Hentaï stories
Rhoedia pu enfin profiter de quelques semaines de repos bien méritées, pendant que son roi et Birulus mettaient en place leur plan de paix. Sur la planète tout semblait calme, et elle savourait le bateau mis à sa disposition en naviguant d'île en île, découvrant des paysages magnifiques.
Un jour, un appel urgent du vaisseau royal vint rompre la tranquillité de ses vacances.
Malygosh l'informa qu'ils avaient capté un appel de détresse émanant d'un vaisseau terrien! Il souhaitait sa présence pour leur venir en aide.
Un peu inquiète du sort qui serait ensuite réservé à ses compatriotes, elle se fit téléporter sur le vaisseau.
Malygosh et son fils Gargelgosh l'attendaient.
- Je veux que tu partes avec Gargelgosh à la recherche de ce vaisseau.
- Et ensuite ?
- Et bien nous viendrons en aide aux rescapés.
- Que deviendront-ils ou elles ?
- Pourront rester ici avec toi, ou retourner, mais alors nous effaceront leurs souvenirs bien sûr.
- Bien sûr.
Rhoedia suivit Gargelgosh sur le petit vaisseau rapide et bien armé qui leur avait été affecté.
Le capitaine du vaisseau, un grand seigneur expérimenté avait rassemblé toutes les informations utiles à leur attention.
Apparemment, le vaisseau avait été repéré non loin d'une petite planète viable. Mais les Erudiens hésitaient à s'y rendre car cette planète, lui expliqua le prince, était sacrée pour eux. C'était là que vivaient, selon les mythes, leurs ancêtres-divins, et les ancêtres de tous les peuples du système: Erudiens, Aqualish, Affliytechs.
Rhoedia insista pour qu'ils rejoignent le vaisseau terrien au plus vite. "On avisera sur place" ajouta-t-elle.
Après une journée de voyage, ils aperçurent le vaisseau sur leur écran. C'était bien le Flamboyant ! Mais il était vide.
- Je suis sûre qu'ils sont sur la planète, il faut organiser une expédition de sauvetage.
- Nous ne pouvons nous poser, c'est un sol sacré.
- Je suis sûre que vos ancêtres comprendront, Et puis tu es prince, tu peux leur rendre visite et les honorer.
Après de longues discussions, Gargelgosh accepta de l'accompagner, mais les autres durent rester en orbite.
Le sol était herbeux, tout semblait calme sur le site choisi. A l'aide de leurs instruments, ils détectèrent des gouttes de sang humain séché sur un rocher près de l'entrée d'une grotte.
- J'y vais fit Rhoedia, couvre-moi.
Pendant que Gargelgosh inspectait les extérieurs, elle entra dans le tunnel. A peine avait-elle fait quelques pas qu'une cloison se referma derrière elle. Elle était prisonnière.
Devant elle, le tunnel continuait, les parois luisaient faiblement, lui permettant à peine de voir où elle posait les pieds. Serrant fermement son pistolet-laser, elle continua d'avancer.
Après une centaine de mètres elle se trouva à l'entrée d'une grande salle, profonde, traversée par un fin pont en pierre, à peine assez large pour une humaine.
Environ 5m plus bas, sur le sol, des monstres semblables à des chiens sauvages hurlaient et bondissaient pour l'attraper. La seule solution était d'emprunter le petit bon, un tunnel partait au-delà lui permettant de sortir de cette salle.
A chaque pas, il lui semblait que les chiens bondissaient plus haut, rendus fous par son odeur. Certains grimpaient même sur leurs congénères et leurs crocs se dessinaient beaucoup trop près de ses pieds à son avis.
Elle continua cependant sa progression. Lorsqu'elle fut arrivée de l'autre côté, les chiens, sentant leur proie leur échapper, bondirent et tentèrent de s'agripper aux parois. Deux d'entre eux réussirent un bon incroyable et arrivèrent sur le rebord. Rhoedia tira vers eux, mais ils bondirent sur elle sans être touchés. Les crocs se refermèrent sur sa combinaison et la déchirèrent. Pourtant la matière était sensée résister à tout !
Rampant pour leur échapper tandis qu'ils s'acharnaient sur le vêtement, elle avisa une énorme stalactite qui pendait au-dessus des monstres. Elle tira, la roche s'écroula sur eux et les écrasa.
En vitesse, Rhoedia se releva et couru jusqu'au tunnel. Lorsqu'une nouvelle cloison se referma derrière elle, elle poussa un soupir de soulagement. Pourtant sa situation n'était pas bonne. Elle était définitivement coupée de son allier, nue car les lambeaux qui lui restaient la gênaient plus qu'ils ne la protégeaient, armée seulement de son pistolet-laser et d'un couteau fixé à son mollet.
N'ayant pas le choix, elle continua d'avancer dans le nouveau tunnel qui descendait en pente douce.
