Hentaï stories
Etait-ce l'effet des caresses du vieillard sur ses seins, ou l'alcool, ou quelque chose dans la boisson, Isaura n'aurait pu le dire, mais elle glissa dans une espèce de transe proche du rêve après quelques minutes. Son rêve était fait de lumières éclatantes et elle avait la sensation de flotter dans les lumières, dans un nuage de douceur et de plaisir.
Entièrement abandonnée, inconscience, elle ne vit pas la langue de Charles s'ouvrir en deux tentacules et ne les vit pas jaillir de la bouche pour s'enrouler autour de ses tétons.
La bouche de Charles, passait de l'un à l'autre, comme si le tentacule le tirait à lui, et tétait goulûment le téton durci et dressé. Malheureusement aucun lait, aucun liquide n'en sortait et Charles finalement se laissa aller en arrière, lâchant la jeune femme offerte à lui, avec un rugissement de dépit.
- Il faut que tu fasses vite, Raj, lui dit-il, je ne tiendrai plus longtemps.
Raj, imperturbable, se retourna vers une petite table et prépara une seringue et une injection.
- Je vais déjà lui donner une dose de cheval. Les hormones la rendront sans doute nauséeuse et malade demain, mais si je continue le traitement par les pilules, elle sera prête après-demain.
- Elle le supportera ?
- Je pense que oui, elle est en excellente santé tu sais, et c'est l'affaire de trois jours, ensuite tu pourras la téter à ton saoul et son corps entrera dans un processus de lactation et de
procréation tout à fait naturel, elle sera en pleine forme après trois jours, c'est certain.
- Tant mieux. Nous avons tellement besoin d'elle.
Raj fit l'injection dans l'épaule d'Isaura, puis descendit le t-shirt sur la poitrine encore excitée. Il installa confortablement la femme sur la banquette et les deux compères la laissèrent dormir jusqu'à ce que le bateau arrive à l'île, en début d'après-midi.
Réveillée mais encore faible, Isaura se laissa porter plus qu'elle ne marcha jusqu'à la voiture, puis Raj la conduisit au cottage de la plage. Là il la déposa sur le lit, lui enleva son pantalon et son t-shirt et lui fit une nouvelle injection, disant que cela la ferait dormir jusqu'au matin.
En effet, elle se réveilla le lendemain, les idées claires, mais avec une sensation de nausées. Raj lui fit boire un grand verre d'eau. Avait-il passé la nuit à la veiller ?
Il l'entoura d'un paréo.
- Viens allons au soleil, sur la plage.
- Mais que m'avez-vous fait.
- C'était nécessaire, mais je vais tout t'expliquer.
Lorsqu'ils furent bien assis dans le sable chaud, au soleil, il lui raconta tout. Sa perte de connaissance, puis les caresses de Charles, la piqûre et leur projet de lui faire faire du lait pour sauver Charles.
- Mais qu'est-ce que c'est que cette langue bizarre que j'ai senti ?
- Les trois astronautes, dans leur dernier voyage, on fait une rencontre. Un vaisseau Alien. Ils ont été, comment dire, infectés. En fait, non plutôt ils ont muté, car leur ADN s'est mélangé avec celui des aliens, des reptiliens. On ne le voit pas trop, mais ils ont certaines caractéristiques de reptiles à présent.
Celui qui a le plus souffert, c'est Charles, et c'est pourquoi il a absolument besoin de ton aide. Je suis chargée de te dire qu'il te donnera 5000 euros par mois pour ton lait, et voici le contrat. Acceptes-tu ?
- Je n'ai pas trop le choix, vous m'avez trahie!
- Nous avons simplement profité de l'occasion unique de trouver une femelle compatible... c'est... compliqué... et tu seras traitée comme une reine je te le promets.
- Je n'ai pas confiance en vos promesses !
- Allez viens te détendre dans la piscine, tu seras vite conquise par nos soins attentifs, c'est donnant-donnant avec eux, tu sais, ils sont corrects même si cela ne te semble pas croyable pour le moment.
- Je n'ai pas envie d'aller dans votre piscine, laissez-moi seule!
- Comme tu le voudras.
Il se releva pour rentrer dans le cottage. Isaura décida de marcher sur la plage, cherchant à s'éloigner le plus possible de cet endroit maudit. Des scénarii d'évasion, tous plus impossibles les uns que les autres lui trottaient en tête. Finalement, elle arriva à un rocher élevé qui semblait fermer la plage. Un sentier, ou plutôt un escalier naturel creuse dans la roche menait à son sommet. Levant la tête, elle vit un vieux moulin en ruines tout en haut de la falaise.
C'était un signe qu'il y avait peut-être d'autres habitants, c'était un peu d'espoir. Elle se mit à grimper. Ses pieds nus se blessaient sur les arêtes des rochers, son paréo entravait ses mouvements. Elle l'enleva et l'attacha autour de sa taille. Nue, sauf cette étrange ceinture, elle acheva l'escalade.
Du moulin, elle pu admirer une bonne partie de l'île. Il lui sembla voir des habitations et un petit port au loin, vers le nord. Au pied du moulin, de l'autre côté du rocher par rapport à d'où elle était venue, un homme pêchait, torse nu, assis sur une grosse pierre.
Voyant les muscles jouer sur son dos, elle sentit une étrange chaleur la remplir. Une envie folle la prit, une envie animale de sexe. En se demandant un peu comment cela était possible, elle chercha à descendre vers le pêcheur. Mais aucun chemin ne semblait descendre du moulin. Perplexe, elle s'entoura à nouveau du paréo et chercha à attirer l'attention de l'homme qui lui tournait le dos. Cherchant à se rapprocher, elle trébucha et fit tomber quelques pierres. Le bruit le fit sursauter. Il se retourna et la vit.
