Mardi 25 mai 2 25 /05 /Mai 14:18

Ils déposèrent la jeune femme, toujours paralysée dans un lit douillet et l’attachèrent par les poignets au sommet du lit.

Charles, en fauteuil roulant, poussé par Christopher fit son apparition dans le champ de vision d’Isaura.

-        Ma toute belle, je suis déçu par ton comportement.  Mais en même temps, je dois dire que j’apprécie à sa juste valeur ton esprit de rébellion et d’indépendance.  Je me réjouis d’avoir une adversaire à la hauteur.

-        A présent, nous souhaitons que tu te reposes, dès demain je compte sur toi pour me fournir le bon lait nécessaire à ma santé et quand je serais en pleine forme, tu verras, nous reparlerons de nos projets pour toi.  Je te laisse aux bons soins de Raj.

Des grosses larmes coulaient sur les joues d’Isaura en entendant ces paroles, elle se sentait de plus en plus inquiète quant à son avenir avec ces malades.  Raj se pencha sur elle et lui dit :

-         tu aurais dû écouter mes conseils, enfin je pense qu’il n’est pas trop tard.  Fais attention à toi et tu sortiras vivante de cette épreuve 

-         Mais que veulent-ils me faire ?

-         Ce n’est pas à moi de te le dire, je dois leur obéir et mon rôle pour le moment, c’est de te remettre en état.

-         En état pour quoi ?

-         Et bien pour allaiter Charles pour commencer.

-         Et ensuite ?

-         Je ne peux le dire, Charles t’expliquera en temps utile.  A présent laisse-moi te masser, tu verras cela va te faire le plus grand bien.

Joignant le geste à la parole, Raj s’enduit les mains d’une huile parfumée, et attrapa les pieds meurtris pour les masser, les malaxer entre ses paumes.  Immédiatement la sensation de picotement disparu dans les muscles massés et elle senti qu’elle se détendait un peu.

Après avoir bien détendu les pieds, les mains glissèrent sur le mollet gauche.  Frottant et poignant dans le muscle, celui-ci se relaxa à son tour.  Le mollet droit subit le même traitement.

-         ça fait du bien, pas vrai ?

-         Oh oui, merci.

-         Voilà une brave fille, c’est comme ça que je les aime, moi.  Dis-moi encore « oui ».

-         Oui. Raj.  Fit Isaura en fermant les yeux de bien-être.  Mais j’ai encore mal partout.

-         Je sais j’y arrive, patience.

Avec plus de force, il se mit à masser les cuisses, appuyant de tout son poids sur les paumes pendant qu’il les faisait glisser de bas en haut.

Il releva les jambes, les cuisses sur le ventre de la femme, position qu’elle trouva perturbante, mais qu’elle accepta car les mains enduites d’huile caressaient l’arrière des cuisses, enlevant toute trace de picotement.  Isaura se sentait gênée d’imaginer son orifice largement exposé, et même pensa-t-elle, ses deux orifices, et elle tenta de les contracter dans un sursaut de pudeur.

Raj, fit semblant de ne rien remarquer, même s’il ne quittait pas le sexe exposé du regard.

Du bout des doigts, il vint pincer et masser délicatement les petites lèvres charnues.  Isaura ferma les yeux.  C’était gênant, bizarre et délicieux en même temps.  Elle senti le désir la reprendre, malgré la douleur et les picotements ressentis dans le reste de son corps.

Raj délaissa cependant la chatte lorsque celle-ci commença à se mouiller, et poigna de façon décidée dans les petites fesses toutes rondes.  Un bon massage de celles-ci, arracha à la fille offerte quelques petits cris de plaisir.

Raj se plaça à genoux contre les fesses, les jambes d’Isaura se retrouvèrent plaquées contre le corps et les épaules du beau médecin, et il commença à lui frotter le dos, se penchant et se redressant sur elle en accompagnant les mouvements du massage.

Isaura sentait contre sa chatte excitée les habits et le sexe dur de l’homme qui se frottait à elle.

Elle gémit à nouveau, se cabrant pour lui tendre la poitrine.

-         J’y viens, patience, murmura Raj d’une voix troublée.

