Hentaï stories
Péniblement, Isaura se hissa hors du bassin. Les algues l’avaient lâchée dès que Charles eut quitté la pièce. Elle retrouva ses coussins et sa couverture et s’endormit en pleurant sur son sort.
Sans doute dormit-elle quatre heures, car à son réveil, Raj était allongé à ses côtés. Il avait écarté les pans de la couverture, et lui palpait les seins.
- Que fais-tu ? Ne me touche pas ! Cria-t-elle en se reculant, horrifiée.
- Allons, je suis médecin ne l’oublie pas, je m’assure de ta santé. Il avait refermé ses doigts sur son poignet et la tenait fermement. « Sois coopérative, c’est dans ton intérêt, je te le rappelle ».
Avec un sanglot, elle se tint immobile.
Raj lui palpa consciencieusement les seins. « Il y a quelques heures, tu t’offrais à moi, tu voulais à tout prix que je te prenne et à présent tu cherches à t’enfuir… voyons sois un peu raisonnable, tu ferais bien de prendre les plaisirs qui sont à ta portée. Comme celui-ci par exemple » Et joignant le geste à la parole, il se pencha vers elle et l’embrassa, tout en continuant à palper les seins gonflés.
Elle ne put s’empêcher de lui offrir sa bouche, s’ouvrant au contact de la langue chaude et impérieuse qui cherchait sa propre langue. Le corps de Raj glissa sur le sien. Il ne portait qu’une blouse blanche de médecin et semblait nu en-dessous. Isaura passa ses mains sur le dos musclé et s’arrêta sur les fesses dures. La blouse remonta par-dessus celles-ci et elle sentit la peau chaude et extrêmement douce. Des fesses de bébé songea-t-elle, toute excitée.
La bite dure, dressée trouva le chemin de son vagin. Elle s’offrit à lui avec un soupir de soulagement, proche de l’extase. Dans ses mouvements de va-et-vient pour la pénétrer, la poitrine de l’homme écrasait les seins d’où jaillissait le lait chaud. Raj en fut couvert, ce qui augmenta son excitation. Il donnait des coups de sa bite tout au fond du vagin, de plus en plus rageusement. Leurs cris de plaisir remplissaient la pièce, résonnaient sur les parois métalliques. Isaura, cambrée, cherchait la jouissance extrême qu’elle trouva en même temps que lui dans un orgasme puissant.
Longtemps ils restèrent enlacés, reprenant leur souffle. Puis Raj lui murmura à l’oreille « sois gentille avec Charles, fais-le pour toi, et pour moi, je t’en prie ». Isaura, incapable de refuser quelque chose à son amant, fit « oui » de la tête. Alors Raj se releva, recula, et elle sentit un autre corps, froid et lisse se glisser contre elle. Ouvrant les yeux, elle vit le visage de serpent de Charles tout près d’elle et ne put réprimer un sursaut de dégoût.
Les mains grises et crochues étaient déjà crispées sur ses seins et la bouche goulue se pressa sur le premier mamelon. L’heure de la tétée était bien arrivée.
Pendant qu’il se rassasiait bruyamment, elle pensa à ce qui venait de se passer. Il n’avait pu arriver après leur étreinte, sûrement qu’il était là depuis le début, mais Raj avait tout fait pour qu’elle ne s’en aperçoive pas, et le monstre avait assisté à tout ! Pourquoi ? Est-ce qu’il ne savait pas comment s’accouplaient les humains ? Est-ce qu’il était pervers à ce point ? Elle commençait à se douter que les créatures reptiliennes avaient toujours un plan secret en tête et que tout ce qui lui arrivait faisait partie de ce plan. Mais quel était-il ? Et quel était le rôle de Raj ? Elle ne pouvait lui faire confiance, mais devait faire semblant, c’était la seule solution.
Malgré ces pensées sombres, elle devait reconnaître qu’elle avait aimé ce qu’il lui avait fait et qu’elle espérait, non désirait, qu’il la prenne à nouveau.
