Hentaï stories

Vicky planait lentement dans le ciel plein d’étoiles, suspendue à son parachute aussi noir que le ciel.  Sous ses pieds, les dunes du Sahara s’étendaient jusqu’à l’horizon.  Ses compagnons planaient hors de vue.  Ils étaient une dizaine, lâchés à des km les uns des autres, et leur mission : survire seuls dans le désert et, si possible, arriver à un endroit habité avant que dix jours se soient écoulés. 

Quand elle toucha le sol, elle rassembla son parachute, assura son sac à dos avec le matériel de survie et chercha à s’orienter.

Non lui d’elle, au sud elle aperçu ce qui semblait être un gros rocher.  Regardant plus loin à l’aide de ses jumelles à infrarouge, elle vit une vague de sable arriver sur elle… une tempête s’approchait à toute vitesse.  « C’est bien ma veine ! » pensa-t-elle.  « Allez hop, derrière le rocher, en vitesse ma vieille ».  Elle couru s’abriter et rassemble le parachute autour d’elle pour se protéger du vent.

Pendant une heure, la tempête fit rage, l’empêchant de bouger, le sable se glissait partout, elle essayait de ne pas le respirer et d’attendre patiemment.

Il lui semblait que même le rocher derrière lequel elle était blottie vibrait et bougeait sous les rafales.  « Pourvu qu’il ne roule pas sur moi ».  Soudain, la pierre s’écarta de son épaule et elle roula dans un trou profond…

 

Quand elle ouvrit les yeux, se débarrassant à grand-peine du parachute qui s’était enroulé autour d’elle, elle vit qu’elle était dans une grotte éclairée par des torches.

Le sol était de la pierre parfaitement lisse, comme usée par des siècles d’érosion.  Les parois par contre étaient hérissées d’aspérités, de pointes aigues, par endroit on devinait des niches profondes creusées dans la roche.  La salle était à peu près circulaire, sauf à un endroit, où se rattachait ce qui semblait une salle plus petite.  Elle ouvrit de grands yeux en voyant dans ce recoin un bloc rectangulaire, ressemblant à un comptoir de bar, et derrière, des rangées de bouteilles et une forme humaine qui semblait fort occupée et ne la regardait pas.

-         Euh bonsoir !  Vous me comprenez ?

-         Ah une visite ! Fait beau dehors pas vrai ? on est mieux ici hein ?

-         Euh oui c’est certain.  Mais je pensais cette région inhabitée, comment ce fait-il… ?

-         Un bar, de l’alcool en plein milieu du désert, ça vous étonne ?

-         Un peu oui ! Beaucoup même.

-         Mais je suis un peu ermite.

-         Ah

-         Content d’avoir de la visite tout de même… un petit remontant ‘

-         Pas de refus.

Vicky déposa son sac, enleva sa veste, s’approcha de l’étrange comptoir.    De loin, elle avait pu voir que l’homme  était torse nu, sa poitrine et ses bras très musclés, son torse poilu. Il avait de long cheveux noirs bouclés qui lui faisaient comme une crinière, mais le plus étrange, était sa peau violet foncée.  Elle pensa que c’était dû à l’éclairage, mais en s’approchant, vit que c’était bien sa couleur de peau.  « bizarre » se dit-elle.

Elle s’accouda finalement et jeta un œil derrière le bar à l’étrange personnage.  Pour faire un bon en arrière aussi vite !  Sous son torse d’homme violet, des jambes et, à l’endroit du sexe, une épaisse toison noire.  Mais le pire, était que derrière lui se trouvait accolé, un énorme abdomen blanc strié de veine mauves et soutenu par 8 horribles pattes d’araignée géante.

-         Qu’est-ce que ! qu’est-ce que vous êtes… ne m’approchez pas.

Elle dégaina son pistolet.  En éclatant de rire, le monstre fit un bond et fut sur elle.  Elle tira mais la balle ricocha sur la peau.  Le monstre rit de plus belle.  Il avait attrapé la jeune femme et la tenait serrée contre son corps.

-         Attends, ne bouge pas.

-         Lâchez-moi, lâchez-moi.

Il pressa le ventre de sa proie sur ta toison de son pubis.  Vicky sentit une piqûre et en quelques secondes perdit l’usage de ses jambes et de son bassin.  Paralysée, elle se démenait quand même, le tapant de ses poings.  Il la lâcha enfin et elle tomba sur le sol.

Les pattes d’araignée la plaquèrent au sol, bloquant ses jambes et ses bras.  A l’aide des deux pattes avant, garnies de pinces, il entreprit de découper les vêtements de la fille, en se léchant les babines !

Vicky criait de toutes ses forces, appelant à l’aide, mais personne ne pouvait l’entendre, prisonnière dans une grotte, en plein désert, avec la tempête soufflant rageusement dehors.

Au milieu de ses vêtements en lambeaux, elle se tordait de rage !