- Attendez, vous allez tomber. J'arrive.
- Oh oui, je vous en prie ! Je ne sais pas par où descendre.
Il devait être habitué des lieux, car en quelques bonds de cabri il fut à ses côtés.
- Ce n'est pas compliqué lorsque l'on connait l'endroit. J'ai grandi ici! Il la gratifia d'un grand sourire. "Et vous, d'où venez-vous ?"
- Du cottage là-bas. Je voudrais aller jusqu'au port et partir d'ici. Vous pouvez m'emmener?
- Du cottage ? Vous êtes invitée de ce monsieur Charles et compagnie ?
- Oui fit-elle, et les larmes lui vinrent aux yeux.
- Voyons, dit-il, asseyez-vous et racontez-moi tout, je peux peut-être vous aider.
Passant ses bras autour de ses épaules, il l'écouta attentivement raconter son histoire. Puis d'une main douce, il essuya ses larmes. La main glissa le long de la joue de la jeune femme, descendit sur les épaules et s'attaqua au nœud du paréo, sans qu'elle ne bouge.
Isaura se sentait réconfortée et rassurée avec lui, et son envie s'en trouvait exacerbée, aussi, sentant le début de la caresse, elle frissonna de bonheur et ne songea bientôt plus qu'à s'abandonner au bel inconnu.
La main avait vaincu le nœud, le paréo glissa sur le sol et il en profita pour faire s'allonger la belle.
Pendant quelques instants, il se contenta de la regarder. Ses yeux couraient sur le corps nu, détaillant les seins lourds, les tétons roses et durs, la jolie courbe du ventre, le petit nombril, et, plus bas, le sexe tendre recouvert d'une fine toison blonde. Ses mains frôlèrent les cuisses longues et fermes, un peu moites dans la chaleur de midi.
Isaura, impatiente, avait déjà commencé à écarter les cuisses, mais l'homme semblait vouloir prendre son temps.
Les mains quittèrent les cuisses, délaissant la chatte déjà humide et se mirent à lui masser le ventre. Isaura gémit de désir qu'elle avait du mal à contenir et se tordit devant lui.
Souriant, l'homme fit glisser ses doigts sur le ventre, effleura les tétons dressés de façon si provocante. Il se pencha vers elle et lui lécha consciencieusement les seins.
De plus en plus excitée et impatiente, Isaura souffla... "Viens, prends-moi, je suis à toi, prends-moi, je n'en peux plus"
L'homme lui écarta les bras et les jambes. "Ne bouge pas ma jolie, reste bien écartelée ainsi, je vais te prendre à présent"
Toute frémissante, Isaura garda la pose. Elle sentait ses tétons douloureux à force d'être contractés par l'excitation, elle sentait sa chatte toute mouillée et il lui semblait que le liquide dégoulinait même sur le sol. L'homme s'était relevé au-dessus d'elle et enlevait ses vêtements, lentement, tranquillement.
Il s'allongea sur elle, lui tenant les bras et les jambes bloqués sous lui, et elle senti le sexe dur se frotter à sa chatte. De plus en plus excitée, elle senti sa chatte s'ouvrir au passage de la grosse bite. Avec un gémissement sourd, l'homme s'enfonça en elle, tout concentré sur son plaisir. Leurs gémissements devenaient de plus en plus forts, en même temps que les mouvements de leurs corps s'accentuaient. Les cris qu'ils poussaient tous les deux sur le rocher couvrirent le bruit des pas lourds qui s'approchaient.
Un éclair et l'homme fut projeté en arrière, brutalement, assommé par la décharge.
Isaura hurla de peur et bondit sur ses pieds.
Raj et Christophe étaient là, tenant en main une arme étrange dirigée vers elle.
- Ton escapade est terminée ma belle, à présent tu vas gentiment venir avec nous.
- Jamais, cria-t-elle, et se tournant vers la mer, elle se mit à courir, décidée de plonger dans les vagues au risque de se briser la nuque sur les rochers. Une nouvelle décharge l'envoya à terre, paralysée. La sensation était horrible. Tout son corps était parcouru de picotements, comme si tous ses muscles étaient endormis, et incapables de bouger, alors qu'elle était parfaitement consciente. Les deux hommes la prirent par les épaules et les jambes et la portèrent à leur véhicule, garé derrière les buissons.
- Nous étions ici bien avant toi, qu'est-ce que tu crois ? Une femelle comme toi, on ne la laisse pas s'échapper. J'espère que tu t'es bien amusée au moins. En tout cas tu nous as donné un beau spectacle! Fit Christophe.
- Et je crois pouvoir dire que demain elle sera prête pour Charles, ajouta Raj.
- Oui et ce n’est pas trop tôt, je m'inquiète réellement pour sa santé.
Ils la jetèrent sans ménagement sur la banquette arrière et se mirent en route.
- Fini le cottage, fit Christophe, on l'amène au vaisseau et elle n'en sortira plus.
Vaisseau? pensa-t-elle, quel vaisseau ?
Ils roulèrent un long moment, les cahots de la route étaient une torture pour ses muscles court-circuités, chaque sursaut répandait en elle des millions de picotements très désagréables. Elle dirigeait toute sa volonté vers ses mains pour essayer de les faire bouger, sans succès.
Pourtant, lorsqu'enfin le véhicule s'arrêta, elle parvint à émettre un léger cri.
- Il était temps, elle va se réveiller. Fit Raj.
- C'est vraiment une femelle de premier choix, dit Christopher, je crois qu'on tient la bonne cette fois.
Des serviteurs vinrent déposer Isaura sur un brancard, l'attachèrent fermement et l'emmenèrent dans un couloir sombre et humide.