Des fils pendaient des parois, semblables à de longs cheveux blancs. Ils n'empêchaient pas sa progression et elle n'y fit pas attention. Pourtant, plus elle avançait et plus ils étaient nombreux autour d'elle. Bientôt elle dû les écarter de son visage par paquets et remarqua qu'ils étaient un peu collants. "comme des fils d'araignée" pensa-t-elle avec un léger malaise. Heureusement, le tunnel s'élargissait, rendant sa marche plus aisée. Elle finit par arriver dans une immense grotte dont le sol et les parois étaient tapissés de ces fils, par endroit cela ressemblait vraiment à des toiles d'araignée géantes.
Debout dans l'entrée, elle observa la grotte un long moment. Rien n'y bougeait, tout semblait abandonné. A l'autre bout, en hauteur, mais accessible si elle grimpait sur une des toiles, un nouveau tunnel se dessinait. A part ce tunnel, aucune autre sortie n'était visible.
Prenant son courage à deux mains, elle s'avança prudemment dans la salle. Le sol était doux et souple, et elle marchait sans faire de bruit. Lorsqu'elle fut au milieu de la grotte, un mouvement vers le tunnel d'oû elle venait la fit se retourner. Un créature, mi femme, mi araignée se tenait là.
Rhoedia braqua son arme sur elle.
- Je suis à la recherche de personnes de ma planète, fit-elle, Je ne vous veux aucun mal, seulement traverser.
L'arachnide ouvrit se mains en signe de paix, et fit un grand sourire. Rhoedia ne se sentit qu'à moitié rassurée en voyant la bouche pleine de petites dents acérées.
D'une voix sifflante l'étrange créature lui répondit.
- Un mâle sur deux pattes est venu. tu veux le voir ?
- Oui, bien sûr.
Se déplaçant avec beaucoup d'agilité sur ses huits longues pattes velues, la créature passa à gauche de l'humaine et écarta une masse de fils. Derrière, un gros cocon était visible. La créature dégagea le haut, et Rhoedia put voir, avec horreur, le visage gris d'un homme.
- Vous l'avez... tué ?
- En léthargie, mais il mourra et nourrira mes enfants.
- Et les autres ?
- Pas vus... dommage, fit-elle en passant sa langue sur ses petites dents.
- Bon, comment puis-je vous convaincre de me rendre cet homme ?
- Je te propose un jeu.
- Quel genre de jeu ?
- Tu échappes à mes gardes, alors tu es libre. Sinon, tu le rejoins en léthargie... il faut plus de viande pour l'hiver.
- Il y a deux chiens dehors, qui son morts, prenez-les à notre place.
- Pas de la chair fraîche, mais bon tu as une chance. Cours.
Ne demandant pas son reste, Rhoedia se précipita vers la sortie. Deux mâles araignée étaient arrivés par le tunnel du bas, et quand elle commença à grimper pour atteindre celui du haut, ils s'élancèrent à sa poursuite.
Evidemment ils se déplaçaient sans difficultés sur les toiles et arrivèrent à toute vitesse sur elle. Elle voulu se retourner et tirer, mais ils lançèrent des fils qui projetèrent l'arme bien loin, et lui collèrent les mains sur les parois.
D'autres fils furent envoyés pour fixer son ventre, puis ses chevilles. "Evidemment" songea-t-elle en se retrouvant à nouveau écartelée et ligotée. " Mais quel monde !"
Les deux mâles se battaient à présent pour leur proie. L'un prit le dessus et l'autre s'enfuit sans demander son reste.
Le vainqueur s'approcha de sa proie. Au bout de son abdomen, quelque chose de rouge commençait à sortir. Cela avait l'allure d'une verge de cheval en érection.
Le membre, grandissait, grandissait, sous les regards des deux femelles, l'humaine et l'araignée.
Lorsque l'érection fut finit, il se plaça au-dessus de Rhoedia et approcha son pénis énorme de la femme écartelée. Celle-ci ferma les yeux et se crispa lorsqu'il commença à la pénétrer. L'énorme queue glissait peu à peu dans le vagin déformé par les épreuves qu'elle avait déjà subi. Mais la longueur était telle qu'à peine la moitié s'enfonça dans le ventre de la femme. Le mâle se mit à rugir en essayant d'enfoncer plus, secouant la pauvre femme et la bourrant à coups réguliers.
C'était un bélier qui frappait au fond d'elle, la transperçant sans cesse!
La femme-araignée s'était placée sur Rhoedia, et les deux êtres, s'étreignaient de leur bras humains au-dessus d'elle. Ils se caressaient et s'embrassaient sans gêne, tandis que le mâle continuait à bourrer sa victime.
Rhoedia vit que l'abdomen de la femelle se terminait par une ouverture en forme d'entonnoir, et à l'intérieur d'autres entonnoirs plus petits, les uns dans les autres, étaient visibles.
