Hentaï stories
Elle dormait dans son placard, sur le vieux matelas mouillé de larmes, quand soudain, en elle, quelque chose vibra.
Elle sursauta, elle avait oublié cet oeuf qu'ils lui avaient placé en guise de réveil.
Ne pouvant ni l'éteindre, ni l'enlever, de crainte d'une punition, elle chercha à sortir. Malheureusement elle était toujours enfermée.
- Comment faire ? il avait dit que je devais aller devant sa porte. Mais je ne sais même pas oû est sa porte.
Elle se mit à marteler le bois du placard de ses poings.
- Ouvrez. ouvrez!
La clé tourna et la porte s'ouvrit. C'était le jardinier.
- Et bien c'est quoi tout ce bruit ?
Elle tomba à genoux, ne sachant que faire, car on lui avait interdit de parler. Heureusement Emir compris et lui ordonna de parler.
- Je dois aller devant la porte de la chambre du majordomme mais j'étais enfermée et je ne sais pas oû est la chambre.
Oh s'il vous plait, laissez-moi partir d'ici c'est trop dur.
- Courage, tu auras bientôt passé le plus difficile et en étant obéissante, tu auras plus de confort, c'est la récompense. Tu verras. A présent suis-moi.
Un peu réconfortée elle le suivi jusqu'à une porte au premier.
- C'est ici. frappe à la porte.
Elle obéit en murmurant "merci".
Presque immédiatement la porte s'ouvrit. Le majordome vêtu d'une sortie de bain se tenait devant elle.
Elle était tellement perturbée qu'elle oublia de baisser les yeux.
- C'est quoi la punition pour regarder un homme ?
- je ne sais plus... ah les yeux bandés ?
- oui tout à fait, une heure les yeux bandés et à ma disposition. Entre on commence de suite.
Elle passa dans la chambre et se retrouva avec un bandeau sur les yeux, et toujours la vibration dans son vagin.
L'homme a dû changer quelque chose, car l'oeuf se mit à vibrer de façon plus saccadée et plus intense aussi.
- Ah, ah fit-elle.
- Hum des mots à présent. Je note. Mets-toi à quatre pattes et cambre-toi.
Elle obéit, de plus en plus perturbée par l'oeuf.
Quelque chose de mou et tiède se pressait à l'entrée de son sexe.
"il ne va quand même pas ? pas avec l'oeuf à l'intérieur" pensa-t-elle.
- Je vais te prendre comme ça, j'espère pour toi que c'est grand là dedans. Fit-il comme s'il avait lu dans ses pensées.
la queue molle se faufila à l'intérieur, puis commença à grossir et durcir.
- Ah c'est bon les vibrations sur ma bite, j'espère que tu les sens bien aussi. Je vais te secouer un peu à présent.
Sous ses mouvements, elle ressentait l'oeuf de plus en plus profondément. L'impression qu'il touchait son estomac.
Elle ne pu retenir des cris de surprise, et de plaisir mélangés.
- Oui crie, vas-y, tu aimes te mettre à genoux sur la barre pas vrai. je note.
Elle tenta alors de retenir ses cris se contentant de gémir, mais quand il accéléra, et éjacula en elle, elle hurla
- Nooon, pitié, noon
- Bon ça nous fait bien 10 minutes de punition ça. Tu le feras avant ta leçon du matin.
Elle s'effondra par terre. Lui parti se laver et s'habiller sans s'occuper d'elle, ni lui enlever l'oeuf qui vibrait de toutes ses forces.
- couche toi sur le lit, voilà là. Je t'enlève l'oeuf à présent.
Quand il tira sur la fine corde et extirpa l'appareil avec un gros "plop" elle cria à nouveau.
- Mais tu es bruyante ma parole, faudra travailler là-dessus ma chère.
La prenant par la main car elle avait toujours les yeux bandés il l'emmena à la cuisine.
- Voci ta gamelle, je pense que tu ne mérites pas mieux pour le moment.
la poussant à se coucher par terre il lui mit la tête dans une gamelle pour chiens remplie de lait et de céréales. Elle dû tout manger la tête dans le bol.
- Mange tout tu n'auras rien d'autre jusqu'au soir. Bon sang tu n'es pas facile à dresser toi. J'espère que tu feras mieux dans les leçons tout à l'heure.
Toujours par terre, léchant sa gamelle, elle entendit le cuisinier remuer ses casseroles.
- Schiava, quand tu auras fini, tu laves par terre.
Elle se lève et cherche du regard la serpillière.
