Hentaï stories

Les 10 filles crurent s'éveiller d'un rêve.  Un instant elles étaient sous la douche, assises ou en pâmoison, pour Khaany et ses deux complices, l'instant d'après elles étaient dans la même position, au centre d'une immense pièce ronde, sur un sol en verre transparent sur lequel un cercle lumineux marquait la place où avant il y avait les murs de la tour.

Toutes se mirent debout et se rassemblèrent au centre du cercle, apeurées.

Des formes mouvaient hors du cercle, mais l'éclairage les laissait dans l'ombre, alors que les filles, nues, étaient en pleine lumière.  Plus aucun vêtement en vue, elles se cachaient tant bien que mal de leurs mains.

 

Sans dire un mot, des hommes-chiens s'approchèrent.  Deux par deux ils saisissaient une fille par les bras et l'emmenaient hors du cercle.

 

Khaany fut emmenée la dernière. Comme les autres, elle arriva dans un sas.  Là les deux gardes qui la tenaient lui passèrent un étrange attirail.  Un cercle métallique enserra son cou.  Un autre autour de sa taille.  Puis une longue tige fut fixée dans son dos à ces deux cercles.  La tige se prolongeait d'environ 50 cm au-dessus de sa tête et portait en son extérmité un petit fanion avec son nom et le symbole de son village.  Les hommes-chiens fixèrent d'autres petits cercles de métal à ses poignets et ses chevilles.  Khaany voulut leur demander des explications, résister, mais la vue de leurs crocs et de leurs fouets la fit hésiter.  On ne résiste pas aux hommes-chiens.  Telle était la devise que l'on lui avait inculquée depuis sa plus tendre enfance.

Cependant elle se débattit lorsqu'ils fixèrent ses poignets au bout de la tige, au-dessus de sa tête.

Un petit coup de fouet électrique dans les fesses lui fit venir les larmes aux yeux.  C'était la première fois qu'elle recevait le fouet, et en plus de la douleur, on lui avait toujours appris que c'était une déchéance.

Vaincue, elle se laissa entraîner hors du sas.

La tige fut fixée à un rail au plafond, et entraînée par un mécanisme qui avançait assez rapidemment.  Khaany n'avait d'autre choix que d'avancer également.  Devant elle, plus loin, les autres filles avançaient de la même manière.

Le curieux train cheminait dans des couloirs circulaires, vitrés, et toujours les filles étaient en pleine lumière alors que derrière les vitres, des ombres se dessinaient qui semblaient les regarder.

 

Khaany se demandait quand elles allaient arriver, tout cela ne faisait aucun sens à ses yeux.  Enfin sa perche fut envoyée vers la gauche, via un embranchement.  Le mécanisme s'arrêta lorsqu'elle fut dans une petite pièce.

 

Elle était seule.  Apparemment.

 

Après quelques instants, deux étranges créatures apparurent devant elle.  Les êtres étaient plus grands qu'elle, d'une tête.  Leur peau était couverte d'écailles vertes.  Leur tête de lézard s'inclinait de gauche à droite.  Leurs pattes arrières étaient puissantes et deux queues fouettaient l'air dans leur dos.  Ils avaient quatre bras, en trois parties, terminés par des mains à trois doigs et aux longues griffes.

 

Khaany était pétrifiée de surprise et de terreur.

 

Dans sa tête des mots se formèrent.

 

"Nous sommes des Vaa, nous sommes tes dieux petite femelle.

 

- Des Vaa ! pensa Khaany, encore plus terrorisée.

- Nous t'avons sélectionnée.  Sois heureuse."

 

Le premier s'approcha d'elle.  Sa langue, aussi grosse que l'avant-bras de la jeune femme glissa sur sa joue, poussa sur ses lèvres.  Khaany ne sachant pas ce que le Vaa voulait ferma les yeux et se crispa.  Une pensé intense s'imposa à elle "ouvre la bouche".  Khaany obéi, la voix dans sa tête était si forte qu'il n'était pas possible de refuser.

La langue s'enfonça dans sa bouche.  Elle était froide, gluante, comme un serpent.  Khaany eut envie de vomir. 

Le Vaa était tout contre elle, elle sentait les écailles dures, froides sur sa peau, ses seins.  Les queues du dieu-lézard s'enroulèrent autour de ses jambes, et les écartèrent.  Quittant le sol, Khaany se trouvait suspendue au plafond par les mains et la taille, dans une position très inconfortable.