L'entonnoir s'abassait vers elle, et, la palpant, se plaça sur le sein gauche. Puis il commença une intense succion. Le plus gros suçait le sein tout entier, tandis qu'un plus petit, à l'intérieur, suçait le mamelon.
Rhoedia faisait des bonds collée à la toile, se convulsant sous les assauts des deux amants. Finalement, ils la laissèrent, et s'unirent sur elle. La verge s'enfonçait parfaitement dans l'orifice à entonnoirs et, tout à leur étreinte, les deux tournaient sur leurs 16 pattes, marchant sur Rhoedia.
Elle constata que les griffes au bout des pattes avaient coupés certains liens, et pu attraper son couteau pour se délier complètement.
Sans un regard pour les deux amants toujours formidablement unis, elle grimpa à la toile et s'échappa par le tunnel.
Après quelques pas tremblants, le sol manqua sous ses pieds et elle tomba dans un trou! Après une chute de plusieurs mètres, elle atterrit sur un nouvelle toile. Cela amorti sa chute et elle n'avait rien de cassé , mais la toile ne présageait rien de bon.
En regardant autour d'elle, elle vit un sol lisse un peu plus loin, et des écrans de contrôle, de la technologie!
Une créature araignée, plus petite que le mâle d'au-dessus s'affairait devant les écrans.
- Enfin elle m'envoie un cadeau ! Et la femelle choisie par le premier mâle en plus! Bienvenue, ma chère!
- Qui êtes-vous ?
- je suis...heu... le surveillant. Je surveille les lieux pour les grands anciens.
- Les anciens ? Et vous avez-vous d'autres comme moi par ici?
En guise de réponse il fit un grand geste pour montrer ses écrans. Sur certains, des hommes et des femmes étaient visibles, avançant péniblement dans un labyrinthe de couloirs.
- Je suis venue les chercher, pouvez-vous m'aider?
- Mm peut-être. Mais je veux une récompense.
- Que voulez-vous ?
- Toi bien sûr. Je n'ai pas le droit de m'accoupler, je suis trop faible, alors un cadeau tombé du ciel, ça ne se refuse pas.
Il la poussa et elle tomba à la renverse sur la toile. Soupirant elle écarta les jambes, sachant bien qu'elle n'avait pas le choix.
Il la regarda en silence, ainsi offerte à lui.
- Bouge pas.
Il se retourna, attrapa quelque chose par terre et lui plaça sur le ventre. C'était une larve, de la longueur de son ventre, noire et velue. Rhoedia eut un mouvement de répulsion
- Qu'est-ce que c'est?
- Cadeau, attends.
La larve sortit deux bras terminé par trois petites pinces. Après quelques tâtonnements, les pinces se fixèrent sur les tétons, deux autour et une au-dessus, les pinçant et les griffant.
- Aie, c'est pas un cadeau, ça fait mal.
- Attends.
A l'autre bout de la larve, des tentacules s'échappèrent de l’abdomen, venant masturber le minou, fouillant les lèvres, les orifices, vibrant intensément sur le clitoris.
Rhoedia se mordit les lèvres en sentant une délicieuse excitation la faire vibrer. Oui ça c'était un cadeau, mais ce n'était pas le moment de perdre contrôle.
Le surveillant la regarda alors que montait en elle la sensation de plaisir. Son sexe à lui, commençait à sortir, de taille plus raisonnable que le mâle précédent, mais quand même impressionnant.
Lorsqu'il l'approcha du vagin rempli par les petits tentacules de la larve et secoué de délicieuses convulsions de plaisir, les tentacules s'écartèrent en tirant sur les plis de chair, écartant au maximum l'orifice mouillé et vibrant de plaisir.
Avec un immense soupir, il s'enfonça en elle.
Ses mouvements de pénétration étaient accompagnés de cris et de commentaires qui, malgré la situation tendue, firent sourire la jeune femme. Elle apprit ainsi que c'était le premier et sans doute le seul rapport qu'il aurait jamais, que c'était booon, qu'il se sentait puissant etc.
Son excitation augmentait toujours et il se libéra en elle dans un grand cri. Le liquide qui se déversa en grande quantité était chaud, et s'écoula hors d'elle, absorbé par la toile sur laquelle elle était couchée.
Elle pensa pouvoir se lever et partir à la recherche des autres, mais lui la repoussa avec force et s'enfonça à nouveau.
- Hé c'est tout, lâche-moi, lui cria-t-elle.
- Ah non, non, j'en profite, inutile de résister.
D'ailleurs pour s'assurer de sa collaboration, il fixa rapidement des fils autour de ses bras et de son cou.
Ainsi maintenue, elle dû subir plusieurs assauts, jusqu'à ce que le surveillant fut épuisé, vidé de tout son liquide reproducteur