Hentaï stories
Looah se réveilla seule dans la grande salle vide.
Un plateau de nourriture était posé non loin d'elle et elle rampa jusque la pour manger. Un instant elle pensa se laisser mourir de faim, mais l'instinct de survie et son esprit combattant l'on vite fait changer d'avis.
Elle se leva après avoir mangé et se mit à inspecter les parois, espérant trouver la sortie.
Et soudain, comme en réponse à sa recherche fébrile, un ouverture se forma devant ses yeux.
Un petit homme, vêtu d'une tunique blanche, se tenait dans l'ouverture. Il lui arrivait à peine à la taille.
"bonjour!" fit-il d'une voix joyeuse.
- euh, bonjour. Qui êtes-vous ?
- Le maître m'appelle Anan.
- Je suis Looah. le maître, c'est ce monstre ?
- Oh, vous ne devriez pas dire cela. Vous êtes sa compagne a présent !
- Ah ça, jamais. Plutôt mourir.
- Mais oui, mais oui, vous ne le pensez pas. Je lis dans les pensées savez-vous.
- Euh. Et vous êtes mon gardien ou quoi?
- Votre serviteur, maîtresse.
- Alors laissez-moi partir. Je dois voir si d'autres ont survécu.
- D'autres comme vous ? oui nous pourrons partir à leur recherche. Veuillez d'abord me suivre. Je vais vous montrer votre nouvelle demeure.
- Ah ? Bon, soit.
Elle le suivit dans un dédale de couloirs, pensant bien trouver une occasion de lui fausser compagnie. Mais sans succès.
Il ouvrit une tenture qui masquait une petite pièce creusée dans la roche. La pièce était aménagée comme une chambre à coucher très confortable. Looah fut étonnée du confort digne des meilleurs hôtels.
- Je vous laisse vous installer. Le maître est absent pour quelques temps. Vous serez tranquille. Ah et si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à vous. Vous sonnez ici.
Sur ces mots, il s'éclipsa discrètement.
Looah regarda autour d'elle et décida de profiter un peu de ce confort innatendu avant de se remettre à la recherche d'un moyen d'évasion.
Après une douche, elle s'allongea sur le lit et se sentit s'endormir. Les rêves qu'elle fit étaient très érotiques, et elle s'éveilla avec une sensation de chaleur et de désir au creux des reins, qu'elle pouvait difficilement ignorer.
Une idée folle naquit en elle de son désir. Elle sonna.
Immédiatement le petit homme apparu.
- Maîtresse ?
- j'aurais envie... euh... je ne sais pas trop en fait.
- Bien maîtresse.
Elle ouvrit de grands yeux étonnés quand son étrange petit serviteur s'approcha du lit où elle reposait nue entre les draps de soie.
- Veuillez vous allonger sur le ventre, je vais commencer par vous masser le dos.
Elle obéit, intriguée.
Les mains étaient douces et semblaient huiler son corps, bien qu'elle n'eut pas l'impression qu'il prenait de l'huile ni de la crème.
Il passait lentement sur le dos, la massant de bas en haut et elle se sentait se détendre peu à peu.
A chaque passage, il se contentait d'effleurer les fesses, sans les toucher, à travers le drap.
Elle eut envie qu'il les masse et se cabra légèrement au passage, pour augmenter le contact.
En réponse, il enleva le drap et se mit à masser les fesses rondes et fermes.
Elle fermait les yeux, sensible au désir qui montait en elle.
Il passa aux jambes, les massage fermement, et glissant de temps en temps ses doigts agiles entre les cuisses. La jeune femme ne resta pas longtemps insensible à l'appel et écarta un peu les jambes.
Pourtant le serviteur évitait de s'approcher du sexe humide qui semblait appeler.
il termina par les pieds, ce que Looah vécu avec délices.
- Voulez-vous vous tourner maîtresse ?
Looah, sans répondre, se tourna sur le dos, fermant les yeux, impatiente de découvrir les massages qu'il allait lui faire.
Il continua à s'occuper sagement des jambes, des belles cuisses musclées pendant un long moment.
looa s'impatientait.
Alors les mains glissèrent le long de la taille de la jeune femme. puis frottèrent doucement le ventre. Anan posa ses lèvres sur le nombril et tourna la langue. Faisant frissonner la femme.
Il s'écarta. Les mains montèrent vers la poitrine. Massèrent les seins en tournant doucement.
looah gémit de bonheur.
A présent, les mains semblaient partout. elles se promenaient des seins à la pointe des pieds en des mouvements amples et doux. Looah se sentait transportée, le plaisir la faisait onduler comme une vague à la suite des mains.
On aurait dit que le lilliputien jouait d'un instrument de musique.
Ce fut la bouche douce et chaude qui se promenait sur le corps rendu extrèmement sensible.
Looah avait écarté largement ses cuisses et n'attendait qu'une chose, que la bouche se promène par là.
Mais lui faisait durer le plaisir. Il léchait les seins, suçait un petit coup les tétons, puis se reculait et massait à nouveau.
Enfin elle sentit les baisers descendre vers son sexe. Elle soupira, se préparant au plaisir qu'il lui promettait.
Et ce fut l'explosion !
A peine la langue eut-elle touchée le clitoris, qu'elle partit dans un orgasme le plus intense qu'elle ait jamais connu.
Elle poussa un grand cri de plaisir, ce cri se répéta encore et encore, car lui n'arrêtait pas sa carresse.
Il semblait infatigable, et elle cru qu'elle ne pourrait jamais supporter une telle intensité de jouissance.