- Avec ceci et à quatre pattes, et bien cambrée, je te regarde.
Elle pris la petite brosse dure, le seau et le produit et se plaça comme demandée pour frotter le sol de la cuisine.
Quand le chef fut satisfait, il l'envoya dans le jardin chercher des légumes.
- Tu demandes à Emir, fut tout ce qu'il lui dit.
Elle s'avança vers le jardinier, dans la douceur de la matinée se rendant compte qu'elle était entièrement nue, à l'exception du collier et de la laisse.
- que veux-tu, parle.
- Je viens chercher des légumes.
- Bien suis-moi.
La prenant par la laisse ils se dirigèrent vers la serre à quelques mètres de là.
Dans la chaleur humide du bâtiment vitré, il se tourna vers elle et la pris dans ses bras.
- Tu est très belle et très douée, le maître sera content.
Elle se tortilla, ne sachant pas comment parler.
- Si tu veux poser une question, la consigne est de mettre ton doigt dans la bouche, comme une petite ingénue.
Elle fit ce qu'il lui suggérait.
- Parfait, parle.
- je crois que je majordome n'est pas content de moi, il est dur avec moi.
- C'est son job, mais au fond c'est un brave homme, tu verras, quand tu seras bien dressée, il sera plus sympa.
- Et le maître je le verrai quand ?
- bientôt. bientôt.
- Il est comment.
- Tu verras. Ou plutôt non tu ne verras pas, car lui encore moins que nous tu n'as le droit de voir son visage.
Se rappelant la consigne elle baissa vite les yeux
- tu devrais être punie pour ton comportement avec moi, mais je ne dirai rien si tu es gentille avec moi et que tu me suces bien.
- oui, merci, merci !
Elle s'accroupi devant lui pour le sucer, et il rugit de plaisir. Toute contente, elle reparti vers la cuisine, avec son panier de légumes pour la soupe.
- Dépèches-toi il t'attend pour ta leçon dans la chambre noire... tu vas déguster, tu es en retard, ça t'apprendra à fricoter avec le jardinier!
Elle monta à toute vitesse l'escalier, dévala le couloir pour arriver dans la pièce où le majordome l'attendait.
- Hum hum ce n'est pas bien de me faire attendre, c'est bon pour une fois, fais vite ta punition du matin.
Elle se plaça seule sur la barre triangulaire, essayant de tenir sans s'appuyer.
- je vois que tu apprends et que tu fais des efforts, allez dix minutes comme ça et tu feras moins de bêtises à l'avenir.
Les minutes s'écoulèrent lentement, mais enfin elle pu se lever, les genoux rouges et les jambes tremblantes. Elle dû s'allonger sur le lit, il lui attacha comme la veille, les poignets et les chevilles et plaça la ceinture avec le vibro.
- Bien la consigne aujourd'hui c'est de ne pas montrer ton plaisir pendant le plaisir, tu comprends.
Il alluma l'engin.
Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier ni gémir, sans pouvoir retenir son corps de se trémousser.
- A présent tu peux gémir et crier et jouir très fort, vas-y
dès le premier cri, il la frappa avec le martinet.
- continue je veux t'entendre jouir.
il stoppa le vibro mais continua les coups avec les lanières de cuir.
Elle réussit un peu mieux à pousser des cris de plaisir, même si parfois ils ressemblaient plus à des cris de douleur.
- Bien qu'as-tu appris de cette leçon, parle !
- Que je dois jouir dans la douleur.
- oui, c'est bien. j'ai décidé de te récompenser.
Il la détacha, la ramena dans son placard et lui donna un oreiller et un drap.
- Voici ta récompense, si tu n'es pas à la hauteur je te l'enlève et je te punis, compris?
elle fit oui de la tête,
- Bien, cet après-midi interro sur le règlement, tu as deux heures pour étudier, pas besoin de manger n'est-ce pas.
Deux heures plus tard, quand la clé tourne dans la porte, elle n'avait pas fini de lire le règlement, essayant de mémoriser toutes les choses qu'une bonne esclave devait faire.
Il la tire sans ménagement par la laisse et l'emmène dehors.
- Il fait beau, on va faire ça au soleil.
Sur la terrasse, des meubles en osier et des coussins moelleux. Le majordome la fait asseoir sur un petit tabouret métallique.
- il y a déjà une règle que tu ne respectes pas. laquelle ?
- oh, je n'ai pas écarté les jambes.
- et oui, et la punition c'est quoi?
- une fessée avec une latte en bois.
- bien, exécution, place-toi en position de fessée.
