Hentaï stories

Rhoedia fut réveillée le lendemain par une douce caresse sur tout le corps.  Malygosh était couché tout contre elle et avait glissé un tentacule sensuel sous la couverture légère qui la recouvrait.  La douceur l’envahit et elle se coucha sur le dos pour lui permettre de mieux la caresser. Comme le tentacule descendait lentement vers son ventre, elle écarta légèrement les jambes, en une invitation à prolonger le geste.  Se glissant entre ses jambes, la longue tige tendre frotta sa chatte d’un mouvement souple.  Rhoedia resserra les jambes sur le puissant membre sensuel et se mit à onduler des pieds aux épaules.

Surpris par le mouvement, Malygosh gronda de plaisir et se mit à haleter.  Encouragée, Rhoedia ondula plus fort, attrapant la queue de ses mains , la fit glisser sur ses lèvres mouillées et son clitoris gonflé puis l’enfonça lentement dans son sexe.  Pour la première fois une femelle prenait l’initiative du sexe, et Malygosh semblait trouver cela extrêmement excitant.  Haletant de plus en plus, il la serra entre ses pattes et rapprocha ses queues-fouet du sexe qui s’abandonnait à la pénétration et appelait plus encore.  Se plaçant sur elle, il ressorti le tentacule trempé de liquide et l’introduisit dans l’anus.  Haletant, les deux partenaires s’impatientaient, Rhoedia gémissait et se tordait de désir, rendant fou le mâle prêt à la pénétrer de partout.  Après quelques mouvements dans l’orifice le plus étroit, ce fut la langue fourchue qui chercha à s’enfoncer dans la bouche ouverte sur un cri, et cette fois Rhoedia n’offrit aucune résistance.  Le mâle laissa couler sa chaude salive dans la bouche ouverte et leurs langues s’unirent dans le liquide sucré. Rhoedia se tordait encore sous lui, et il savait qu’elle appelait une pénétration, la désirant autant que lui, il attendit encore le temps de quelques mouvements tentaculaires, puis approcha l’une de ses queues-fouet de la chatte en chaleur.  Les ondulations de la jeune femme reprirent de plus belle, cherchant à s’enfoncer le membre chaud et humide par ce mouvement.  Incapable d’attendre plus longtemps, l’énorme créature-scorpion la pénétra avec un rugissement de plaisir, suivi aussitôt d’un cri évoquant l’orgasme de sa partenaire.  Se laissant aller à l’écraser de son abdomen, pour sentir plus fort le mouvement de la femelle brûlante de plaisir, Malygosh accéléra les mouvements de pénétration.  Plus il la défonçait des deux membres, et plus le corps sous lui criait et bougeait, le remplissant d’une excitation toute nouvelle.  Après de longues minutes, un gémissement venant de la couche, lui appris que sa reine était vaincue, il senti le corps se relâcher après l’orgasme, les orifices s’ouvrir encore plus.  Elle s’abandonnait toute entière, épuisée, soumise, offerte.

Malygosh senti remonter du plus profond de son corps une envie irraisonnée de la déchirer pour entrer en elle, de l’emplir d’une ponte phénoménale, et de posséder encore et encore ce corps délicieux.  Il savait qu’en ce moment il aurait pu tout lui faire et qu’elle était entièrement à lui, son esclave, prête à mourir pour son plaisir.

Pensant à d’autres moments de plaisir, il préféra se dominer, mais une tentation perverse lui fit laisser couler quelques grappes d’œufs jusqu’à la chatte… Pressant ceux-ci contre l’entrée du vagin, mais gardant bien sa queue-fouet fermée, il lui murmura d’une voix rauque :

- Tu les veux ? Ils sont à toi.

Un gémissement de crainte et d’acceptation lui répondit.

Gardant encore un peu la pression, il savoura sa puissance, et son pouvoir.  Cette petite femme si courageuse était cependant à sa merci, et le resterait dorénavant.  Mais il décida, lui Malygosh, de garder et de protéger la vie de sa compagne, comme quelque chose de très précieux.  Battant des pattes autour de lui, il attrapa au hasard une des servantes grises et s’écartant de la couche de la reine, lui fit un vibrant mais mortel hommage.

Retournant à la couche, il la vit sourire, et ce sourire lui fit encore plus d’effet que le sexe, ce qui l’étonna grandement.

- Nous devons parler de Tresh, lui dit-il sérieusement.

- Oui en effet, je voudrais que tu m’expliques ce qu'il veut, ce qu’il souhaite.