Les mains glissèrent le long des côtes et se plaquèrent sur les seins.  Elles y firent des mouvements de rotation, écrasant légèrement les seins et les tétons outrageusement pointés vers les paumes.  Isaura secouait la tête de gauche à droite, submergée par une vague d’émotions intenses.

Les mains de Raj semblaient partout à la fois à présent.  Les bras, les jambes, le ventre, les seins, les fesses d’Isaura étaient tour à tour couvertes de caresses chaudes et huileuses.

Isaura ne s’était jamais sentie aussi bien.

L’homme agenouillé sur elle ne disait plus un mot, concentré sur le massage et Isaura pouvait regarder son beau visage sérieux penché sur elle.  Il avait détaché les poignets de la prisonnière et massé jusqu’à l’extrémité  de ses doigts avant de se relever.

-         Je te conseille de te reposer une demi-heure, avant de te lever, pour bénéficier au maximum du massage.  Ensuite, une collation t’attend sur la table et tu peux aussi te baigner dans le bassin de l’autre côté.  Je te laisse découvrir ton nouveau logis, tu verras qu’il est des plus confortables.  Je te retrouverai d’ici deux heures.

-         Quoi, tu pars déjà ?

-         Oui, je ne peux te donner ce que tu désires, bien que j’en aie très envie, mais tu dois te réserver pour Charles.

-         Et si je ne veux pas ?

-         Pas le choix, désolé.  Crois-moi ce n’est pas que je n’aie pas envie, tu es terriblement tentante et excitante.

-         Je suis excitée et tentée aussi, ne me laisse pas je t’en prie.

-         N’insiste pas, c’est inutile. Il faut qu’un de nous au moins reste sérieux et responsable.

Sur ces mots, il déposa léger bisou sur les tétons pointus, attendris de caresses et gonflés de désir et il sortit de la pièce.

Isaura gémit et se roula en boule, attrapant une couverture pour se cacher.  Dans ce petit nid, elle médita longuement sur son sort, et décida de suivre les conseils de Raj et pour commencer de travailler à s’en faire un ami, un allié qui lui serait utile pour s’échapper plus tard.

Finalement, la faim la fit se lever.  Toujours enroulée dans les couvertures, elle se dirigea vers la table basse et les coussins à l’autre bout de la pièce. Elle dégusta le repas froid déposé là, et le thé chaud conservé dans un thermos.  Le bassin rempli d’une eau tiède et parfumée la tentait, mais elle préférait ne pas trop se détendre.  Elle décida de faire le tour de son logement, ou plus exactement sa prison.

Elle se trouvait dans une grande pièce ovale.  Le lit, ovale lui aussi, était à une extrémité.  Isaura n’avait jamais vu un lit et un matelas de cette forme !

A l’autre extrémité se trouvait le bassin, agrémenté d’un tas de coussins et d’une petite table.  Une pente douce menait dans l’eau.  A gauche de la pente, il y avait un massif d’algues jaunes qui ondulaient gracieusement dans l’eau.  A droite une petite cascade apportait de l’eau fraîche et claire au bassin.  Tout cela était fort joli.  Isaura détailla encore une couche en face d’elle, qui devait lui permettre de s’allonger dans quelques centimètres d’eau, elle supposa que c’était pour un bain à bulles. 

Elle fit un aller-retour entre le lit et le bassin, inspectant les parois.  D’un côté, se trouvait la porte par laquelle Raj était sortie.  Très lisse, parfaitement insérée dans la paroi métallique, il n’y avait aucune poignée ni aucun moyen de l’ouvrir de l’intérieur.  De l’autre côté, un rideau masquait une petite pièce presque ronde qui servait de salle de douche et de toilettes.  Isaura se regarda dans le  grand miroir qui couvrait tout le mur.  Elle détailla attentivement son corps, il n’avait pas gardé de blessures ni de traces des derniers événements.  Néanmoins, ses seins lui parurent plus gros que d’habitude.  Quand elle les toucha, elle les sentis gonflés, durs au toucher.  Elle essaya de compresser un peu plus sur son sein droit, et vit une goutte de lait jaillir du mamelon.  Effrayée, elle lâcha le sein à présent douloureux et sorti en vitesse de la pièce.  Elle chercha autour d’elle des habits, quelque chose pour couvrir sa poitrine du moins, mais rien n’était visible.  Dépitée, se sentant très malheureuse, elle retourna s’asseoir dans les coussins, enroulant à nouveau la couverture autour de son corps.