Le cuisinier va chercher la latte dans le débarras. Elle se place de mauvaise grâce le ventre sur le tabouret, elle avait vu le croquis de la punition dans les feuilles, et appréhendait le supplice.
- pardon, je vous demande pardon, je ne le ferai plus.
- oh que voilà beaucoup de mots dans une seule phrase. je note !
frémissante, elle se tut, comprenant qu'il n'y avait aucune chance d'échapper au règlement avec ce fichu majordome.
Entre-temps le cuistot est revenu.
- combien de coups.
- combien de coups doit-on de donner, parle ?
- 5 je pense.
- ok donne-lui-en dix et on sera quitte.
dix coups de latte plus tard, les fesses en sang, elle doit s'asseoir sur le tabouret et continuer l'examen. Cette fois ses jambes sont largement écartées, la chatte bien posée sur le rond de métal chaud.
- et voilà une leçon bien apprise.
- Question suivante, que fais-tu si du sperme s'écoule devant toi?
- je lèche tout, car le sperme est délicieux, surtout s'il vient du maître et je ne dois pas le gaspiller.
- que fais-tu si tu as soif ou faim ?
- j'attends que le maître me donne à manger ou boire, ou je bois son sperme.
- oui et tu peux aussi lécher ton jus, c'est permis.
- d'accord.
- quand on te permet quelque chose, tu dois dire, merci.
- merci.
- si le maître te place chez un autre homme, que fais-tu
- j'obéis à cet homme car c'est mon maître qui le veut.
- Pas mal pas mal.
A ce moment, la sonnerie de la porte d'entrée retenti, le majordome se dirige vers l'entrée. les autres hommes quittent la terrasse pour rejoindre leurs tâches. Elle, n'ayant reçu aucun ordre, reste assise sur son tabouret et attend.
Des pas se font entendre, ils sont lourds, elle se retourne et pense au dernier moment à baisser les yeux. Heureusement car c'est le maître qui arrive à l'improviste.
Il ne dit pas un mot à l'esclave qui doit rester immobile en attendant que le majordome finisse de raconter dans les moindres détails les deux jours d'entraînement.
Le maître s'assied dans un fauteuil, derrière l'esclave.
- Un événement imprévu s'est produit, un de mes clients va venir passer le week-end ici, je veux que tout soit nickel et que l'esclave soit prête, et soumise à mon client. Attention, il passe pour pervers, il faut qu'elle soit habituée à la douleur comme à l'humiliation.
- Elle sera prête mon maître.
- parle esclave, seras-tu prête?
- oui mon maître, merci mon maître.
- Pas mal.
- Allez-vous lui donner un nom?
- Demain. A présent j'ai du travail, qu'elle me tienne compagnie dans mon bureau, ou plutôt sous mon bureau et puis tu pourras commencer à préparer la chambre d'amis.
Elle entend le maître s'éloigner de son pas lourd, ensuite le majordome la prend par la laisse, lui bande les yeux, "tu ne dois pas voir le maître" murmure-t-il à son oreille, il la guide ensuite jusqu'à la pièce de travail et l'installe à genoux sous le bureau, toujours les yeux bandés. "tu le suces et fais bien tout ce qu'il te demande, compris?" elle fait oui de la tête. Elle entend le maître s'asseoir devant elle et le bruit de la braguette qui s'ouvre. A tâtons elle trouve le sexe, tout petit et mou, le prend en bouche et le suce pendant qu'il grandit, grandit.
Le sexe du maître est très long, très dur et lui rentre dans la gorge. courageusement elle fait des va et viens de la tête, pour l'ammener à jouir dans sa bouche, en se rappelant la règle de ne pas perdre une goutte du précieux liquide blanc.
Le maître se contente de lui dire de ne pas arrêter tant qu'il travaille, aussi elle passe toute la soirée les yeux bandés à lécher, sucer, mouiller, titiller la queue parfois molle, souvent dure de l'homme mystérieux.
Le maître travaille tard et souvent dors dans son bureau, ce qu'elle apprend à ses dépends lorsqu'il se lève enfin, se déshabille et se couche sur le divan puis éteind la lampe. Dans le noir, il lui ordonne de se lever, enlever le bandeau et venir le rejoindre dans le lit. Elle obéit à tâtons et s'allonge près de lui. C'est alors qu'elle se rend compte qu'il est petit, poilu et bedonnant. Elle est épuisée de sa journée mais lui est très excité, et elle doit subir les assauts de l'homme, malgré tout ce qu'elle a déjà vécu la veille, elle subit le sexe du maître presque comme un viol.