du bout du doigt, Marc suit cette bretelle jusque le bas du dos.
- Ce maillot te va à merveille tu sais, j'aime comment il est assorti à tes yeux.
- C'est gentil de me le dire. Gaëlle baisse les yeux, en rougissant encore, et se rend compte alors que le short noir de Marc semble bien tendu et gonflé dans le kayak.
Gaëlle est un peu gênèe d'avoir découvert cela, mais ne peux détourner les yeux tellement ce sexe qu'elle devine puissant la fascine.
Marc fait semblant de ne rien avoir remarqué mais ne peut s'empêcher de sourire et de se sentir encore plus excité par sa belle élève.
Sa main s'aventure sous le bras de Gaëlle, vers la poitrine qui le provoque et l'appelle. Il glisse les doigts sous le maillot pour palper le petit bout qui durcit instantanément sous sa
main. Il sent Gaëlle se raidir, se crisper et la voit se mordre les lèvres. Assurément elle hésite entre se sauver ou se laisser aller. Pour la convaincre, il s'approche de son
oreille et lui murmure de doux compliments.
- Tes seins sont superbes tu sais, ils sont bien fermes, ils me remplissent bien la main, et tu sens ton téton comme il est dur ?
- mmmhmmm, gémit-elle.
- C'est très agréable, je pourrais passer des heures à les caresser si tu me le permets, j'espère que tu aimes ?
- oui murmure-t-elle dans un soupir, presque à regret.
Marc lui pose un léger baiser dans le cou et retire sa main.
- Il faut continuer, sinon on va s'échouer, dit-il en riant.
Toute troublée, Gaëlle récupère sa pagaie et s'apprête à le suivre.
- Euh les rapides sont encore loin? dit-elle, "et la crique", pense-t-elle.
- Encore une petite dizaine de minutes, juste le temps de savourer cette délicieuse attente.
- Ah bon, Oui bien sûr, répond Gaëlle en ne voulant pas trop se demander de quelle attente il parlait.
- Allez passe devant, et n'oublie pas, bien droite et les jambes écartées.
Il semble à Gaëlle qu'il avait lancé cette dernière consigne avec un sourire carnassier...
Pagayant plus fort elle tente de mettre un peu de distance entre-eux, pour se donner le temps de recouvrer ses esprits. Mais c'était sans compter sur la connaissance que Marc avait de la
rivière. Alors qu'elle s'engage dans une voie d'eau lente, lui prend l'autre côté, celui plein de remous, et elle ne peut s'empêcher d'admirer ses muscles en action, sa peau bronzée
par le grand air, son cou vigoureux, les bras musclés. Elle se rend compte qu'elle aimerait bien se sentir serrée entre ces bras et envie un peu la pagaie qu'il tient si fermement.
Marc arrive devant elle et d'un air décidé tourne son kayak perpendiculairement au courant.
- La crique est par là, les premiers remous un peu plus loin. Tourne un peu pour aller vers la rive.
Tant bien que mal, Gaëlle arrive à tourner et avancer vers le bord. Un peu plus bas, une petit plage herbeuse semble les inviter à de doux moments.
Les deux kayaks s'échouent et Marc se précipite pour l'aider à sortir. En posant un pied dans l'eau, Gaëlle perd un peu l'équilibre et se retrouve dans ses bras.
Cette fois, Marc n'hésite pas à la tenir fermement serrée contre lui, et ne la lâche pas.
Il maintient le corps de la jeune fille contre le sien, et place ses mains dans son dos. Gaëlle qui désirait cette étreinte, passe les bras autour de son cou, et lui tend les lèvres,
souhaitant un baiser. Mais Marc s'amuse à la faire languir un peu et approche sa bouche de la petite oreille féminine pour la mordiller.
Ses mains expertes caressent lentement le dos nus de l'élève puis desendent vers les fesses rebondies. Sans cesser de la mordiller et de lui lécher l'oreille, il commence à malaxer les
petites fesses rondes et fermes.
Gaëlle lâche un petit cri de surprise, suivi d'un petit gémissement de plaisir sous la caresse.
- Ohh non, fit elle lorsqu'il passa une main sous le tissus pour mieux palper les fesses tendres.
Un doigt, puis la main se glisse dans la fente.
- Tu es magnifique, j'adore tes fesses, dit-il d'un voix chaude. Tu veux bien te cambre un petit peu, s'il te plaît ?
Gaëlle s'exécute, tremblante, tout en enfonçant ses ongles dans les épaules de cet homme qui la fouille.
- Oui, l'encourage-t-il, laisse-toi faire, je veux te faire découvrir d'autres plaisirs que la pagaie.
- J'ai un peu peur, avoute-t-elle.
- C'est la première fois ?
- Oui, dit-elle dans un murmure.
- N'aie pas peur, je m'en doutais un peu, et je ferai encore plus doucement pour que tu ne ressentes que du plaisir, c'est promis. Tu es tellement mignonne, tellement douce qu'on ne peut
que vouloir te donner du plaisir.
- D'accord, je te crois et je me sens excitée, mais j'ai un peu peur quand même.
- Arrête de dire des bêtises.
Alors pour la faire taire, Marc cherche sa bouche et la sent s'ouvrir sous sa langue pour un long baiser passionné. Sans cesser le jeu de langue, il remonte les mains vers sa poitrine et
caresse longuement les seins qui s'offrent à lui.
Il la fait reculer vers la berge, vers l'herbe et l'aide à s'allonger sur le sol.
- Attend, je met les kayaks au sec et je suis à toi.
L'élève regarde le maître tirer les kayaks sur le bord, en amont, faisant ainsi un abri pour leur amour. Puis il revient s'agenouiller à ses côtés et la détaille pendant des secondes qui
lui semblent des heures.
Enfin il s'allonge à côté d'elle, et l'embrasse avec gourmandise.
Gaëlle est à présent allongée sur le dos, elle sent le corps chaud de cet homme à son côté et les lèvres qui écrasent les siennes, la langue qui prend possession de sa bouche et ... oh oui... la
main recommence à la caresser sur le maillot.
La main monte et descend sur tout son corps, et Gaëlle se sent comme électrisée, elle souhaite qu'il lui touche la peau et ne comprend pas pourrquoi à présent il semble hésiter. Alors elle
fait glisser elle-même les bretelles et dénude sa poitrine.
Immédiatement l'homme réagit à cette invitation et la bouche s'en va bécoter les seins