De nouveaux fils descendirent du plafond. D'un geste rapide et assuré, la créature les enroula autour des épaules et de la taille de la femme. Elle se senti hissée vers le haut, jusqu'à ce que son nombril soit à hauteur du visage de l'inconnu.
Il attrapa les jambes, les écarta et les plaça sur ses épaules, de part et d'autre de sa tête.
La femme se cabra, emplie d'une délicieuse frayeur. Il approcha son visage de la partie la plus intime de la belle prisonnière, sorti la langue... la femme se pâma de délices.
La langue épaisse, chaude, moite, passait et repassait sur les lèvres entrouvertes. L'inconnu se régalait du jus qui suintait des chairs tendres. La femme avait jeté sa tête en arrière, toute à son plaisir intense, et criait de temps en temps, un cri qui résonnait entre les parois de la grotte.
Quand elle pensait qu'il avait fini, ce n'était que pour le sentir recommencer de plus belle.
Elle connu plusieurs orgasmes successifs, de plus en plus intenses.
Il s'arrêta quand même un instant pour la regarder. Elle en profita pour reprendre son souffle, les yeux fermés.
Il passa ses mains sur la poitrine, le ventre, assura sa prise sur les hanches, se pencha à nouveau vers elle.
Gémissante, elle pensait le supplier d'arrêter, de se reposer un peu.
Mais il avait d'autres projets. La langue se pressa contre l'ouverture, s'agita un peu dans l'entrée du palais aux délices, puis s'enfonça lentement.
La femme cru sentir un sexe bien formé se presser en elle, elle sursauta, essaya malgré son désir de lui échapper, mais la créature la tenait fermement contre sa bouche. La langue qui s'était gonflée écartait l'entrée, tout en lui carressant l'intérieur. Elle la sentit bien passer.
La femme était pressée, fouillée, ramonée par un énorme membre chaud et doux qui allait et venait en elle pour le plus grand plaisir des deux amants.
Quand elle fut arrivée à son paroxysme, il la prit décilatement dans ses bras et la déposa sur le sol soyeux.
Elle ouvrit les yeux, il avait déjà disparu.
Lentement elle s'assit, se choisit un beau fruit juteux et mordit dedans à belles dents. Après s'être rassasiée, elle s'endormit, épuisée.
Un bruissement la réveilla. Elle avait dû dormir un certain temps car elle était bien reposée.
La créature se tenait devant elle, un autre être semblable se tenait derrière lui.
"nous sommes des Kritos, fit la créature. Je suis le Kritos Saabir, et voici mon frère serviteur Saatoros. Quel est ton nom petite femelle ?
- mon nom, c'est Looah, je viens de la planète Terre.
- Je n'ai jamais vu de femelle comme toi, et tu me plais beaucoup.
- Merci. Peut-être que d'autres comme moi sont tombés sur ta planète, est-ce que je peux les rechercher ?
- Je demanderai aux autres Kritos qui habitent dans les grottes.
- Je voudrai sortir pour les appeler. Laisse-moi sortir.
- Je ne crois pas. non. dehors c'est danger pour toi. Tu restes ici et tu es ma femelle.
- Tu n'as pas de femelle de ta race ?
- Il y a une reine, loin d'ici. Toi tu es ma femelle à présent.
- Mais si je ne veux pas?"
Saabir fit un geste. D'un bond, Saatoros fut sur elle. En une seconde, il l'avait allongée sur le dos, ligotée les mains au-dessus de la tête par un fil secrété de son abdomen.
- Liberez-moi, brutes, vous n'avez pas le droit.
Saabir éclata de rire. à l'aide de deux pattes griffues, il lui écarta les jambes, elle ne pouvait lutter contre la force du monstre. Elle hurla lorsqu'elle vit le dard à l'extrémité de l'abdomen s'agiter, comme s'il avait une vie propre.
Le dard se rapporchait de son sexe, déjà elle devinait la pique dure se presser à l'entrée du vagin. Mais au dernier moment, Saabir se ravisa. Il se recula, se tourna, et vint placer le dard devant le visage de la jeune femme.
- Autant que tu voies ce qui t'attends. Une petite démonstration.
- Non, je vous en prie, non, lâchez-moi.
Avec horreur elle vit le dard s'agiter furieusement, bouger dans tous les sens, puis un membre vert gluant en sortir peu à peu. Le membre s'allongeait, s'allongeait, il vint frapper son visage. Il était brûlant. Un liquide répugnant s'en écoulait. Looah avait envie de vomir. Une grappe de petits oeufs semblables à des groseilles s'écoula ensuite et elle manqua d'en avaler. Elle pleurait et toussait, révulsée d'horreur.
- Ca te plait ? Tu vas les prendre à présent.
Il se tourna à nouveau et força sa queue verte dans le sexe de la femme.
Malgré ses pleurs et ses cris, la bite brûlante la bourrait sans pitié. il déposa sa grappe d'oeufs dans le ventre tendre avec un grand cri de soulagement.
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