Elle s'agita, ne réussissant qu'à se blesser au niveau des colliers métalliques qui la tenaient.

Dans sa tête, il lui sembla entendre le rire du Vaa qui résonnait métalliquement.

 

A la surprise de la jeune femme, le Vaa s'écarta doucement. 

"Regarde" pensa-t-il à nouveau.

Khaany le regarda.  Les écailles s'écartèrent sur son ventre, s'ouvrirent.  Au niveau du sexe, un grouillement de petites tentacules.  Elle ferma les yeux de dégoût.

En riant à nouveau, le Vaa se rapporcha d'elle.  Le grouillement était à présent tout contre la chair chaude.  Les flagelles frétillaient intensément en s'insérant dans la chaleur tendre des lèvres.

Khaany, cria, voulu résister à nouveau, se tordant dans les chaînes.

Le Vaa attrapa les jambes et les passa autour de sa taille, ses deux queues tenaient fermement les cuisses, Khaany ne pouvait plus bouger.

Le frémissement se fit plus intense sur le sexe de la femme, les flagelles écartaient les lèvres, se pressaient sur le clitoris, se tordaient dans l'entrée du vagin.  Khaany pleurait en suppliant qu'on l'épargne.  Mais le Vaa s'apprêtait à la violer.

Une partie plus dure apparaissait au centre des tentacules.  Le sexe du Vaa était comme sa langue, mais il grandissait très lentement.  L'érection pouvait durer des heures.

Khaany capta la pensée du dieu-lézard, qui lui faisait voir son sexe s'enfoncer de quelques centimètres en elle, puis grandir lentement, de plus en plus, jusqu'à remplir tout son vagin.

Khaany se senti défaillir et s'évanouit d'horreur.

A ce moment, l'agresseur donna un coup de reins et força le passage encore vierge.  La douleur la réveilla.  Elle cria et il en profita pour forcer sa langue dans la bouche.  Khaany voulu le mordre, mais la langue était plus dure, couverte d'une peau rugueuse et le Vaa rit à nouveau.

Le membre grandit encore un peu dans son ventre.

Les mains attrapèrent les fesses bien rondes, charnues, et les griffèrent.  Khaany se cambra sous la douleur.  le Vaa en profita pour coller encore plus les deux sexes l'un à l'autre et se gonfler encore plus à l'intérieur.

 

Les longues griffes cherchaient à présent à s'enfoncer dans l'anus que la femme resserrait de toutes ses forces.

 

A nouveau, une pensée intense, autoritaire, se forma dans son esprit.  "ouvre-toi".  Pourtant cette fois, Khaany voulu dire non, résister, mais après quelques instants de lutte, les doigts étaient entrés, son corps et son esprits n'avaient pas la force de refuser un dieu, et le dieu la griffa longuement à l'intérieur.

"ta punition pour m'avoir résisté" fit-il en riant à nouveau.  Elle pensa, avant de s'évanouir, qu'il ne supportait pas la résistance, mais en même temps, que cela semblait lui faire la plus grande joie.

 

Elle revint à elle après quelques instants.  Le Vaa était toujours en elle.  La langue, les doigts et le sexe bougeaient dans ses orifices.  Les mouvements de reins qu'il faisait en tapant de son membre dur comme du bois au fond de son ventre l'avaient fait reprendre connaissance.

"oui ma belle, je suis arrivé" lui dit le Vaa.

Une douleur intense, comme une morsure, déchira son ventre.

"oui je suis attaché à toi" lui dit-il.

En même temps il retira ses mains, sa langue et lâcha les jambes de la femme.

Celle-ci compris vite ce qu'il avait voulu dire.  Le membre était fixé au fond de son vagin, et elle en ressentait la morsure.  Même libérée en apparence, elle ne pouvait s'écarter de lui, ni lui se retirer d'elle.

"j'ai mal" pensa-t-elle, vaincue, épuisée, désespérée.

"Tu n'as plus besoin de souffrir".  Le Vaa fit un geste et le métal qui enserrait la jeune femme disparu.

Il la rattrapa dans ses bras et la déposa sur un lit moelleux apparu par magie.

Il s'allongea confortablement sur elle, mais avec une étrange délicatesse.

Khaany ferma les yeux, elle se sentait à présent étrangement bien.

"dors ma belle, je le veux " pensa-t-il et elle ferma les yeux.

Au moment où elle sombrait dans le sommeil, elle l'entendit penser "la ponte peut commencer".

 

 

 

 

 

 

 

Mer 6 jun 2012 Aucun commentaire