Il recula pour la regarder.  Vicky chercha à se retourner et à ramper en utilisant ses bras.

-         Tu n’as pas encore compris que tu ne m’échapperas pas ? Tu ne sortiras jamais d’ici !

-         On sait que je suis ici, on me cherchera.

-         Peut-être mais on ne te trouvera pas, je te le dis !

-         Je te tuerai et je m’échapperai.

-         Oui, oui, vous dites toutes ça mais pas une n’échappe et je suis toujours vivant, depuis des siècles.

Il l’attrapa à nouveau et la souleva face à lui,  ses mains poignèrent dans les seins bien ronds, les malaxèrent, les triturèrent, faisant crier sa victime, qui lui cracha au visage dans un dernier sursaut de colère.

Une nouvelle piqûre au ventre et Vicky fut complètement paralysée.  « tu ne me laisses pas le choix » dit-il simplement avant de l’emporter, comme une poupée de chiffons, derrière le bar.

Là une porte dérobée donnait sur une petite pièce toute ronde.  Le sol et les murs étaient couverts de fils blancs collants. «  La toile de l’araignée », pensa Vicky avec horreur.  « Il va me manger ! ».

-         Non je ne vais pas te manger, dit-il comme s’il lisait dans ses pensées.  Tu es trop sexy pour ça, j’ai d’autres projets.  On va bien s’amuser.

Incapable de parler, de bouger, Vicky fut allongée sur la toile.  L’homme-araignée lui tendit les bras vers le haut et les colla par un fil blanc.  Les mains retournèrent vers les seins pour les malaxer à nouveau.  Les pinces des pattes avant vinrent tirailler les petits mamelons roses.  Les seins pointaient vers le haut quand il tirait, puis il les écrasait de ses mains, puis tirait à nouveau.  La douleur irradiait dans la poitrine et Vicky ne pouvait que hurler dans sa tête.

Lorsqu’il se fut bien amusé, le  monstre s’avança sur elle, l’écrasant sous son énorme abdomen.  Vicky pouvait à peine respirer, encore moins bouger.  Il tendit son corps humain vers le haut, s’agrippant à la toile de sorte que l’extrémité de l’abdomen soit placée au niveau de la chatte de sa prisonnière.  Les pattes arrière écartèrent un peu plus les jambes de sa victime.

Avec horreur, Vicky sentit un dard très dur et pointu lui labourer les chairs.   Pas un centimètre des petites lèvres roses et tendres ne fut épargné  Le dard passait et repassait sans cesse sur la chatte et le clito, et malgré la douleur, des frissons de plaisir secouèrent le ventre de la jeune femme.

L’homme-araignée sentait parfaitement ces vibrations sur sa peau et ricanait.

-         Ah alors ma belle, on n’est plus si révoltée à présent.  On va accueillir ma queue avec amour pas vrai ?

-         Jamais ! pensa Vicky de toutes ses forces !

Le dard se pressait à présent sur l’entrée du vagin.  Vicky imagina la pointe dure et écailleuse lui arracher les chairs.  Mais non.  De la pointe sortit un membre doux et souple.  Un pénis de belle taille, qui s’enfonça en elle.  Le monstre allait et venait, il la baisait et ce n’était pas désagréable.  Malgré la situation, elle se relâcha un peu.  Le plaisir naissant dans son vagin la réchauffait.  Elle tenta de lutter contre les vibrations qui secouaient son ventre, ne voulant pas lui donner la satisfaction de la sentir jouir, mais c’était impossible.  Il était parfaitement conscient de ce qu’elle ressentait.

Après de longues minutes silencieuses, où les deux partenaires luttaient et s’excitaient à la fois, il se cambra et plaqua son membre tout au fond du ventre chaud de la jeune femme.

-         Ah tu es bonne ! ça fait si longtemps que je n’ai plus eu l’occasion de pondre… ce sera merveilleux.

-         Quoi ! cria Vicky, qui retrouvait peu à peu l’usage de ses muscles.
Aaaah aie Non !

Le membre souple était en train de se durcir, ou plutôt, quelque chose de dur comme un piquet avançait et la pointe la perforait.

-         Je dois pondre dans ta matrice, ah oui, voilà le passage !

Il se cala plus fort sur elle et enfonça son sexe plus loin encore.  Vicky avait la bouche noyée dans la chair dégoûtante du gros ventre et ne pouvait plus crier.

-         ça vient, je sens que ça vient !

Elle aussi sentait une grosse boule se presser dans son vagin et avancer en elle sous la poussée irrésistible du monstre.

-         Tu les sens ? Une belle grappe d’œufs bien durs rien que pour toi.

La grappe fut éjaculée au fond de son ventre.  Vicky n’en pouvait plus et se  mit à vomir, souhaitant mourir.

Rapidement, le monstre se dégagea, il la laissa dans la toile, prenant soin de refermer la porte tout en disant « repose-toi ma petite,  nous avons tout notre temps »

Mer 15 déc 2010 Aucun commentaire