Quand Charles fut repu, il suggéra à Raj de faire prendre une douche à leur protégée.
Isaura suivi docilement son amant dans la petite pièce ronde. Un pommeau de douche était attaché au plafond devant le miroir sans tain, Raj enleva sa blouse blanche et appuya sur un bouton dans le mur. Un jet d’eau tiède jaillit du pommeau et coula le long de leurs corps. Raj commença à la frotter avec une éponge devant le miroir. Elle voulu se tourner dos au miroir mais il la tint fermement face à la glace. « Reste ainsi, tu offres à nos maîtres un magnifique spectacle » Isaura cessa de résister, et s’abandonna aux mains expertes qui lavaient à présent son sexe. Dans son dos, contre ses fesses, elle sentait la verge de son amant grandir et se gonfler. Elle se pressa entre les fesses, dans la fente chaude, offerte à son usage.
- Tu es parfaite pour moi, tu sais… tu sens comme je trouve ma place dans ta fente ?
Isaura acquiesça.
- Viens, mets-toi à quatre pattes, je vais leur montrer comment j’encule une belle femelle comme toi.
Craintive, elle obéit pourtant. « C’est la première fois ? »Demanda-t-il en frottant son gland contre l’anus tout contracté. « Oui » dit-elle d’une voix tremblante.
- j’en suis honoré. Dit-il, « Voilà au moins quelque chose qu’ils n’auront pas ! »
Isaura voulu lui demander de répéter cette curieuse remarque mais le gland s’était enfoncé dans le petit orifice. Un petit cri de surprise, et la question mourut sur les lèvres de la jeune femme.
Raj attrapa les mamelles pendantes de ses deux mains et s’en servi pour s’attirer plus profondément en elle. Isaura cria encore lorsque la bite s’avança d’un centimètre dans l’orifice étroit. Encore un coup, encore un centimètre, puis, soudain, le passage sembla s’ouvrir et le membre glissa sans peine jusqu’au bout dans l’anus déchiré.
Ne tenant plus sur les bras, Isaura s’affala par terre sur le carrelage mouillé. Raj s’allongea sur elle, sur son dos, et lui écarta largement les jambes de ses genoux. Une main descendit vers la chatte pour malaxer le petit clitoris, et Isaura partit dans une jouissance nouvelle et délicieuse, mêlée de douleur. Son excitation grandissait, et elle aurait souhaité sentir une autre grosse bite la défoncer par devant, mais l’homme continuait à ramoner l’anus entièrement détendu à présent.
- C’est une autoroute dis-moi ! Je n’ai jamais vu de femme supporter aussi bien une première sodomie. Tu es vraiment exceptionnelle !
Isaura ne put répondre, toute occupée qu’elle était à gémir de plaisir.
- Oui vas-y ma belle, crie, gémis, donne-toi à moi
Isaura cria plus fort, se libérant de toute la souffrance qu’elle avait sur le cœur. C’était un remède, une libération, elle se sentait revivre sous les coups de verge qui défonçaient son anus.
Les cris de la femelle firent jouir Raj qui se déchargea en elle en un coup brutal.
Haletant, les deux corps restèrent allongés sur le sol, l’eau coulant toujours sur eux, emportant avec elle le climat électrique et sauvage de l’étreinte.
Raj se retira lentement et s’allongea sur le dos à côté d’elle. Quand elle le regarda, elle fut surprise de voir son expression. De la tristesse, de la fatigue, il semblait tout à coup faible et désemparé. Par contraste, elle se senti plus forte, plus décidée. Elle prit l’éponge et la passa sur le corps de son amant, dans un geste presque maternel. Raj la remercia d’un faible sourire et se tourna sur le côté pour qu’elle puisse lui frotter le dos et les fesses. Quand elle eut fini, ce fut elle encore qui se leva la première, et le fit se lever. Elle poussa sur le bouton pour arrêter l’eau de la douche et le portant à moitié elle le fit s’allonger sur le lit ovale.
Elle chercha la couverture, la plaça sur lui et s’allongea près de lui. Il dormait déjà comme un bébé.
