Hentaï stories

Il y avait une loi sur la planète Mii V.  Une loi et une religion.  Celle des seigneurs Vaa.

Personne ne les avait jamais vus, mais ils avaient implantés la civilisation sur la planète, faisant construire à leurs premiers esclaves humains des villages d'environ 500 habitants, leur faisant défricher les forêts et cultiver les terres.

Par la suite, les humains étaient devenus plus libres, mais restaient surveillés par les hommes-chiens.  Des créatures à l'allure humaine mais aux visages canins, très petits, de la taille d'un enfant de 10 ans, mais très rapides et très agressifs.  Ils apparaissaient comme par magie sur les lieux de disputes ou de rébellions et leurs crocs et leurs fouets réprimaient rapidemment toute idée de révolte.

La plupart du temps cependant, les humains vivaient paisiblement, oubliant presque leur condition de soumission.  Ils adressaient leurs prières aux seigneurs Vaa, s'occupaient de cultures et d'artisanat, chantaient le soir autour du feu.

Leurs filles étaient jolies, les vêtements, tissés dans un coton très fin et brillant mettaient en valeur leurs charmes.

Voici d'ailleurs quelle était la seule obligation envers les seigneurs.  Tous les ans, chaque village, devaient envoyer 10 filles de 18-20 ans, au temple de la montagne.

Les hommes-chiens les emmenaient sur la route.  Parmi ces filles, certaines revenaient, sans souvenir de ce qui s'était passé.  D'autres ne revenaient jamais.  Mais les villages dont une fille était sélectionnée recevait des objets précieux, de nouvelles semences, des matériaux rares répartis entre chaque famille, et le village était honoré pendant une année.

Cette année, Khaany fut choisie dans le village, avec 9 de ses compagnes, et elles partirent en riant sur la route.

La légende disait que les filles sélectionnées par les seigneurs devenaient des déesses et vivaient dans un palais aux mille parfums.  Chacune espérait être l'élue!

Après 5 jours de marche, elles arrivèrent enfin en vue de la montagne.  Celle-ci était immense, le sommet enneigé brillait sous la lumière bleutée de leur soleil.  Les hommes-chiens désignèrent un point proche du sommet et leur tendirent un appareil de vision.  A travers ces espèces de jumelles, Khaany distinga très nettement un bâtiment aux reflets métalliques.

Le temple de la montagne !

Alors qu'elle et ses compagnent se passaient les jumelles, toutes excitées, les hommes-chiens se mirent à aboyer dans leur langue étrange et faire de grands gestes en direction d'une petite tour dressée à 500m.  Khaany se fit la remarque que la tour semblait faite du même métal que le temple.

Le groupe se dirigea rapidemment vers l'édifice.

Deux hommes vêtus d'une longue tunique blanche se tenaient à l'entrée.

- Bonjour demoiselles, que les bénédictions des Vaa soient sur votre village, vous faites honneur à votre clan.  Dit le premier.

- Ceci est la tour de purification, vos vêtements poussiéreux et la fatigue du voyage vont disparaître.  Vous allez vous présenter aux seigneurs dans votre apparence la plus pure, la plus divine.  Dit le second.

Les filles se regardèrent, étonnées.

Les prêtres souriaient.

- Entrez, enlevez vos vêtements et prenez une douche.  C'est tout.  Dit le premier en souriant.

- N'ayez nulle crainte, vous serez entre-vous, et prenez votre temps, profitez de la détente.  Continua le second.

Un peu poussées par leurs gardiens, elles entrèrent. Une salle ronde, des bancs tout autour.  Elles y déposèrent leurs vêtements.  A peine étaient-elles toutes nues qu'une eau chaude et parfumée jaillit de petits trous percés au plafond.

Les filles se précipitèrent sous la douche en riant de leur frayeur.

Sans se douter que les prêtres, voyeurs, les observaient par des trous dans la porte.

La peau bleutée, striée de blanc de Khaany et sa coiffure sophistiquées faites de petites tresses blondes liées en chignon mettait en valeur la finesse de son cou et la douceur de son visage.

Ses yeux noisette semblaient briller d'un éclat ambré.

Lorsque son amie Ciria s'approcha d'elle pour lui frotter le dos, elle se cambra, fermant les yeux.  Justement, elle faisait face à la porte et les deux voyeurs se mordaient les lèvres en admirant les seins tendus vers eux.  Des seins ronds et gros comme de beaux melons bien murs, terminés en tétons resserrés, bien durs, faisaient d'elle une femelle plus qu'apétissante.

Les yeux groumands glissaient ensuite sur le ventre lisse, vers le sexe encore vierge, comme celui de toutes ces petites femmes, à peine duveteux, et les cuisses musclées par le travail et la marche.

Chaque année, les prêtres pariaient sur laquelle serait sélectionnée.  Mais depuis des années aucune fille du village de Khaany n'avait été élue.  Pourtant cette fois, ils sentaient qu'elle serait la bonne.  Et qu'enfin leur travail serait récompensé.  Chacun pourrait s'amuser à volonter avec une des filles rejetées, avant de lui faire subir un lavage de cerveau et qu'elle oublie tout de son séjour.

Les deux prêtres se tapaient dans le dos en se réjouissant à l'avance du plaisir que Khaany leur procurerait sans le savoir.

C'est alors qu'à leur grande surprise, et leur plus grand plaisir, ils virent la jeune fille faire un geste vers une autre, une petite brunette du nom de Rii.  Celle-ci, avec un grand sourire, vient s'agenouiller devant la beauté blonde et appliqua ses lèvres et sa langue sur le sexe tendre.

Khaany ondulait de plaisir, laissant l'eau couler sur son corps, les mains de Ciria massant la poitrine, la langue de Rii s'enfonçant dans les lèvres frémissante.

Les deux hommes n'en pouvaient plus!  Si la porte n'avait été fermée automatiquement après le passage de la dernière fille, ils se seraient rués à l'intérieur.

Les autres jeunettes voyant le spectacle eurent des réactions choquées, elles se précipitèrent sur les bancs et se cachèrent les yeux pour ne rien voir.

Sans se préoccuper de leurs compagnes, les trois filles se laissèrent glisser sur le sol, enlacées.

A ce moment, une grand lueur illumina la pièce ronde et... plus rien.  Elles étaient parties, téléportées dans cette position, avec leurs amies terrées sur les bancs, vers le temple de la Montagne.

 

 

Mer 6 jun 2012 Aucun commentaire