- Tu dois comprendre que c’est un chef très vieux et très sage.  C’est lui qui m’a tout appris, et il n’a pas de descendant pour reprendre la direction du clan.

- Ah bon, pourquoi ?

- C’est ainsi, il n’a jamais pu en produire.  Parfois cela arrive.

- Et qu’adviendra-t-il du clan à sa mort ?

- Justement, il semble penser que tu pourrais lui faire procréer d’un prince, mais il sait aussi que c’est un terrible effort, et qu’il n’y survira pas.  Il t’offre un long moment de plaisir en échange de la couvaison de son prince et nous demande de prendre en charge son instruction.

- Il a dit tout ça dans une seule phrase ?

- J’ai deviné tout le sens caché.

- Ce sera dur pour moi tu sais, j’aurais aimé des vacances, visiter ton peuple, notre peuple, la planète…

- Je sais, mais c’est important tu sais, pourtant je te laisse choisir.

- Que se passerait-il si je refusais ?

- Un autre chef prendrait son clan et sa lignée s’éteindrait.

- Et si j’accepte ?

- Tu as reçu l’hommage des chefs hier, mais parce qu’ils ont peur de moi.  Si tu fais ce geste pour notre vénérable ancien, tu auras leur fidélité totale et leur respect.

- Bon, tu me promets que je ne risque rien, que je ne souffrirai pas.

- Je pense connaître suffisamment bien Tresh pour t’assurer qu’il ne sera que douceur et attentions envers toi pendant votre étreinte.

- J’accepte alors.

- Je vais faire les préparatifs pour ce soir.  Prends des forces et du repos.

 

Le soir venu, Malygosh s’installa sur son trône, et Rhoedia, nue, s’assit sur la puissante queue.  Le roi l’entoura de ses tentacules-fouet, lui faisant un habit chaud et doux, les pointes chatouillant ses seins dressés.  C’est ainsi qu’ils reçurent l’hommage des onze chefs de clan restant.

Malygosh avait prévu onze sièges que des serviteurs placèrent en cercle, avec le trône en douzième.  Tresh prit place sur le siège face au trône, attendant la réponse à sa demande.

Quand tous furent assis, Malygosh se contenta de dire que la reine allait prendre la parole.

Rhoedia se laissa glisser sur le sol d’un mouvement souple, et se redressant fièrement, fit des yeux le tour de l’assemblée.  Elle se sentait forte et puissante en ce moment, et mesurait l’importance de l’enjeu pour son avenir.

- Puissants chefs de clan, et toi noble Tresh, je vous salue et vous souhaite la bienvenue ce soir.  Le vénérable Tresh a fait une demande hier, et mon seigneur, votre roi, a daigné me l’expliquer.  J’ai décidé de faire au vénérable Tresh l’honneur d’accéder à sa demande, moi la Rhoedia, première reine d’Erudash accepterai et prendrai en moi le dernier hommage du vénérable.

Les réactions des onze furent impressionnantes à voir.  Tresh parut s’effondrer de bonheur, les plus anciens hochèrent d’un air grave leurs énormes têtes tapant de la queue sur le sol, tandis que les plus jeunes, très excités, fouettaient l’air de leurs queues-fouet, dans un orage de claquements.

La reine remarqua que le mâle assis à droite de Tresh semblait le plus excité de tous et ses queues-fouet se gonflaient déjà d’une grande quantité d’œufs, ce qui fit sourire Rhoedia.

Sur un rugissement de Malygosh un grand nombre de femelles grises vint se placer autour des participants, et le jeune excité en attrapa directement une pour se soulager, suscitant les rires des autres jeunes.

Lorsque tous se furent remis de l’annonce, elle s’avança d’un pas lent vers Tresh, toujours affalé sur son siège.  Elle se demandait s’il n’était pas trop faible déjà, mais arrivant près de l’extrémité de sa longue queue, elle vit celle-ci se mettre à battre et s’élever vers elle, tandis que des protubérances croissaient ça et là sur la queue.

Elle fit encore deux pas,  s’arrêta et laissa le bout tendre la palper, puis la queue s’enroula autour de sa taille, la souleva et Tresh allongea sa reine sur le dos, la déposant sur la base de sa queue.

L’ensemble de la salle poussa un soupir !