 

Quelques instants plus tard, la porte glissa avec un bruit sourd et s’ouvrit.  Raj entra, poussant Charles dans son fauteuil roulant, le vieillard était torse nu, un torse lisse, la peau grise, brillante comme couverte d’écailles, une couverture sur les jambes..

-         Félicitations, ma petite femme à lait.  Tu es une rapide ! lui dit Charles avec un grand sourire, découvrant sa longue langue fourche.

-         Co.. comment ?

-         Ne fais pas la modeste, nous t’avons vu presser tes seins, viens à présent m’offrir ta délicieuse production.

Isaura, regarda du côté du cabinet de toilette.  Le miroir, c’était un miroir sans tain pensa-t-elle.  Qu’y avait-il d’autre dans la pièce pour l’observer en permanence ? Ils étaient capables de tout…

Bien décidée à ne pas leur faciliter la tâche, elle recula vers l’eau du bassin.  Raj poussa le fauteuil du  vieillard vers le tas de coussins où elle se tenait quelques instants auparavant.

-         C’est inutile, tu ne peux fuir d’ici, alors sois raisonnable, lui dit Raj d’un ton autoritaire.

-         Je ne vois pas pourquoi je vous aiderais !

-         Parce que c’est dans ton intérêt, on ne voudrait pas que tu te blesses dans une tentative idiote de nous résister.

Tout en parlant, Isaura s’était blottie dans le massif d’algues.  Celles-ci s’agitaient doucement, la caressant comme pour la rassurer.

Alors il se passa quelque chose d’étrange,  Raj approcha le fauteuil jusqu’au bord du bassin, près de la cascade, puis enlevant la couverture qui couvrait les jambes, ou plutôt les tentacules de Charles, il donna un coup sec au dossier, et bascula le vieillard dans le bassin.

Isaura cria de surprise, elle eut une fraction de seconde l’espoir que Raj voulait noyer son maître pour la délivrer, mais fut vite déçue.  Charles réapparut et se mit à nager vigoureusement dans sa direction.  Elle battit des mains et des jambes pour atteindre le bord et sortir au plus vite, ce qui eut un effet néfaste sur les algues.  Celles-ci s’enroulèrent avec vivacité autour de ses jambes et de ses bras.  Elle était captive du massif mouvant, et plus elle se débattait pour se dégager, plus les algues se nouaient autour de ses membres.

En riant, Charles arriva sur elle et plongea dans l’eau pour atteindre ses seins.

Dans un dernier sursaut désespéré, elle tenta de se jeter en arrière pour lui échapper, mais déjà la langue de serpent entourait un mamelon et la bouche goulue venait le happer.

Prise par les algues, puis les bras et tentacules de son geôlier, elle dû se mordre les lèvres pour retenir ses cris de douleur sous la succion violente de la bouche sur son petit mamelon.  Il lui semblait sentir le lait se frayer des chemins dans les mamelles gonflées, avant d’être avalé par l’horrible gueule de serpent.  Charles ne relâcha pas son étreinte, pas avant d’avoir parfaitement vidé les deux mamelles de la jeune femme.  Puis il ressorti la tête de l’eau et s’écarta d’elle.

-         Comment vous sentez-vous, maître ? Fit Raj

-         Magnifiquement bien… c’est un vrai délice, et c’est encore meilleur quand elle se débat, la bougresse !

-         Alors nous continuons ?

-         Et comment !

Sur ces mots, Charles sortit de l’eau, glissant souplement sur les tentacules.

-         Regarde, je n’ai plus besoin du fauteuil, je me sens revivre !

-         Soyez prudent tout de même.

-         Bien sûr, bien sûr… alors ma belle, je reviendrai toutes les quatre heures pour ma tétée… tiens-toi prête.

S’appuyant sur le bras de Raj, le monstre tentaculaire sorti de la pièce.

Par irisaia - Publié dans : Les reptiliens
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