Ses seins étaient de nouveau gonflés et douloureux. Elle chercha une position pour s’allonger qui la soulagerait. Finalement elle se coucha sur le côté, contre son amant, posant le sein droit sur le biceps de celui-ci et le sein gauche légèrement en-dessous. Ainsi la tension disparu et elle ferma les yeux, se laissant bercer par la respiration de l’homme endormi. Longtemps ils restèrent étendus tous les deux. Isaura qui se posait plein de questions sur Raj et ses relations avec « les maîtres » comme il disait, était absorbée dans ses pensées lorsque la porte glissa à nouveau. Charles entra en lui faisant signe de ne pas faire de bruit et de s’approcher.
Elle soupira et le rejoignit près des coussins. Allongée près de lui, tournée de côté, elle se laissa faire docilement, pendant qu’il s’installait confortablement, pressait un sein dans ses mains grises et faisait couler le lait chaud et sucré dans la bouche étroite. Il téta encore l’autre sein, puis la fit reposer sur le dos.
- Je suis heureux de voir le plaisir que toi et Raj prenez ensemble.
- Vraiment ?
- Oui, nous ne sommes pas des monstres, comme tu sembles le croire. Nous n’avons pas le choix, voilà tout.
- Tous les monstres, tous les psychopathes disent cela, qu’elle excuse facile !
- Je te demande de me croire, s’il y avait un autre moyen, jamais nous ne t’aurions enlevé à ta famille et obligée à faire ceci.
- Hum.
Pendant un moment, Charles resta silencieux, caressant distraitement les seins.
- Et les autres ? Demanda-t-elle.
- Qui, Christophe et Henri ?
- Oui, où sont-ils ? Vais-je devoir les allaiter aussi ?
- Oh non, ils sont en réalité mes seconds. Ils n’ont pas le droit à ça, du moins pour le moment.
- Et vous, cela va continuer longtemps ?
- Encore quelques jours, je dois être en super forme pour ce qui ce prépare.
- Et c’est quoi ?
- Tu le sauras en temps utile.
- Raj le sait-il ?
- Il connaît un peu nos plans, mais il est loin de savoir les détails, il ne pourra rien t’apprendre d’utile. Pour le moment, contente-toi de ton rôle de laitière, c’est déjà un rôle très important. Tu m’as sauvé la vie, tu sais, et pour cela tu mérites ma reconnaissance et mon affection.
- Et ma liberté ?
- On verra plus tard. Fin de la discussion.
Sur ces mots, il s’approcha à nouveau de la poitrine avenante, pour téter encore quelques gorgées avec délectation. Plus audacieuse, la main se dirigea vers la chatte cachée dans les coussins, et les doigts gris et froids passèrent et repassèrent dans les replis délicats, griffant les lèvres tendres de leurs longs ongles pointus comme des griffes.
Isaura gémit de douleur et se tordit pour échapper à cette main et cette caresse désagréables. Les tentacules qui servaient de jambes à Charles immobilisèrent ses jambes de chair sous pression froide. Le contact des écailles la fit frissonner. Du pouce et de l’index, il écarta les lèvres à la hauteur du clitoris, puis se pencha pour l’observer. Finalement il sortit sa longue langue fourchue et se mit à le lécher consciencieusement. Isaura ne voulait pas lui donner la satisfaction de voir qu’elle jouissait, elle crispa les mains sur les coussins pour résister au plaisir qui naissait en elle. Mais la langue dure s’agitait de plus en plus vite sur le petit bouton rose, faisant onduler le ventre souple à chaque vibration de plaisir qui s’élevait. Isaura ne pouvait plus longtemps prétendre ne rien ressentir, le reptilien l’observait d’un œil pendant que la langue la titillait follement. Elle, incapable de faire taire son propre corps, désespérée de n’avoir pas un meilleur contrôle sur ses orgasmes, lui offrait le spectacle de la jouissance et du plaisir s’étalant en vagues et ondes qui lui soulevaient les reins et la poitrine en un rythme effréné.