Les serres du vieux mâle lui écartèrent bras et jambes, elle s’y attendait.  Mais ce qui la surprit fut qu’il vint lui pincer les mamelons, tirant sur ceux-ci, puis les relâchant, comme pour tester leur élasticité.  Le premier moment de douleur passé, elle se rendit compte que c’était assez plaisant, et lâcha un soupir et un petit gémissement de plaisir, fermant les yeux pour mieux sentir la suite.  Continuant le jeu des pinces, il entreprit de la lécher entièrement des bouts de sa langue fourchue.  Les zones érogènes, que Rhoedia lui fit connaître en gémissant furent explorées par la langue à plusieurs reprises.  Pendant ce temps, peu à peu, les tentacules sensuels sortaient de la longue queue et dardaient leurs bouches goulues vers le corps féminin qui s’abandonnait peu à peu.

Lorsque la première bouche se posa sur le clitoris déjà dressé, arrachant un cri de plaisir à la reine, les mâles reprirent de plus belle leur démonstration d’excitation, et les cris de plaisir de Rhoedia firent échos aux cris douloureux des femelles subissant les assauts des plus excités.

Les bouches tentaculaires prirent la place des pinces sur les mamelons durs et sensibles, et d’autres se placèrent sur les endroits sensuels explorés par la langue. De lentes caresses et de douces pressions la firent se torde de plaisir devant sous les yeux de tous les mâles de la salle,  amenant une nouvelle dose d’excitation érotique à l’assemblée.

« Il ne leur faut pas grand-chose pour être excités tout de même » pensa-t-elle, tout en criant un peu plus fort, juste pour le plaisir de sentir le désir et l’érotisme de la salle monter d’un cran.

Comme s’il lisait dans ses pensées, le vieux mâle approcha une de ses queues-fouet de la chatte rendue hyper sensible et accompagna de la pointe le mouvement de la bouche tentaculaire.  Les cris plus intenses de la jeune femme trouvèrent leur justification dans cette caresse extrêmement jouissive.

Plongeant son regard dans celui de son partenaire, Rhoedia lu dans celui-ci comme un merci et un adieu.  Elle ne pu s’empêcher de crier « nooon », mais au même moment, Tresh introduisit la queue-fouet dans le vagin trempé.

Très lentement, comme s’il voulait savourer chaque centimètre, il la pénétra, et elle accompagna le mouvement d’une ondulation du bassin.  La pénétration se fit plus intense, plus rapide, le mâle crispé sur elle haletait et se cambrait sous le plaisir, essayant de se retenir au maximum, pendant que Rhoedia, incapable de refréner ses ardeurs bougeait et se cambrait sous la queue qui la défonçait, laissant libre cours à son orgasme.

Relevant sa queue, Tresh lui attrapa le visage pour qu’elle regarde vers le bas, la base de la queue-fouet.  Fascinée, Rhoedia vit apparaître un gonflement, puis deux, puis trois, quatre, cinq.  Cinq œufs magnifiques se rassemblaient au bas de son abdomen.  Chaque mouvement de queue rapprochait un peu les œufs de leur future couveuse, chaque mouvement de bassin rapprochait la femme de sa future torture, choisie et désirée, chaque pénétration rapprochait le vieux mâle de la mort.

Lorsque les œufs virent battre contre son sexe, elle se laissa aller en fermant les yeux.

Plus un bruit, plus un mouvement.  D’ailleurs, comme elle, la salle retenait son souffle.

Alors dans un grand cri, Tresh se crispa et déchargea sa queue avec puissance, propulsant les œufs dans les chairs offertes et accueillantes.

Sous le choc, Rhoedia, hurla, et hurla encore lorsque les petites dents s’agrippèrent férocément dans ses chairs.

Pantelante, elle attendit un long moment que quelque chose se passe, mais les tentacules retombèrent, les serres la lâchèrent et la queue en elle se ramollit misérablement.  Tresh avait donné son dernier souffle et sa dernière énergie dans le jet qui l’avait transpercée.

Ce fut Malygosh lui-même qui vint l’enlacer et la retirer du corps sans vie, la confiant à ses servantes grises dans l’alcôve.

 

Les jours passèrent dans le train-train habituel que nécessitaient les précieux œufs déposés en elle.  Rhoedia s’ennuyait un peu, et n’attentait qu’une chose, être débarrassée de son douloureux fardeau pour pouvoir sortir enfin du vaisseau.

Ce matin-là, Malygosh vint la voir tout heureux.

- J’ai eu une idée, concernant les œufs, je crois que ça va marcher…

- Quoi donc ?

- Tu sauras bientôt, d’abord je dois les contrôler, viens, allonge-toi.

Se plaçant sur elle, il la pénétra tendrement d’une queue-fouet et se mit à palper les œufs d’un air concentré.

- Au fait, tu n’as besoin que d’une queue pour faire cela ? Pourquoi alors nous avoir fait subir plusieurs en même temps, à mes copines et à moi.

- A ton avis ? Pour vous dominer, vous voir vous tordre sous moi, je voulais vous posséder.

- Et à présent ?

- Je sais que tu es à moi… Tu sais, ma tendre, il y a un prince et quatre chevaliers qui se portent très bien et sont prêt à éclore en toi.

- Déjà ?

- Oui, tu es une merveilleuse nourricière, je sens les larves s’agiter, la membrane est prête à être percée, et je peux t’assure qu’elles sont vigoureuses !  Ah le vieux Tresh t’a vraiment donné le meilleur de lui-même.

- Alors tu vas me les enlever ? demanda-t-elle avec angoisse.

- J’ai une meilleure idée, je vais te les laisser.

- Tu me condamnes alors, balbutia-t-elle, les larmes aux yeux.

- Non, au contraire, je vais te remplir d’une bien meilleure nourriture, les larves ne te toucheront pas tu verras.  Et je les enlèverai une fois écloses et bien rassasiée.  Ou plutôt eux te les enlèveront.  Il désigna du menton une demi-douzaine de mâles gris, nus debout derrière lui.  Chut à présent, fais-moi confiance.

Lui soulevant les fesses, il vint se placer bien au-dessus d’elle, sa queue-fouet la pénétrant comme dans une coupe tendre.  De ses pinces il happa les tétons qui dansaient devant les yeux de la jeune femme, et leur appliqua la technique de Tresh, pincements et tiraillements successifs.  Rhoedia devina que son excitation était intense, mais ne voyait pas trop en quoi cela allait l’aider.  Quand elle comprit qu’il s’apprêtait à éjaculer en elle une quantité énorme de tout petits œufs, de ceux qu’il appelait « animaux ».

Quand son sexe fut douloureusement rempli de boules dures et griffues, il cessa le mouvement, et retint le reste du flux. 

- Elles sont en train d’éclore, murmura-t-il.

Paniquée, Rhoedia essaya de sentir les morsures, ou du moins des mouvements en elle, mais ce n’est qu’après quelques minutes qu’elle sentit moins de pression, moins de douleur, et comme des petits coups de queue.

Se reculant, Malygosh poussa le premier serviteur vers la femme ouverte devant lui.  Le mâle se masturbait, mais sans parvenir à une érection.  Avec un râle, le roi repoussa celui-ci, l’envoyant voler au milieu de la salle.

Déjà le deuxième mâle s’agenouillait devant elle, son sexe gonflé envoyait des jets de liquide brûlant sur son ventre et ses seins, puis il s’enfonça en elle.

Il  s’électrisa sous la douleur causée par les morsures à sa chair sensible, et se retira doucement.  Rhoedia se cambra et hurla lorsqu’il retira son énorme bite, rendue plus grosse par les deux larves qui s’accrochaient à elle voracement.

Il se recula pour laisser place à son compagnon, qui fit la même manœuvre et retira les deux autres larves.

Ce fut alors au tour de Malygosh de la pénétrer à nouveau, alors qu’elle pleurait de douleur et de lui annoncer que le prince était prêt à éclore lui aussi.

Pour atteindre l’orgasme qui lui permettrait de propulser une nouvelle fournée d’œufs nourriciers, Malygosh se mit à jouer avec l’œuf dans le vagin douloureusement sensibilisé.  L’œuf s’agitait et griffait la chair tendre, et une morsure plus forte qui fit hurler Rhoedia lui fit comprendre que la larve était sortie.  Heureusement pour elle, les œufs que Malygosh lui propulsa dans le ventre attirèrent immédiatement la bouche avide et lui-même se hâta de retirer sa queue de peur d’être mordu.

Après quelques minutes, quand la larve eut terminé son festin, un dernier mâle gris se dévoua pour la capturer sur son extrémité, en sortant, la larve vigoureuse, avait déjà englouti l’énorme gland.  De douleur le mâle s’effondra sur le sol, et Malygosh le plaça immédiatement dans un coma artificiel.

Epuisée, Rhoedia, se rejeta sur sa couche, les servantes s’affairèrent à la masser et la soigner et elle s’endormit dans l’instant.

Sam 18 jui 2009 Aucun commentaire